FAITES CONNAITRE CETTE CRITIQUE IMPORTANTE DE NOTRE AMI MARTIGNY (anti-oxydant)
Vous permettrez à vos amis d'éviter de multiples désagréments au niveau de la santé.
Depuis plusieurs années, nous nous sommes aperçus tant dans le domaine agricole, production des céréales, fruits, légumes, que dans l'industrie agro-alimentaire qu'une orchestration de grand style penchait pour une symphonie du déséquilibre. Ces industries s'appuient en effet sur des molécules de synthèse extrêmement dangereuse pour l'hommes et pour l'animal, trop souvent inutiles, avec en soutien des procédés de conservation où se glissent même l'irradiation.
Les résultats sont navrants. Des carences nombreuses ( avitaminoses) mais aussi un manque réel d'éléments majeurs comme le magnésium et des déséquilibres au niveau des d'oligo-éléments.
A partir de ces constatations, il n'est plus possible de rester en bonne santé, pour la majorité. D'où l'intervention de François Martigny sur l'importance des compléments alimentaires.
Voir "Médecines Nouvelles" N°102 - 3 ème trimestre - de la page 29 à la page 39 . (Jean Boucher, Michel Barbaud, Jacques Daudon). L'agriculture responsable de la santé des hommes.
SI NOUS NE NOUS UNISSONS PAS POUR CONTRARIER LES MAUVAIS PROCEDES DES INDUSTRIES MISES EN CAUSE, LA MAUVAISE FOI DES POUVOIRS PUBLICS ET DES DIVERS MINISTERES SUR DES SUJETS AUSSI IMPORTANTS POUR L'AVENIR DU GENRE HUMAIN, IL EST PLUS QUE SÜR QUE NOUS ALLONS VERS UNE DIMINUTION NOTABLE DE L'ESPERANCE DE VIE, LA DEGENERESCENCE DE TOUS LES ETRES, AVEC A LA CLEF DES MALADIES EFFROYABLES
SI LES REPRESENTANTS DU PEUPLE N'ONT PAS LE COURAGE DE REAGIR, NOUS SAVONS CE QU'IL NOUS RESTE A FAIRE. VOTER VERS DES GROUPES ET MOUVEMENTS DE PRESSION INDEPENDANTS.
A FAIRE PASSER AU MAXIMUM. MERCI.
François Martigny – 24, impasse Riante – 74100 Vétraz-Monthoux - martigny.fr@wanadoo.fr
Chercheur indépendant, conférencier dans le domaine de la nutrition et des vitamines
LETTRE OUVERTE À ALTERNATIVE SANTÉ, L'IMPATIENT
À : Mme Cécile BAUDET, Comité de rédaction
CC : M. Pierre DHOMBRE, Directeur de la publication
Référence : Votre article sur les anti-oxydants paru dans le n° 280 du journal Alternative Santé, l’impatient de juillet – août 2001
Objet : Pour quelle étrange raison vous êtes–vous rangée à la version officielle des dosages infinitésimaux et inefficaces des tristement célèbres AJR ?
Les explications dans votre article sont justes, mais où se trouve l'alternative ?
Subissez-vous des pressions pour cacher certaines vérités sur l'immense intérêt des antioxydants ou vous manque-t-il des éléments ?
A ces questions et bien d'autres, les paragraphes suivants tentent d'apporter quelques éclaircissements :
Abonné à votre journal depuis de nombreuses années, j’apprécie dans l’ensemble votre journal, vos prises de positions courageuses, l'humour et je le recommande à ceux qui recherchent un premier chemin vers une autre santé.
Dans votre article en référence, on retrouve les bons conseils alimentaires que donnent tous les journaux de la grande presse, mais un siècle de recherches ne saurait se résumer à cette seule recommandation de diététique, fût-elle crétoise…
Donc au lieu de présenter les connaissances alternatives vous restez timidement dans le "médicalement correct" et vous servez ainsi la logique économique de l’industrie pharmaceutique plutôt que celle de la recherche de la vérité.
En paraphrasant le docteur W.D. Currier, je pense que " l'application des principes développés dans les livres que vous citez conduirait à un si fantastique progrès de la santé, qu’aucun autre événement de l’histoire de l’humanité ne pourrait lui être comparé."
C'est au début du vingtième siècle que les recherches entreprises sur les vitamines firent entrevoir une destinée bien différente à l'humanité maladive. Les multiples éléments pro-biotiques étudiés depuis cette époque ouvrirent la voie royale à une véritable connaissance de nos besoins nutritionnels et permirent de mieux comprendre leurs effets prodigieux sur notre état de santé.
