Le carnage mayennais, où plusieurs milliers de bêtes ont été sacrifiées démontre à l'envi l'irresponsabilité de nos responsables politiques et administratifs, qui veulent en finir avec l'élevage français. D'autant qu'ils ne savent que répéter que la maladie vient d'un virus, mais on ne peut rien savoir d'autre. Ils ont la mémoire courte, car on sait toujours soigner très facilement cette maladie. 250 gendarmes, 110 journalistes, des curieux de tout bord pour voir un tel carnage! Le monde est fou! Un responsable vétérinaire des Hautes-Alpes, m'a avoué qu'ils étaient sous les ordres et qu'ils n'avaient pas intérêt à broncher, mais à appliquer. Au nom de notre devoir de mémoire et par respect pour tout éleveur, nous nous devons de transmettre les documents joints par tous les moyens à toutes les Préfectures de France et Chambres d'Agriculture. Faisons notre devoir d'information afin que nos frères et citoyens français soient enfin informés.
CAUSES TRES VRAISEMBLABLES DE LA MALADIE.
Les engrais potassiques, les fumiers « beurre noir », le purin, ou les lisiers sont très riches en potassium, antagoniste du Mg. Les engrais azotés à radical ammonium, sont des antagonistes du magnésium et du cuivre, agents protecteurs par excellence. Les amendements calcaires, scories y compris, les engrais azotés sont des antagonistes du cuivre et du cobalt.
De multiples enquêtes durant plus de 17 ans ont permis de trouver l’agent causal, systématiquement, dans chaque exploitation atteinte de cette maladie de polycarences,. L’utilisation de scories et de potasse, soit sous forme de scories et de purin ou de fumier peu pailleux rendu au stade de beurre noir et épandu sur prairies déséquilibrent les fragiles rapports minéraux si l’on n’effectue pas, le salutaire compostage.
On oublie que les scories sont avant tout constituées de chaux déversée dans la fonte en fusion entre 1500 et 1600°. Or, la chaux est l’élément antagoniste du phosphore et de la plupart des oligo-éléments dont principalement le magnésium et le cuivre.
Cette maladie, vraisemblablement, maladie de polycarence peut rapidement être circonscrite si l’on apporte au sol le magnésium (en particulier) sous des formes variant avec la constitution des terrains.
L’épandage d’oligo-éléments dans des proportions judicieusement choisies, après analyses spectrophotométriques des terres doit conduire à la disparition des carences, donc des maladies. Vérifier également que le taux de matières carbonées est suffisamment élevé, mais ne pas oublier qu’en dernier ressort c’est l’animal qui permet de savoir si un sol est équilibré ou non. Le Dr Quiquandon affirme que le « Phosoligol » est un produit remarquable utilisé à raison de 15 kgs hectare, jusqu'à 50 kgs sur pâturages et 150kgs en plusieurs fois s’il y a eu utilisation abusive d’engrais minéraux, de pesticides ou chaulages abondants.
Traitement lors de l’apparition de la maladie :
1. Oligo-Magnésium : 30 cm3 par litre d’eau ; 1 litre matin et soir pendant 15 jours. Arrêter 5 jours et reprendre 15 jours et ainsi de suite.
2. Anabactyl : A administrer pendant 15 jours mais 3 cuillères à soupe matin et soir, mélanger à oligo-magnésium.
3. « M.C.H » : 3 injections par semaine sous la peau du cou pendant 3 semaines de suite.
4. « Vet-Aromasol » : 1 séancepar jour d’aérosol à l’aide d’un thermo-fogger pendant 15 jours.
5. Désinfection à l’aide d’Odoriphytol : étables et écuries par pulvérisations, 1 litre de produit par 100 litres d’eau.
Veuillez avoir l’amabilité de contacter le professeur Boucher, tel : 02.40.49.47.90, le Docteur Quiquandon, tel en Espagne : 00.34.977.81.04.48 ou l’ingénieur agronome Michel Barbaud dont le tel portable : 06.13.19.57.43.
Nous avons donné nos informations d’une manière amicale, à vous d’agir avec le plus d’informations possibles, venues des trois personnes citées. Leurs expériences ont fait leurs preuves.
Cordialement
Jacques Daudon
La Tuberculose, la Fièvre Aphteuse, la Brucellose, l’E.S.B, etc...
Elles se développent lorsque les défenses immunitaires sont faibles.
Les défenses immunitaires dépendent de ce que mangent les animaux, donc de la santé de nos sols. La nourriture est aujourd’hui dévitalisée, elle ne contient plus les éléments indispensables : Magnésium, phosphore, fer, cuivre, zinc, bore, manganèse etc..
Le Magnésium est absent, car il est rejeté par deux molécules dominantes en agronomie chimique : l’Ammonium et le Potassium (les nitrates et la potasse). Deux gros atomes mous et dégénérescents. L’un est issu de la chimie de synthèse, l’autre de roche secondaire (dépourvus d’énergie interne), scories potassique, ou potasse de carrière.
