Encéphalites Spongiformes
et Maladies d’ALZHEIMER :
PRIONS, maladies génétiques ou bien empoisonnement ?
A l’heure actuelle, la Médecine attribue à chaque maladie ou presque un agent causal particulier, venant de l’extérieur. On a parlé en premier lieu de microbes, puis de virus, maintenant de prions...
Et comme dans certains cas, il n’est pas possible de retrouver ce type d’agent causal, on parle maintenant de maladie génétique. Il y aurait « déficience d’un gène », en d’autres termes « anomalie du capital héréditaire ».
Ces conceptions font suite aux idées de Louis PASTEUR et ont pris un caractère très dogmatique, que personne n’a intérêt à discuter.
Elles impliquent l’existence d’un système immunitaire défensif...
Dans lequel l’Homme veut intervenir en s’efforçant de le renforcer (vaccins) ou d’y suppléer (antibiotiques, antimitotiques, antiviraux, etc.).
Interventions qui semblent bien être à l’origine d’une nouvelle génération de maladies que l’on dit auto-immunes ou de dégénérescence.
Mais toutes ces conceptions sont-elles vraiment sérieuses, peut-on s’y fier vraiment ? C’est la question que l’on peut se poser aujourd’hui, face au scandale de la Vache Folle, de la Tremblante du Mouton, ou des encéphalites abiotrophiques des humains (Maladie de Kreutzfeld Jacob).
Que la vache et le mouton soient rendus fous par les pratiques anti-naturelles de l’homme, cherchant le rendement plutôt que la qualité, c’est une évidence.
Après les horreurs du nazisme, comment peut-on aujourd’hui justifier les élevages en batterie ?
Avec ces animaux granivores ou herbivores de nature, qui ne voient jamais l’herbe ou le soleil et qui sont stockés dans des espaces de béton et d’acier sans pouvoir seulement se retourner ?
Certes, ils sont nourris à satiété (de granulés), ils sont « propres » et « vaccinés »...
Mais est-ce là une finalité de vie et de bonheur ?
Pourquoi alors est-il nécessaire de leur donner des tranquillisants et des antibiotiques à longueur d’année ou presque ?[1]
Comment peut-on justifier ensuite la récupération des carcasses d’animaux malades, pour en faire des « farines » dites « compléments nutritionnels » ?
On a attribué au prion la cause de ces maladies. Pourtant, la cause première, la plus évidente, est bien évidemment le stress et la souffrance, imposés par la folie de l’homme[2].
Et il y a une deuxième cause, tout aussi claire et évidente, liée à la pratique des vaccinations qui touche hommes et bêtes !
Car l’homme veut stimuler l’immunité en inoculant aux animaux et aux hommes ‑ ses enfants en particulier ‑ des « soupes » de ces prétendus agresseurs de l’immunité (miasmes : microbes, virus)... Soi-disant pour faire fabriquer par l’organismes de magiques anticorps, que l’on prétend capables d’annihiler leur intrusion ! Mais ces soupes ou vaccins ne sont pas sans problèmes...
1) Ils nécessitent pour leur fabrication une véritable « cuisine » qui relève de l’invraisemblable :
1. usage de cellules cancérisées, pouvant ‑ théoriquement ‑ être contaminés par d’autres miasmes...
2. usage de produits bovins pouvant ‑ théoriquement ‑ être contaminés par des prions,
3. usage d’outils de manipulation génétique...
4. risque continu de contaminations étrangères imprévisibles.
Le produit fini inoculé n’étant par hypothèse jamais pur, on peut se demander ‑ si l’on dispose encore d’un minimum de sagesse ‑ quels sont les risques que l’on fait encourir aux patients...
2) Ils provoquent une spécialisation indéniable du système immunitaire
dans le sens de la fabrication de ces magiques anticorps... Or, depuis quelques années, tout le monde sait qu’effondrement immunitaire (SIDA) rime avec « matelas » d’anticorps ‑ au détriment des moyens efficaces de lutte contre virus, germes et cancers (lymphocytes CD4 et CD8, Interféron, Interleukine n°2, Tumor Necrosis Factor...)
3) Leur inefficacité est tellement patente que les grands promoteurs des vaccins trichent, en ajoutant à leurs « soupes » des substances chimiques toxiques... les Adjuvants de l’Immunité !