Il y avait largement de quoi fonder les bases d'une école de santé florissante et reléguer Louis Pasteur et Alexander Fleming vers les derniers bancs.
Fâcheusement cette prévention ne rapportant rien, c'est le business qui s'est emparé du créneau et l'a transformé en une gigantesque et prospère industrie. L'autre industrie cousine, l'agroalimentaire avec toutes ses folies ferme le piège. Comment se nourrir sainement avec des aliments qui ne le sont plus ?
Dans le puzzle de la santé la pièce des vitamines est indispensable pour compléter harmonieusement une recherche d'équilibre. Mal informés sur ce point crucial, vos lecteurs risquent d'être encore et pour longtemps de fidèles consommateurs de soins médicaux.
Conforté par des années d'études et d'expériences, encouragé par la résistance acharnée de ceux qui craignent pour leurs affaires, je donne depuis 1997 une grande partie de mon temps à transmettre ces informations. (1) Serez-vous le dernier journal de médecine alternative à ouvrir vos colonnes aux thèses parallèles ?
Il a fallu 118 ans à l’époque pour que la découverte par James Lind de l’influence bénéfique des fruits sur le scorbut soit reconnue par la marine marchande britannique. (A Treaties on Scurvy - 1753). Mais les vents ont tourné, ils sont plus favorables et j’espère qu’avec votre aide nous verront prochainement admis les travaux des : E. Collum, M. Davis (1913), Albert Szent-Györgyi - qui reçu le prix Nobel en 1937 pour la découverte de la vitamine C - Dr William Barlow, Dr R. James Shute, Dr Evan V. Shute, Dr Wilfrid E. Shute, Dr Frederick Klenner, Dr Clemetson, Dr Cheraskin, Irwin Stone, Dr C.W. Jungeblut, Boissevain et Spillane, Linus Pauling, Dr A. Kalokerinos, pour ne citer que quelques-uns uns des précurseurs les plus connus.
Ensuite, d'autres nombreux chercheurs sont venus confirmer et compléter les thèses de ces pionniers. Comment ignorer une somme d'études aussi vaste ? Vous citez quelques ouvrages excellents, mais je me demande si on ne vous a pas fait une mauvaise farce en glissant les données d'autres livres parce que je n'ai pas reconnu le sens des travaux, les démonstrations et finalement les intentions des auteurs principaux que vous citez dans votre bibliographie !
3 ) CHERCHEZ L'ERREUR … LES CHIFFRES DE L'OMS SONT À LA PLACE DE CEUX DES AUTEURS CITÉS !
Pour simplifier l'analyse, je prendrai pour exemple ce que vous écrivez à propos des vitamines anti-oxydantes A, C et E.
Apparemment, votre article a été contaminé par le virus de l'OMS. C'est une contagion fréquente que l'on rencontre surtout dans la grande presse et qui affecte presque exclusivement les produits naturels nuisibles au marché des médicaments.
Ce virus n'est pas très facile à détecter car en général le texte infecté dit du bien du produit considéré, la théorie est juste mais c'est généralement au moment de parler de la pratique que les symptômes apparaissent sous la forme d'une typique éruption d'AJR.
Les AJR, (Apports Journaliers Recommandés) ce sont ces quantités ridiculement basses que les instances officielles diffusent et imposent par tous les moyens à la planète entière.
Le public n’y connaissant pas grand chose, le tour est joué, adieu les chiffres intéressants qui ont fait la notoriété des scientifiques et l'intérêt des vitamines ! Trois exemples pris dans l’ordre d’entrée de votre page 41 :
livres cités, ceux de Linus Pauling ce savant génial dont vous dites si peu et bien d’autres encore, recommandent au minimum de 1000 à 3000 mg/jour et justifient bien davantage en cas de maladie.
Or vous recommandez 60 à 100 mg/jour…
C’EST 10 à 30 FOIS MOINS QUE LES SOURCES QUE VOUS CITEZ !
Pour la vitamine C, mais la remarque est valable pour les autres vitamines, vous conseillez l’achat en pharmacie ! (?*¤) La composition des vitamines des laboratoires pharmaceutiques n'est pas meilleure que celle des vaccins dont vous avez appris à vous méfier. Ce sont la plupart du temps des vitamines de synthèse, vendues en dosages inefficaces, sucrées avec des édulcorants dangereux, colorés par exemple avec des E 102 de mauvaise réputation et avec des excipients du même style.