Le Magnésium est la clé de l’assimilation des oligo-éléments. Nous avons à faire à des végétaux structurés uniquement avec des molécules de Nitrate et de Potassium.
AMMONIUM, POTASSIUM = COUPLE INFERNAL
L’agrochimie à l’origine de toutes les pathologies modernes
C’est le milieu alcalin oxydant, centre des forces de dégradation et de destruction.
La Tuberculose, comme toutes les autres épidémies est due en réalité à une chute de l’équilibre sanitaire des sols. Elle n’apparaît pas sur les sols calcaires à Ph neutre, équilibrés par le magnésium et le compost fermenté et mâturé.
Le bétail de l’île de Jersey atteint par la tuberculose fut sauvé en chaulant les terres avec du lithotamne et de la chaux magnésienne. Aucune tuberculination ne fut effectuée, aucun abattage n’eut lieu, évitant la ruine des éleveurs.
« La santé des êtres humains est étroitement reliée à l’agriculture ». Jean Boucher.
Lors des épidémies des années 60-70, les fermes qui utilisaient le lithotamne et réalisaient un compost équilibré (fermenté et mâture), n’avaient pas été touchées par la fièvre aphteuse, alors que les animaux infectés, appartenant à des fermes voisines léchaient les animaux sains par-dessus les clôtures. Ce n’est pas en construisant à coup de milliards des Instituts producteurs de vaccins anti-aphteux ou autres et en vaccinant que l’on parviendra à arrêter le fléau.
Apparemment ces instituts (qui impose leurs lois aux pays grâce à des sophismes) prouvent leur incompétence et démontrent que les vaccinations sont inopérantes. La solution finale semble être aujourd’hui, l’abattage systématique. Bientôt, ce sera le tour des bipèdes.
L’ion magnésium, chargé positivement (cation) est l’élément majeur de la santé du sol, du végétal, de l’animal et de l’homme.
Nous avons voulu passer outre aux lois formelles et intransgressibles de la nature. Le rapport Mg/K doit être supérieur à 2,5 et non inférieur à 1, comme le préconise l’agriculture chimique.
La plaine de la Limagne avait avant la deuxième guerre mondiale 1000 mg de magnésium par kg de terre. Aucune pathologie n’était décelée sur les blés. Ils donnaient une farine à haute valeur boulangère.
Depuis que l’on étend par milliers de tonnes, les scories potassiques et autres formes de potasse, le magnésium a disparu. Il faut descendre à 1 mètre de profondeur pour en trouver 800 à 900 mg/kg. En surface nous trouvons seulement 120 mg de magnésium et 300 à 400 mg de potasse. La santé demande l’inverse.
Le potassium est nécessaire à la plante, mais en excès la plante se gave de potasse et de nitrate. Elle se gonfle avec une croissance rapide. Sa structure est faible, fragile, sans défense contre les parasites et les maladies cryptogamiques (champignons pathogènes). Ces végétaux n’ont pas de force vitale, dépourvus d’énergie interne. Ils ne peuvent transmettre d’énergie à ceux qui mangent la plante ou la céréale. Pas de Mg, pas d’oligo-éléments ou très peu.
C’est un terrain à cancer sous toutes ses formes !
C’est un terrain qui favorise toutes les épidémies à virus et autres ! Ces végétaux deviennent des poisons pour les animaux et pour l’homme !
Quand le potassium est dominant, son cousin le plus proche, l’ammonium (nitrate) se joint inévitablement à lui pour accélérer le processus de dégénérescence.
Si l’on rajoute quelques herbicides et pesticides, cette dégénérescence atteint un paroxysme. Les conséquences sont inévitables : végétaux et animaux sans résistance, réceptifs à toutes les pathologies.
Les produits phytosanitaires sont des dangers pour la santé, car ils sont toxiques et rémanents.
Le recul nous apprend qu’associés aux excès nitriques et potassiques, ils bloquent la biosynthèse des vitamines, des enzymes, des acides aminés et du bio catalyseur principal : le magnésium.
L’effet dégénérescent accéléré constaté sur les végétaux, entraîne la prolifération et la mutation des virus, des champignons pathogènes, des insectes parasites.
Ces mutations obligent les fabricants de ces molécules de synthèse morbides à trouver des molécules hyper renforcées, encore plus dangereuses pour la faune, la flore, les végétaux, les animaux et les humains.
Les agriculteurs, en contact avec ces produits payent un lourd tribu. Dans cette population les cancers y sont nombreux et variés. Les nuages de ces pulvérisations chimiques voyagent dans l’atmosphère et retombent à des kilomètres de l’épandage initial. D’autres populations sont menacées.
Services vétérinaires, services des fraudes, où est le principe de précaution ?