L’aventure date de Pouilly le Fort ‑ juillet 1881 ‑ et de Mr Louis Pasteur en personne !.Ce monsieur met en route une expérience célèbre qui va consacrer sa gloire,... et son imposture. Il use de deux lots d’animaux en ce village, vaches et moutons, et inocule à chaque animal le germe sauvage de la maladie du CHARBON. L’un des deux lots était bien sûr préalablement vacciné. Curieux et journalistes n’en croient pas leurs yeux, le lot des vaccinés survit à peu près, malgré quelques animaux mal en point, alors que le lot des non-vaccinés est décimé. La victoire est apparemment éclatante... Voire...
1. Le vaccin utilisé n’est pas celui de Pasteur mais bien celui de ses concurrents, le Dr TOUSSAINT (médecin et vétérinaire) pour l’idée originale, les Drs ROUX et CHAMBERLAND, pour la mise au point. Ce sera pourtant Pasteur qui empochera la légion d’honneur peu de temps après. Le Dr Toussaint mourra oublié de tous.
2. Il faut savoir que Toussaint avait usé d’un ADJUVANT de l’IMMUNITÉ, à savoir une substance chimique additionnée secrètement au vaccin en lui-même. (Bichromate de Potasse dans le cas précis).
3. De multiples chercheurs de par le monde ont réitéré l’expérience de POUILLY le FORT, et ce fut chaque fois l’échec total. Les questions posées à Pasteur en ces occasions n’ont eu comme réponse que des invectives hautaines. Il s’est toujours refusé à reconnaître l’existence et le rôle de cet adjuvant.
A l’heure actuelle, ces adjuvants de l’immunité sont toujours et systématiquement employés pour tous les vaccins, quels qu’ils soient. Certes, il n’est plus possible d’en nier l’existence, mais ils sont mentionnés « en cachette », dans la rubrique « excipients », afin que l’on n’y prête pas trop attention ! Ils sont officiellement considérés comme « INDISPENSABLES mais DANGEREUX » (Science, novembre 1993, n° 1993, spécial Immunité).
Ces adjuvants sont en fait redoutables en tant que poisons et allergènes.
Les plus fréquemment utilisés sont l’HYDROXYDE d’ALUMINIUM, l’ACIDE PHéNIQUE, certaines SAPONINES, le FORMOL...
1. Leur action est simple à expliquer : ils modifient le terrain BIO-ELECTRONIQUE du patient[3], l’éloignant de celui qui correspond à la maladie dont on veut le protéger par le vaccin... Les maladies étant par essence un problème de terrain, et non d’inoculation extérieure, il est bien évident qu’elles ne peuvent se développer dans ces conditions. (Il serait tellement plus simple de se contenter de modifier ce terrain bio-électronique par la prise de vitamine C, par exemple ! Mais ce n’est pas toxique, et insuffisamment rentable, même si c’est encore bien cher à mon sens...)
2. Le vaccin est, nous l’avons vu suffisamment, totalement inefficace la plupart du temps pour assurer une réelle protection. Ce qui explique que l’efficacité d’un vaccin ‑ si elle existe ‑ n’est jamais très durable, puisqu’elle repose essentiellement sur l’inoculation de ce poison. Ce qui explique la nécessité des rappels : fréquents... et rentables, bien sûr !
Tout cela est bel et bon, en apparence... Sauf que...
1. Sauf que l’hydroxyde d’aluminium, le plus utilisé de nos jours, correspond au terrain bio-électronique de la FOLIE, de l’AUTISME et des névroses profondes[4]...
2. Sauf que ce poison ‑ à la dose de 60 microgrammes par litre de sang, commence à nécroser le tissu nerveux noble, le transformant progressivement en « éponge », avec des lésions strictement comparable, sur le plan anatomique, à ce que l’on observe dans les encéphalites dites à prions.
3. Sauf que chaque dose vaccinante renferme environ 1250 microgrammes d’aluminium[5].
4. Sauf que personne ne tient jamais compte de l’état rénal du patient, qui permettrait éventuellement une élimination plus ou moins complète de ce poison.
5. Sauf que même sur un individu dont la fonction rénale serait en excellent état, ce poison se comporte comme un leurre du FER (indispensable à l’intérieur de l’hémoglobine des globules rouges pour le transport de l’oxygène). Ce qui fait que la plus grande partie de l’ALUMINIUM inoculé vient prendre momentanément la place du FER dans les globules rouges, ce qui lui permet de transiter en toute impunité vers le cerveau... Où il va pouvoir commencer les lésions de nécrose irréversibles...