L'achat en magasin de diététique ou par correspondance s'impose, c'est un véritable choix alternatif, largement justifié. Vous pouvez y trouver des produits garantis d’origine naturelle qui contiennent les substances nécessaires à l’assimilation optimum des vitamines et dénués d'ajouts douteux.
la forme naturelle (alpha TE) les chiffres très moyens conseillés vont de 200 à 600 mg et bien d’autres études plaident en faveur de quantités plus élevées. (2)
Or vous recommandez 30 mg/jour,
C’EST 10 à 30 FOIS MOINS QUE LES SOURCES QUE VOUS CITEZ !
C’est encore plus simple, vous ne recommandez rien du tout.
En résumé, les quantités que vous conseillez à vos lecteurs n’ont pratiquement aucun effet. C’est d’ailleurs bien le but recherché par les laboratoires pharmaceutiques. On peut tout au plus attendre des AJR d'échapper aux maladies aiguës : telles la xérophtalmie, le scorbut ou l'infertilité par exemple. Par contre l'effet sera quasiment nul sur le simple rhume, la cataracte, les maladies cardio-vasculaires ou le cancer.
Je suis prêt à parier que le succès de nos footballeurs en 1998 ne peut en aucune façon reposer sur des dosages aussi minimes. Autant conseiller une demi-rondelle de carottes à ceux qui les aiment ?
Où se trouve la révélation annoncée ? Franchement j’avoue ne pas comprendre !
La vraie révélation aurait été de dévoiler que la censure bloque efficacement depuis près d'un siècle, toutes les nouvelles qui font concurrence à l'industrie pharmaceutique
4 ) L'ART DU PECHÉ PAR OMMISSION
C’est un art qui consiste à passer sous silence ou à minimiser l’ancienneté, le nombre, l’intérêt, la pensée, les titres des auteurs, les références et les résultats confirmés des études déjà entreprises. En fin de compte c'est comme si vous aviez un livre auquel il manquerait les pages les plus importantes.
Dans le livre que vous citez : (un exemple parmi d'autres) "La Nutrithérapie" du Dr Jean-Paul Curtay, il est pourtant clairement écrit à propos des dosages : (3)
" Ce sont ces données et bien d'autres qui ont amené les scientifiques, auteurs de la déclaration de Sass Fee, à recommander en 1992 aux gouvernements et au corps médical de faire connaître à la population l'importance des antioxydants dans la prévention des pathologies dégénératives. En 1994, l'Alliance pour la Recherche sur le Vieillissement (USA) a préconisé une supplémentation systématique en vitamine C, E et bêta-carotène (précurseur de la vitamine A), largement supérieure aux apports quotidiens recommandés jusqu'à présent".
Ensuite, Monsieur Pierre Dhombre, le PDG du journal, écrit par exemple dans l’éditorial : "Les anti-oxydants pourraient prévenir certaines maladies graves".
Ce conditionnel induit un doute et occulte allègrement 60 années d'expériences !
L’interview du Dr Joël Pincemail, page 40, relève du même processus. A propos de la vitamine E et de son effet préventif de l’athérosclérose, il déclare et je cite : "…nous manquons encore de grandes études cliniques…"
Comment le Dr Pincemail peut-il ignorer que cette démonstration a été faite en 1933 par le Docteur R. James Shute et ses deux fils, les Docteurs Evan V. Shute et Wilfrid E. Shute ? (4) Entre-temps, des centaines d’autres études et publications sont venues confirmer l’intérêt majeur de la vitamine E et d’autres vitamines antioxydantes dans la guérison ou la prévention des maladies cardio-vasculaires.
N’avez-vous pas remarqué que les autorités médicales deviennent sourdes et aveugles quand les intérêts de l'industrie pharmaceutique qu’elles représentent sont en jeux ? N’y a-t-il pas pire sourd que celui qui ne veut pas reconnaître que le vaccin contre l’hépatite B induit des effets secondaires gravissimes comme la sclérose en plaques ? À l’Impatient, ça doit vous rappeler des souvenirs.
5 ) PEURS INJUSTIFIÉES ET CHOIX MALHEUREUX
Il semble de nouveau apparaître un fort décalage entre ce que vous écrivez et vos références : Encore dans l’éditorial, Monsieur Dhombre écrit par exemple sur les antioxydants : "…preuve de leur action, ils peuvent aussi être dangereux".