Plus l’alimentation est nulle en magnésium, plus l’on constate des maladies mentales. La France est en tête du peloton.
AGRICULTURE RAISONNEE OU DERAISONNABLE ?
Les ions nitrate NO3 se transforment en ions nitrites NO2 dans le tractus digestif sous l’effet de la fermentation intestinale. Chez les ruminants, la toxicité est plus accusée. Pour les autre animaux et les humains la transformation se termine par la nitrosamine, plat de choix pour alimenter toute forme de cancer et de maladies à virus. Oxydation de l’hémoglobine en méthémoglobine avec diminution de la capacité de transport de l’oxygène par le sang.
A ce régime nitrique, il y a disparition des vitamines car les ions nitriques inhibent toute incursion vitaminique que ce soit les vitamines A, B, ou les E.
Les pathologies diverses qui nous accablent sont la conséquence de ces avitaminoses et du blocage des processus des transmutations dans le sol, des minéraux et des oligo éléments ; cuivre et manganèse notamment par le pont bactérien. Ce dernier étant presque inexistant, détruit par les herbicides et les engrais solubles.
Lorsqu’on apporte au sol des engrais solubles chimiques qui sont le résultat d’une réaction qui se réalise normalement par un processus naturel, on supprime du même coup le processus naturel qui réalise cette réaction.
Ce processus naturel quel est-il ?
Ce sont des milliards d’ouvrières que sont les bactéries, cent fois plus intelligentes que tous les scientifiques de la planète réunis.
Elles savent réunir en milliardième de seconde, les nutriments nécessaires à toute rhyzosphère (environnement racinaire de tout végétal).
Bien sûr qu’on avait intérêt à les combattre, sinon l’agriculteur aurait découvert qu’il pouvait produire sans la chimie de synthèse.
C’est ce que le professeur Jean Boucher, Quiquandon, Howard et Steiner ont découvert.
L’ERREUR AGRONOMIQUE, cause de tous nos malheurs actuels est l’utilisation déraisonnable du couple infernal AMMONIUM POTASSIUM, renforcé par l’utilisation des organochlorés et organophosphorés, cause première de la maladie E.S.B (organo phosphoré, inoculé dans le sang des animaux en guise de vermifuge : Phosmet.
Pour tout renseignement, s’adresser à : Michel Barbaud Spécialiste de l’Agronomie Eubiotique. Le N° de téléphone est en première page. Les produits utilisés pour soigner les animaux sont vendus par la Société Solidor : ZI de Kérandré, 56700 Hennebont. Tel : 02.97.36.28.67 - Fax : 02.97.36.59.22. Condensé d’un article de Michel Barbaud.
PARTI DES EUROPEENS PROGRESSISTES - (PEP) - Fondé le 07 Mars 1989
Président : Maurice Eugène ANDRE Vice-président Jacques DAUDON
HUMANISTES DE COEUR ET DE RAISON
PARTI Progressiste Belge (PPB)
Fondé le 27 Avril 1978
Vice-Président : Alphonse L’HOMME
Président Fondateur: Maurice-Eugène ANDRE Siège du PPB et PEP: 54, Quai du Halage, B-4600 Visé BELGIQUE
PARTI des Français Progressistes (PFP)
Fondé le 19 Février 2000
Vice-président: Michel COTTANCEAU
Président Fondateur: Jacques DAUDON
Siège du PFP: Saumane, F-05700 Serres France
Serres le 14 Mars 2001
Les Présidents du P.E.P à
Messieurs les Préfets des Hautes-Alpes, de la Drôme, de l’Ardèche et des Alpes de Haute-Provence.
Nous nous permettons d’attirer votre attention sur le problème de la fièvre aphteuse, afin que vous puissiez personnellement cerner un contexte où l’information ne brille guère par sa clarté. Il est anormal que ce soit des mouvements politiques indépendants qui seuls, réagissent, poussés par le désir de communiquer aux autorités administratives des arguments d’une réelle valeur scientifique.
Il est nécessaire que vous compreniez que l’on ne chasse pas les virus en employant l’abattage en nombre et l’asepsie jusqu’au ridicule. On combat une épizootie en palliant aux causes profondes de cette dernière, par des mesures hygiéniques spécifiques : diminution notable des engrais chimiques qui polluent nos terres, apports de magnésie suffisants, et emploi de fumures parfaitement décomposées.
Les divers numéros de téléphones cités sur la première page devraient vous permettre d’obtenir les renseignements nécessaires à la compréhension de cette situation alarmante qui met en péril, bêtes et humains. Nous ne cessons d’avertir les pouvoirs publics.
Considérant que nous avons rempli notre devoir, nous vous transmettons, messieurs, nos respectueuses salutations. Nous apprécierions de votre part, une réponse. Par avance, merci.
Pour toute question ou problème concernant ce site Web, envoyez un courrier électronique à Jacques Daudon. © 2005
Dernière mise à jour le : 04 mars 2006.