Mais qu’à cela ne tienne, il suffira d’inventer un nouvel agent causal, le PRION, pour expliciter la flambée de ces encéphalites. Il suffira d’inventer un nouveau syndrome, celui de Alzheimer, pour justifier la flambée des cas de démences séniles précoces. Il suffira d’inventer quelques nouveaux noms à donner à telle ou telle maladie, scléroses en plaques, syndromes de West (sclérose en plaque de l’enfant agrémenté de crises d’épilepsie), pour redorer le blason du dogme de la Médecine Officielle...
La communauté scientifique ne se résume plus aujourd’hui aux seuls membres du Prestigieux Institut Pasteur.
Alors, les vérités indésirables fusent un peu partout... Prouvant que les catastrophes étaient prévisibles depuis bien des années déjà.
Prouvant que le fameux PRION ne risque pas de tout expliciter...
La pratique des vaccinations pourrait bien être responsable de l’empoisonnement de la population animale et humaine de la planète. Et elle pourrait être à l’origine, en particulier :
1. de l’éclosion des encéphalites et autres dégénérescences,
2. de la plupart des cancers et autres maladies dites de civilisation,
3. des cas de tératogenèse (monstruosités) des enfants nés d’individus vaccinés,
4. de la montée du stress et de la violence.
Le scandale du sang contaminé et de l’hormone de croissance sont de faux scandales.
Le seul vrai scandale, ce sont les vaccins, outils générateurs de mort et de maladie, véritable pactole financier tant pour les trusts pharmaceutiques et vaccinaux que pour le corps médical dans son ensemble. Ce qui explique aisément la pérennité du dogme pasteurien, pourtant sans le moindre fondement scientifique sérieux. Et les prétendus mécanismes de contagion s’expliquent bien facilement par la présence systématique de poisons dans les aliments animaux, par la montée du stress, par l’inoculation des horreurs vaccinales.
1. Alfrey AC, Legendre GR, Kheany WD. : The dialysis encephalopathy syndrome. Possible aluminium intoxication. N. Engl J Med 1976 ; 294 : 184-188.
2. Dr R. GARNIER, Le Concours Médical 22/2/1997, 119-07, 474-475.
3. Travaux du Dr Michel Jadoul, chef de clinique adjoint à l’hôpital St Luc à Bruxelles
4. Université Catholique de Louvain La Neuve (1340 - Belgique) : travaux d’une équipe dirigée par le neurobiologiste Philippe Van Den Bosch de Aguilar et par le biochimiste Robert Crichton.
5. Rudolf STEINER, extrait de « Santé et Maladie » / Conférence du 13 janvier 1923 (pp. 328 à 333) ‑ Éditions Anthroposophiques Romandes.
6. Dr Anne RICHARD, Panorama du Médecin n° 4452, 20 janvier 1997 : « ESB : LE PRION NE SERAIT PAS L’AGENT INFECTIEUX » par l’équipe du Pr. Corinne Lasmezas (Commissariat à l’énergie atomique, Fontenay-aux-Roses) / travaux publiés dans « Science ».
Deux références indiscutables :
ESB : LE PRION NE SERAIT PAS L’AGENT INFECTIEUX
La responsabilité du prion (protéine PrP) serait remise en cause dans la transmission de l’encéphalite spongiforme bovine (ESB), selon les résultats d’une étude française conduite par le Pr. Corinne Lasmezas et son équipe (Commissariat à l’énergie atomique, Fontenay-aux-Roses) et publiée dans « Science ». De fait, le prion, qui semble dans ce travail distinct de l’agent encore non identifié responsable de l’infection, agirait seulement comme un agent de virulence facilitant son adaptation à une autre espèce.
« Cette étude, qui a débuté en 1991, s’est déroulée en 3 étapes, précise le Pr. Lasmezas en expliquant : la première étape a consisté à injecter des broyats de cerveau de vache malade (contenant du prion) à un premier lot de souris, provoquant dès lors l’atteinte neuronale de tous les animaux. A ceci près que 58% d’entre eux ne comportaient pas d’accumulation de protéine PrP. Dans la deuxième phase de l’étude, des extraits de cerveau des souris atteintes, positif et négatif au prion, ont donc été inoculés à un deuxième lot de souris. Dans le cas du cerveau négatif, 38% des rongeurs, bien qu’injectés, n’avaient toujours pas de protéines PrP, alors que ceux qui avaient été inoculés avec du cerveau positif au prion en contenaient tous. La troisième étape a permis de constater que toutes les souris inoculées avec du cerveau de souris malade du deuxième lot et négatif pour le prion devenaient toutes positives à la protéine PrP. »
Parallèlement, une diminution et une stabilisation de la période d’incubation de la maladie ont été observées, témoignant de l’adaptation de l’agent de l’ESB à la souris.