La lecture des livres référencés ne véhicule nullement cette pensée. Bien au contraire, les effets secondaires y sont unanimement décrits comme étant bénins, connus et faciles à éviter.
Maintenant page 38 de votre article, dans la prévention du cancer, la vitamine A est très largement appréciée comme étant une vitamine efficace et là vous n'avez vraiment pas de chance, vous êtes tombée sur la seule et unique étude dont les résultats pourraient faire penser le contraire…:
La fameuse étude ATBC de Finlande !
Malheureusement vous ne donnez pas la suite dans votre article. Il aurait été utile d'ajouter que les scientifiques responsables de cette étude ont avancé les hypothèses suivantes pour expliquer ce résultat surprenant :
Usage de compléments synthétiques, abus d’alcool chez les sujets du test, prise trop élevée : certains participants avaient remarqué une coloration orange de leur peau. Dans le "New England Journal of Medicine" les auteurs ont eux-mêmes déclaré :
"Nous serions en fort désaccord avec quiconque tirerait une quelconque ferme conclusion que ce soit de ces résultats inattendus d’une seule étude, qui sont contraires à la totalité des preuves fournies par les autres études".
Vos livres vous feraient-ils encore des farces ?
Tous ces chaînons manquant, ça fini par faire une chaîne et une histoire bien différente dans laquelle l'épouvantail perd sa silhouette… Et vous citez à la suite de cette étude, le Dr Dominique Rueff, dans une conclusion très réservée sur l'avancement des recherches que je ne lui reconnais pas, mais que je lui laisserais éventuellement le soin de commenter. Je termine ici la critique de votre article et vous donne maintenant rapidement quelques éléments complémentaires pour étayer mon analyse de la situation.
6 ) DÉFINITION DES PRODUITS BOTANIQUES, DES VITAMINES ET DES SUPPLEMENTS NUTRITIONELS NATURELS
Les produits finis utilisent des matières premières qui sont présentes à l’état naturel et dans l’alimentation humaine depuis des millions d’années et dont les effets sont souvent bien connus depuis plusieurs centaines d’années.
Ils n’ont donc pas besoin d’autorisation de mise sur le marché car ce ne sont pas des médicaments. Ils sont faciles à produire, coûtent relativement peu cher, sont efficaces et n’ont que très peu d’effets secondaires.
S’ils en ont, ils sont très souvent anodins, bien répertoriés et cessent dès l’arrêt d’une utilisation inadaptée. De plus, mis à part quelques rares exceptions et contre-indications particulières, le surdosage avec les vitamines naturelles est sans danger, à moins d'avaler chaque jour la boîte entière pendant six mois !
Il n’y a pas de mortalité liée à la consommation des vitamines.
Les fabricants et distributeurs de ces produits sont souvent de petites structures. Comme les prises de brevets sont impossibles, les marges bénéficiaires sont normales et le marché est régulé par le jeu de la concurrence. (Heureusement parce que rien n’est remboursé dans le domaine des vitamines et autres compléments). Ils sont encore en vente dans les magasins de diététique mais leur avenir est de plus en plus menacé, surtout en Europe.
Le 20 juillet 2000, j'ai personnellement apporté à votre bureau un dossier de presse pour vous présenter le Dr Matthias Rath. Ses travaux avec l'extraordinaire double prix Nobel Linus Pauling auraient dû retenir votre attention. Avec des produits qui associent judicieusement vitamines et compléments alimentaires naturels il a fondé les bases de la médecine cellulaire dont le but est de donner précisément à nos cellules ce dont elles ont besoin. Dans un contexte moins corrompu, la valeur de ses travaux et son enthousiasme à faire connaître ses résultats remarquables mériteraient bien un prix Nobel.
Je vous ai d'ailleurs donné un bon pour commander son livre qui explique comment l’éradication des maladies cardiaques est une chose possible et qui permettrait de sauver des millions de personnes de morts prématurées. (5)
Aux Etats-Unis, la consommation de vitamines dans la lutte contre les maladies cardiaques a reçu l’approbation de l’American Medical Association.
En 25 ans, la consommation de vitamines aux Etats-Unis a quintuplé. Dans le même temps, les décès dus à des infarctus du myocarde et à des attaques cérébrales ont diminué de moitié.
Les médicaments vendus en pharmacie sont produits par les géants de l’industrie pharmaceutique qui n’ont aucun intérêt à guérir les maladies : leur recherche vise avant tout à déposer des brevets sur des molécules de synthèses, complexes, chères, dont la finalité principale est de faire disparaître des symptômes.
Si le scorbut sévissait encore, les labos étudieraient la mise au point d’un vaccin !
C'est hélas sur cette piste désastreuse que les fins limiers des labos de la recherche (du profit maximum) se sont lancés avec le cancer (depuis plus de 50 ans que dure le scandale…) et maintenant le sida.
Le chiffre d’affaire, le budget de publicité, les bénéfices de cette industrie sont immenses et une importante partie sert à corrompre, les médecins, les caisses maladies, les autorités de santé et les hommes politiques.
Toute la philosophie de cette industrie est donc basée sur l’exploitation financière de la maladie et pour plus de détails à ce sujet je vous renvoie à la page 215 du livre du Dr Matthias Rath déjà cité. (5)
Le marketing de cette industrie est donc remarquablement bien fait et le succès phénoménal de la publicité démontre qu’il est possible de vendre n’importe quoi puisque les médicaments :
Sont très coûteux – mais se vendent bien, (le remboursement aide beaucoup..).
Sont d’une efficacité discutable – mais la publicité prétend le contraire
Sont dangereux – mais le mur du silence camoufle leurs effets secondaires
La gravité et le nombre de ces effets secondaires sont évidemment consécutifs à l'utilisation massive de principes actifs chimiques, d’origines synthétiques et maintenant produits par génie génétique. Ils sont totalement étrangers à notre biologie et occasionnent tout naturellement des effets iatrogènes souvent bien pires que la maladie qu’ils sont sensés soigner.
Ils provoquent la mort de 500 000 personnes par an dans le monde.
En 1998 le journal de l’American Medical Association classait à la 4ème place, comme cause de mortalité : la consommation de médicaments, après les attaques cardiaques, les crises d’apoplexie et le cancer.
8 ) LE LOBBYING DE L’INDUSTRIE PHARMACEUTIQUE
Avec des avantages déterminants, les vitamines et compléments alimentaires sont une menace sérieuse pour le marché de l’industrie pharmaceutique qui a bien compris le danger.
C’est la raison pour laquelle depuis plus de soixante ans, elle s’ingénie avec un certain succès à : discréditer, combattre, corrompre, mettre en place des réglementations de plus en plus restrictives pour tenter d’interdire toute diffusion dans le grand public de ce qu’elle estime être une concurrence à éliminer.
Les prochaines manœuvres des laboratoires pharmaceutiques pour contrôler l'utilisation des vitamines et autres compléments alimentaires partout dans le monde, pourraient bien décider de combien de temps vous allez vivre.
Les distributeurs de vitamines et compléments alimentaires, dénoncent unanimement les tracasseries incessantes et les poursuites, souvent illégales, dont ils sont l’objet. La DGCCRF (Direction Générale de la Consommation, de la Concurrence et de la Répression des Fraudes) ne conteste pas l’innocuité des substances mises en cause, mais applique avec zèle nos réglementations archaïques qui s’apparentent plutôt à des dogmes.
La DGCCRF ou le ministre de la santé se garde bien d’aborder le sujet des propriétés démontrées et des dosages utiles de ces compléments alimentaires. L’idée ne leur vient même pas d’engager, s’il était vraiment question de santé publique, le débat ouvert qui s’impose mais ils pourchassent ceux qui "ont recourt à des thérapeutiques non éprouvées".
John le Carré, le célèbre auteur de roman d’espionnage (L’espion qui venait du froid), vient de sortir un livre en anglais, "The Constant Gardener" dans lequel il dénonce les pratiques criminelles des laboratoires pharmaceutiques en Afrique, traduction en français cet automne au Seuil. Un article lui était récemment consacré dans le journal suisse "Construire", le titre :
"Il faut cesser ce génocide"
Il a de plus donné pour, "The Nation", New York, une interview le 9 avril 2001 dans laquelle il a déclaré : "La grande industrie pharmaceutique est engagée dans une entreprise de séduction délibérée de la profession médicale, pays par pays, tout autour du monde. Elle dépense une fortune pour influencer, appointer et acheter l’appréciation académique à un point tel, que dans quelques années, si elle continue impunément sur son heureux chemin actuel,2 les opinions non-achetées seront difficiles à trouver".