De tels résultats suggèrent qu’un agent responsable de la maladie qui n’est pas le prion ‑ puisque ce dernier est absent chez plus de la moitié des rongeurs lors de la première inoculation -, a bel et bien été transmis aux souris.
Il existerait ainsi une dissociation entre l’agent pathogène non encore identifié qui se transmet et la protéine pathologique, sorte de facteur de virulence lié à l’adaptation de l’agent à ses nouveaux hôtes.
Panorama du Médecin n° 4452, 20 janvier 1997
« VACHES FOLLES » : UN AVERTISSEMENT EN 1923
l’Homme mange régulièrement des matières végétales et des matières animales. Je vous ai déjà dit une fois qu’il n’est absolument pas dans mon intention de plaider pour un régime alimentaire quelconque mais que je dis simplement comment agit ce régime. Et il est fréquemment arrivé que des végétariens viennent à moi pour me parler de leur tendance à perdre parfois légèrement connaissance etc..., je leur disais alors : eh bien, cela provient du fait que vous ne mangez pas de viande. Il faut considérer les choses d’une manière tout à fait objective, n’est ce pas. Il ne faut pas vouloir arriver à ses fins par la force. Mais que signifie « considérer d’une manière objective » pour ce qui est de la nourriture végétale et de la nourriture carnée ? Voyez vous, Messieurs, considérez la plante. La plante parvient à développer son germe qui est enfoui dans la terre de manière à ce qu’il donne des feuilles vertes et des pétales de couleur. Et comparez une chose comme celle que vous tirez de la plante - soit vous cueillez directement les épis, soit vous cueillez un chou tout entier et en faites un plat cuisiné -, faites en donc une comparaison avec la viande, avec la chair musculaire des animaux. La substance est tout à fait différente, n’est ce pas ? Mais quel lien y-a-t-il entre ces deux matières ?
Vous savez bien qu’il existe des animaux qui se comportent tout à fait en bons végétariens. Certains animaux ne mangent pas de viande. Prenons l’exemple de nos vaches, elles ne mangent pas de viande. Les chevaux eux non plus ne sont pas carnivores, ils ne mangent que des végétaux. Or, il faut bien se rendre compte que l’animal ne se contente pas d’ingurgiter de la nourriture mais qu’il se débarrasse en permanence de ce qui se trouve dans son corps. Vous savez que les cerfs perdent leurs bois. Vous-mêmes, lorsque vous vous coupez les ongles, vous constatez ensuite qu’ils repoussent. Mais ce qui apparaît dans ce cas visiblement se déroule constamment ! Nous éliminons constamment notre peau. Je vous l’ai déjà exposé précédemment. Et en l’espace de sept ou huit ans, nous avons éliminé tout notre corps que nous avons remplacé par un corps neuf. C’est également le cas chez les animaux.
Arrêtons-nous un peu sur une vache ou un boeuf : et bien, si vous le prenez quelques années plus tard, la chair qui est en lui est complètement changée. Cela est quelque peu différent chez le boeuf et chez l’homme ; la régénération se fait plus rapidement chez le boeuf. Sa chair est donc régénérée. Mais qu’y a-t-il à l’origine de cette chair ? C’est ce que vous devez vous demander. De pures matières végétales en sont à l’origine. Le boeuf a lui-même produit sa chair à partir de matières végétales. C’est la chose la plus importante qu’il faille relever. Le corps animal est donc capable de transformer des végétaux en chair. Et bien, Messieurs, vous pouvez faire cuire un chou aussi longtemps que vous voulez, vous n’en tirerez pas de la viande. Vous n’arriverez pas à en tirer de la viande en le mettant dans votre poêle ou dans votre casserole, pas plus qu’il n’est possible de transformer en viande un gâteau que l’on prépare. Il n’y a donc pas de technique qui permette cela. Mais en somme, ce que l’on ne peut pas faire techniquement se fait dans le corps de l’animal. Mais les forces nécessaires à cette opération doivent d’abord se trouver dans le corps. Parmi toutes les forces techniques dont nous disposons, il n’en est pas qui permettent de transformer des végétaux en viande. Nous n’en avons pas. Notre corps ainsi que le corps de l’animal contiennent donc des forces capables de transformer des substances végétales, des matières végétales en matières carnées.