Le Dr Matthias Rath connaît bien cette situation machiavélique. Pour briser ce cercle infernal, il a déposé plusieurs plaintes auprès du Tribunal International de La Hayes et de Berlin pour crime contre l'humanité. Les accusés sont les principaux directeurs des laboratoires pharmaceutiques, leurs conseils d'administration et les hommes politiques qu'ils ont mis en place pour les soutenir. Si vous avez encore des illusions sur le monde dans lequel nous vivons, commandez de toute urgence en Hollande la brochure "Le Tribunal de Berlin". (6)
9 ) LES COMPLÉMENTS SONT SOUVENT INDISPENSABLES, POURQUOI ?
Bien évidemment ils ne résolvent pas tout mais vous savez sans doute que l’homme, avec quelque très rares animaux, (primates, cochons d’Inde, passereaux, truites, saumons) a perdu, au cours d’une mutation génétique il y a quelques dizaines de millions d’années la capacité à synthétiser la vitamine C (ou acide ascorbique).
C’est un grave problème qui nous laisse totalement dépendant des apports quotidiens très insuffisants dans nos alimentations actuelles.
Des observations comparées effectuées sur tous les autres animaux qui réalisent normalement l’endo-synthèse de la vitamine C à partir du glucose, ont mis en évidence que leurs métabolismes sont capables de fabriquer en continu et selon leurs besoins des quantités variables de 2 à 10 grammes en temps normal. Quand les conditions extérieures l’exigent, stress, maladie, blessure, ces quantités peuvent être multipliées par 5 ou 10.
De ce fait, les animaux qui vivent dans des conditions naturelles ne connaissent pas les maladies cardio-vasculaires, ont très peu de maladies infectieuses, ne doivent pas se laver les pattes pour manger, boivent l'eau qu'ils trouvent et peuvent être opérés sans les mesures d’asepsie draconiennes nécessaires pour le genre humain.
Chez l'homme, une quantité phénoménale de maladies bactériennes, virales, nosocomiales et de dégénérescence ne sont en fait que la mise en évidence de notre taux sérique anormalement bas en acide ascorbique.
Les maladies cardio-vasculaires, première ou deuxième cause de mortalité dans le monde, (selon les pays ou le sexe) en sont, elles, une démonstration magistrale beaucoup plus tragique !
Il est impossible de résoudre dans nos civilisations le problème des apports journaliers suffisants, sauf cas très particuliers, sans avoir recours à une complémentation en vitamine C naturelle. Il est également très intéressant d'étudier les besoins vitaux pour les autres vitamines et je vous renvoie à cet excellent livre déjà cité : "Le nouveau guide des vitamines" pour la suite.
10 ) LES ALIMENTS BIO ET BIODYNAMIQUES
Vous avez tout à fait raison d’inciter vos lecteurs à manger des fruits et légumes pour trouver les meilleurs antioxydants qui soient. Monsieur Dhombre ajoute : des produits bios et je pense que c’est une excellente idée.
Toutefois malgré l’ancienneté de ce type de culture (1924) elle est encore peu répandue et il faut aussi être conscient du fait que son cahier des charges comporte des directives mais ne comporte pas d’obligation de résultat. C’est à dire qu’il n’y a pas de garanties données quant à la présence souhaitable des vitamines et minéraux à la hauteur des concentrations attendues dans un fruit ou un légume "naturel".
La biodynamie sous le logo "Demeter" va beaucoup plus loin et se soucie d’offrir une qualité qui se rapproche de l’idéal. En trouvant les justes éléments nécessaires à leur croissance, les fruits et légumes sont encore moins sensibles aux maladies et sont d’un goût supérieur. Dommage, cette façon de cultiver est encore plus rare que le bio.
En fin de compte et pour d’autres raisons, notamment leurs prix, très peu de personnes peuvent avoir accès à ce type d’aliments. Et donc, si nous sommes réalistes l'alimentation moderne qui nourrit effectivement les populations souffre en finalité de très nombreuses carences.
La culture chimico-industrielle, le transport, la conservation et la transformation produisent des aliments vides qui ne contiennent que de faibles quantités des vitamines (A, B, et C) et des minéraux indispensables à la vie (calcium, fer, magnésium, zinc etc.).
Privés de ces éléments indispensables au fonctionnement harmonieux de nos organes, notre santé en devient aussi fragile que celle des fruits et légumes. (on retrouve le même problème chez les animaux d'élevages) Le problème est encore aggravé, par la réduction de nos rations alimentaires globales (mécanisation, sédentarité) et par le fait que leur peu de saveur les rendent beaucoup moins attrayants. Le Dr Boyd Eaton estime que nos ancêtres recevaient 3 à 10 fois plus de vitamines que nous. (7) La Life Extension Foundation dans son numéro de mars 2001 dénonce l’agriculture industrielle qui produit des légumes sans vitamines.