Considérez maintenant une plante. En voici une (voir croquis). Elle se trouve encore dans un pré ou dans un champ. Jusqu’à présent les forces ont agi, elles ont fait pousser des feuilles vertes, des baies, etc... Supposez maintenant qu’une vache mange cette plante. Une vache ou un boeuf qui mange cette plante la transformera en chair. Cela signifie que le boeuf possède des forces en lui qui lui permettent de transformer cette plante en chair.
Imaginez qu’il prenne au boeuf l’envie de se dire : j’en ai assez de me promener et de ne faire qu’arracher ces herbes. Un autre animal pourrait le faire pour moi. Je vais de ce pas manger cet animal ! Voyons : le boeuf se mettrait donc à manger de la viande ! Il est pourtant capable de fabriquer lui-même de la chair ! Il dispose de forces le lui permettant. Que se produirait-il donc si au lieu de végétaux le boeuf se mettait à manger de la viande ? Toutes les forces qui pourraient produire de la chair en lui se trouveraient donc désoeuvrées. Prenez n’importe quelle fabrique devant produire une chose quelconque, et supposez que vous ne produisiez rien mais que vous mettiez toute la fabrique en marche - imaginez un peu le gaspillage de force qu’il pourrait y avoir. Une force considérable serait donc gaspillée. Or, Messieurs, la force qui est gaspillée dans le corps de l’animal ne peut se dissiper comme ça. Le boeuf déborde de cette force ; elle fait en lui autre chose que transformer en matière carnée les matières végétales. Cette force demeure, elle est bien là. elle agit autrement en lui. Et ce qu’elle fait produit en lui toutes sortes de déchets. Au lieu de chair, ce sont des substances nuisibles qui sont fabriquées. Le boeuf se remplirait donc de toutes les matières nuisibles possibles s’il se mettait soudain à être carnivore. Il se remplirait notamment d’acide urique et d’urate.
Or, l’urate a quant à lui des habitudes particulières. Les habitudes particulières de l’urate sont d’avoir un faible pour le système nerveux et le cerveau. Si le boeuf mangeait directement de la viande, il en résulterait une sécrétion d’urate en énorme quantité, l’urate irait au cerveau et le boeuf deviendrait fou. Si nous pouvions faire l’expérience de nourrir tout un troupeau de boeufs en leur donnant soudain des colombes, nous obtiendrons un troupeau de boeufs complètement fous. C’est ainsi que cela se présente. Malgré la douceur des colombes, les boeufs deviendraient fous.
Voyez-vous, une telle chose contredit bien entendu le matérialisme car si les boeufs ne mangeaient que des colombes, ils devraient devenir aussi doux que les colombes, si seule comptait l’action de la matière - s’il y a une chose qu’ils ne font pas, c’est bien celle-là, ils deviennent au contraire des êtres fougueux et enragés. Pensez seulement que les chevaux confirment déjà ce fait. Ils deviennent fougueux à la moindre quantité de viande qu’on leur donne ; ils s’excitent parce qu’ils ne sont pas habitués à la nourriture carnée.
Et bien, Messieurs, cela n’est pas sans concerner l’homme.
L’histoire nous apprend une chose fort intéressante, à savoir qu’une partie de la population asiatique est strictement végétarienne. Ces gens là sont en effet des êtres doux et peu bellicistes. C’est seulement à partir du Proche Orient que l’on commença à manger de la viande, et c’est là aussi que commença la fureur belliciste. Cela s’explique par le fait que ceux parmi les peuples asiatiques qui ne mangent pas de la viande emploient leurs forces à transformer les matières végétales en matière carnée, forces qui restent autrement inutilisées, inconscientes. Il en résulte que ces gens restent doux alors que les autres peuples ne le restent pas tout autant.
Or, n’est ce pas, il faut savoir que ces hommes n’ont pu se livrer comme nous le faisons maintenant à ces réflexions qu’au fur et à mesure. Car lorsque les hommes commencèrent à manger de la viande, il n’était pas possible de se livrer à la réflexion tel que nous venons de le faire. Ils étaient guidés par le sentiment et par l’instinct.
Voyez-vous, le lion mange toujours de la viande : il n’est pas végétarien. Le lion a des intestins très courts. Et ceux des animaux qui sont herbivores ont des intestins très longs. Leurs intestins sont très longs. On trouve la même chose chez l’homme. Un homme issu d’une race ou d’un peuple quelconque où tous les ancêtres mangeaient de la viande a déjà des intestins plus courts. Ses intestins sont devenus trop courts pour une vie exclusivement végétarienne. Il faut alors que l’homme passe par tout ce qui le rend apte à conserver malgré toute sa santé s’il ne mange que des végétaux.