Les résultats sont là et toutes les enquêtes sur le statut nutritionnel des français, (mais ils ne sont pas les seuls) mettent en évidence des apports inadéquats avec des carences marquées pour de nombreux éléments. (8) Cette situation n’est pas nouvelle mais notre système économique et le business de la santé sont basés sur tellement d’aberrations qu’une de plus ou une de moins…
Ces graves problèmes ne sont pas reconnus officiellement mais ils existent pourtant bel et bien et ils pourraient expliquer, en grande partie, l’inquiétante progression des maladies et notre dépendance médicamenteuse tout au long de notre vie.
11 ) LA SANTÉ DES FRANÇAIS SE DÉTÉRIORE
On nous annonce régulièrement une augmentation de notre espérance de vie, tant mieux, mais n’oublions pas que nous sommes biologiquement programmés pour vivre 120 ans.
En outre, la vie, la mort ne sont pas les seules alternatives, on peut aussi vivre malade ou vivre sans maladies. De nombreuses observations convergent pour montrer que la maladie est en nette progression même si la mort recule.
Les chiffres officiels du CREDES, analysés par l’AISP (9) font apparaître un quasi doublement pour l’ensemble des maladies pendant la période de 1970 à 1990. Les maladies endocriniennes, dont le cancer font une augmentation de 953% pendant cette même période.
Cette augmentation n’est pas le fait du seul vieillissement de la population comme le montre la répartition par tranches d’âge :
Dans nos pays "civilisés" il n’est pas médicalement correct de remettre en cause le credo de nos institutions de santé et ces chiffres n’ont jamais été repris dans la grande presse. Pour éviter d’affoler le public, les chiffres pour la période 1990 – 2000, ne seront probablement jamais rendus public. (rien à ce jour au 15 août 2001)
Je ne peux pas réécrire ni vous résumer tous les livres importants en la matière, mais puisque vous avez vocation à donner des informations alternatives, autant aller jusqu’au bout, consultez, si vous le voulez bien, ma bibliographie en fin de texte…
La démocratie "avancée" et l’économie libérale mondiale, ont depuis les années cinquante, permis un développement fulgurant des grandes organisations criminelles dans les secteurs d’activités les plus lucratifs.
Que nos systèmes de santé et le secteur agroalimentaire fassent partie de ce club est une réalité qui, "grâce" aux scandales successifs, émerge lentement dans la conscience collective.
Le jour ou les peuples endormis découvriront la monstruosité de la situation, la planète vivra le plus grand scandale de tous les temps. Par l’ampleur des sommes détournées, les manœuvres employées, les complicités, les centaines de millions de morts occasionnées, il surpassera de loin tous les autres.
Oui, Jean Baudrillard a raison. La troisième guerre mondiale a commencé en même temps que la deuxième finissait. Un holocauste peut en cacher un autre !
Madame Baudet, Monsieur Dhombre, pour faire connaître ces vérités indésirables, mon vœu le plus cher serait que vous fassiez paraître dès que possible un article qui rende compte de ces faits qui sont véritablement hallucinants. Pour vous aider à compléter vos informations et si vous avez des questions c'est bien volontiers que je vous offre mon concours.
En attendant ce jour, je me chargerai personnellement, de donner à cette lettre ouverte la plus large diffusion possible, par courrier et via le réseau Internet.
J'invite maintenant à l'action tous ceux qui en ont assez d'être traités comme des cobayes : particuliers, associations de consommateurs, associations de distributeurs, professionnels de la santé.
Les Américains ont conquis leur liberté de choix grâce à leurs actions et à leur regroupement dans d'authentiques institutions de défense.
En France l'Acca et l'Upsnb (10) font dans ce sens un travail remarquable et je vous encourage à les rejoindre pour concrétiser et unir nos efforts.
La diffusion de l'information est aussi une clef maîtresse, c'est elle qui nous aidera à briser le mur de la honte. Alors comme le suggère si bien le Dr Tal Schaller, la copie de cette lettre ouverte est non seulement autorisée, mais même vivement conseillée, en citant le nom de l'auteur !
"L'ampleur du désastre nous donne le droit de savoir" Aie ! J'ai justement oublié le nom de l'auteur… pardon.
Je vous prie d’agréer, Madame Baudet, mes meilleures salutations vitaminées.
8 novembre 1997, courrier à propos de la vitamine C
16 mars 1998, idem sur la vitamine C
20 juillet 2000, donné à Paris un dossier de presse sur le Dr Matthias Rath
1er mars 2001 lettre à propos des travaux du Dr Matthias Rath
Le nouveau guide des vitamines, page 316
La Nutrithérapie, pages 43, 44 "Recommendation for antioxydants : how much evidence is enough ?" JAMA, 1994; 271 (1S) : 1148-1149
Le nouveau guide des vitamines, pages 328 à 332
Livre : "Pourquoi les animaux n'ont pas d'attaque cardiaque…?"
Le Tribunal de Berlin, réf 07-174-0300. tél. 0031 546 533 340, fax 343
Sciences et Avenir mai 2001 pages 82, 83
La Nutrithérapie, chapitre 3
Médecine Nouvelles n° 92 article de l'AISP, Dr G. Vue - Desingue
Acca et Upsnb tél. 01 45 80 11 20
SITES INTERNET, par ordre alphabétique :









Ancelet, Dr Eric – Pour en Finir avec Pasteur – Ed. Marco Pietteur – 1998
Binet, Dr Claude – Vitamines et Vitaminothératie – Ed. Dangles – 1998 Bland, Dr Jeffrey – Vitamin C, The Future is Now – Keats Publishing Inc. – 1995
Clerc, Olivier – Médecine Religion et Peur – Ed. Jouvence – 1999
Corson, Dr Pierre – Notre Ange Gardien La Vitamine C – Ed. Guy Trédaniel – 1995
Crèvecoeur, Jean-Jacques – Le Langage de la Guérison – Ed. Jouvence - 2000
Crussol, Dr Gilbert – Bien ou mal vivre, à vous de choisir – Ed. Wholesale Nutrition – 2000
Curtay, Dr J.Paul – La Nutrithérapie, bases scientifiques et prat. médicale – Ed. Boiron - 1995
Curtay, Dr J.Paul et T. Souccar – Le Programme de Longue Vie - Ed. Seuil – 1999
Davis, Adelle – Let's Eat Right to Keep Fit – Ed. Nutri Book – 1970
Deville, Michel – Le vrai problème des oligo-éléments – Centre Rech. Applic.
Dogna, Michel – La vitamine C, compl. alim. essentiel – Revue Vérité Santé n° 34 - 1999
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Lanctot, Dr Guylaine – La Mafia Médicale – Ed. Voici la Clef, Québec – 1994
Lanctôt, Dr Guylaine – Le Procès de La Mafia Médicale – Ed. Voici la Clef – 1997
Lévy, Dr Joseph – Voies alternatives dans le traitement du cancer – Ed. du Rocher – 1998
Muller, Marie-France – Le chlorure de magnésium – Ed. Jouvence – 1998
Naessens, G. – Le Galilée du Microscope – Ed. Presses de l'Université Inc, Québec - 1990
Pasteur, Jean Louis – Toutes les Vitamines pour Vivre sans Médicaments – Ed. J'ai Lu – 1998
Patch, Dr Adams – Quand l'humour se fait médecin – Ed. Stanké – 2000
Pauling, Linus – Vitamin C and the Common Cold – Ed. A. Bantan Book, New York – 1971
Pauling, Linus – How to Live Longer and Feel Better – Ed. Avon Books, New York – 1987
Pauling, Linus - Cameron, Ewan – Cancer and Vitamin C – Camino Books – 1993
Pfeiffer, C et P. Gonthier – Équilibre psychobiologique et oligoaliments – Ed. Corlet – 1988
Rath, Dr Matthias – Pourquoi les animaux n'ont pas d'infarctus… – Ed M.R. Sarl – 1997
Rueff, Dr Dominique – Vitamine C – Ed Jouvence – 2000
Scohy, Dr Alain – La Vitamine C – Ed. Des Clefs pour Vivre (revue n°24) – 1998
Scohy, Dr Alain – Le "mal-a-dit", un retour vers la Vie ! – Ed. Des Clefs pour Vivre – 1998
Simon, Sylvie – La Dictature Médico Scientifique – Ed. Filipachhi – 1997
Souccar, Thierry – La révolution des vitamines – Ed J'ai Lu –1995
Souccar, T. & Dr J.P. Curtay – Le Nouveau guide des vitamines – Ed. Seuil – 1998

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Dernière mise à jour le : 04 mars 2006.