Certes, il est aujourd’hui tout à fait possible d’être végétarien. Et cela comporte beaucoup d’avantages. Plus précisément, ne manger que des végétaux et non de la viande est profitable dans la mesure où l’on se fatigue moins vite. On se fatigue moins vite de l’intérieur parce que l’on évite justement la sécrétion d’urate et d’acide urique. On se fatigue moins vite et on garde la tête plus claire, on pense par conséquent plus facilement, si jamais l’on pense. Pour celui qui ne peut pas penser, il n’est bien entendu pas profitable d’avoir une tête dégagée d’urate car il est indispensable, n’est ce pas, que toute la complexion humaine soit en accord. Bref il est possible à l’homme de se rendre végétarien s’il fait un effort sur lui-même. Il emploie alors des forces qui restent tout simplement inutilisées chez la plupart des hommes qui mangent aujourd’hui de la viande.
Extrait de Santé et Maladie de Rudolf STEINER / Conférence du 13 janvier 1923 (pp. 328 à 333)
Éditions Anthroposophiques Romandes.
[1] Relire l’article sur les oeufs dans la revue n°16
[2] Relire l’article du Dr Jacqueline BOUSQUET ‑ dans la revue n°15 ‑ sur les Prions.
[3] La BIOELECTRONIQUE mise au point par le Pr. Louis Claude Vincent permet de mesurer de façon scientifique et irréfutable certaines constantes des substrats biologiques (sang, salive, urines ou autres). Tous ces substrats contiennnent une très forte proportion d’eau, dont la formule moléculaire est H2O. Tout processus impliquant la vie est lié entre autres choses à une dissociation de cette molécule en ions H+ et OH-...
1. le pH signe la proportion d’ions H+ dans le milieu étudié : plus ils sont nombreux, plus le milieu est acide. Au contraire, si les ions OH- sont prédominant, le milieu sera basique. Chacun de ces ions génère un micro champ magnétique. En d’autres termes, le pH manifeste l’état magnétique du milieu et donne son niveau d’acidité.
2. le rH2 signe l’état d’électronisation : les ions H+ en suspension dans le milieu attirent des électrons (charge électrique négative) pour former de l’Hydrogène (H2). La récupération d’électrons par le milieu, aboutissant à cette formation d’hydrogène, correspond à un mécanisme appelé « réduction ». A l’inverse, si le milieu perd des électrons, il y a alors formation d’oxygène (02) et on parle alors d’« oxydation ». Ces fluctuations se retrouvent dans tous les phénomènes de la vie ‑ comme au cours de la fécondation : l’ovule féminin est avide d’électrons et les obtient dans la semence mâle qui en est très riche !
3. le rô est la mesure de la concentration du milieu en électrolytes. Plus le milieu est riche en ions conducteurs, plus le passage d’un courant au travers du milieu en question est aisé : on dit que sa conductivité est importante. Par contre, si le milieu contient peu d’ions, alors, le courant ne pourra passer que très difficilement, et la résistivité sera élevée. Cette constante permet donc d’apprécier la pression osmotique du milieu.
Les plus récentes découvertes en électronique tendent finalement à faire de l’électron le constructeur et l’animateur de tout ce qui est vivant, alors que l’atome ou le proton H+ donne une « qualification » aux énergies vitales.
[4] Le terrain bioélectronique de l’hydroxyde d’aluminium est d’ailleurs extrêmement proche du terrain correspondant aux maladies virales (il est un peu plus oxydé, un peu moins basique, mais avec un niveau de résistivité très diminué). Ce qui permet de prendre conscience de l’impact de variations mêmes minimes de cet équilibre sur la santé du corps comme de l’esprit. à l’inverse, la vitamine C bouleverse très profondément ces constantes et permet donc une modification beaucoup plus radicale et efficace.
Il faut se souvenir ici que d’après la Médecine Traditionnelle Chinoise, l’esprit est véhiculé par le sang !
[5] Que Choisir - mars 87, interview du Dr Louis Lery, chef du Service Vaccinations de l’Institut Pasteur de Lyon : « ...si l’on vaccine contre la diphtérie, le tétanos, la polio, la coqueluche et l’hépatite B, l’ensemble représente tout de même 8 mg (8 000 microgrammes) d’hydroxyde d’aluminium. »
Pour toute question ou problème concernant ce site Web, envoyez un courrier électronique à Jacques Daudon. © 2005
Dernière mise à jour le : 04 mars 2006.