PAR DEFAILLANCE DU TERRAIN, ABSENCE PARTIELLE, RELATIVE D'IMMUNITE, LE DEVELOPPEMENT DE LA MALADIE S'EFFECTUE AVEC BEAUCOUP PLUS DE FACILITE. OR, LA VACCINATION, CE N'EST PAS L'UNIQUE INCONVENIENT, FAIT ENCORE CHUTER BIEN DAVANTAGE LES DEFENSES IMMUNITAIRES. SERAIT-IL ACCEPTABLE, MEDICALEMENT, DE PASSER OUTRE A CETTE CONSTATATION SCIENTIFIQUE, CONNUE DE BEAUCOUP, ET OUBLIEE PAR NOS SERVICES DE PROTECTION? (PREMIER CONGRES DE LA STE INTERNATIONALE DE BIO-ELECTRONIQUE VINCENT (SIBEV) " Il n'existe de véritable science que dans le mesurable " - Galilée.
CHACUN SAIT, QUE LA VITAMINE C, LA VITAMINE E ET LE MAGNESIUM SONT D'EXCELLENTS PROTECTEURS DE LA CELLULE ET DES REDRESSEURS DE TERRAIN TRES FAVORABLES A LA GUERISON. Pourquoi omettre ces vérités face au public et à la Presse?
Syndicat Hippocrate - Responsable Jacques Daudon
Coordination pour la Recherche et l’Information au service des associations et des usagers de santé
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Monsieur Bernard KOUCHNER
Ministre délégué à la santé
OBJET : Politique vaccinale
Vaccin contre les méningites à méningo
Au milieu des années quatre-vingt dix, 25 millions de français sont pris en otage pour le plus grand profit des fabricants du vaccin hépatite B. Comme le reconnaît le laboratoire Pasteur-Mérieux-Aventis, " Dans le domaine des vaccinations, les adolescents sont un segment très porteur…. Il faut dramatiser….Il faut faire peur avec la maladie… "
Janvier 2002, 80 à 100.000 jeunes du Puy-de-Dôme, âgés de deux mois à 20 ans, sont à leur tour pris en otage par les autorités. Le spectre de la méningite a déclenché " une opération de prévention sans précédent en France par son ampleur, (…) pour éviter l'apparition d'une épidémie" de méningite à méningocoques de type C. "
Devant la survenue de cas sporadiques de méningites cérébro-spinales, semble-t-il de plus en plus fréquents depuis plusieurs années, nos autorités préconisent, pendant 48 heures, l’antibiothérapie des " contacts " (plusieurs jours après l’éventuelle contamination).
La vaccination de ces " contacts ", selon le type de méningite, avait été largement conseillée – et fort médiatisée - voici plusieurs années avant d’être, semble-t-il abandonnée depuis deux, trois ans – avec très nette sous médiatisation -, pour être à nouveau envisagée dans le Puy-de-Dôme, en raison d’une augmentation sensible des cas observée dans d’autres départements ces dernières années, notamment en Loire-Atlantique.
Il importe de rappeler que le risque de contagion - faible pour ce type de méningite - est le plus élevé dans les dix jours précédant la déclaration (selon les propres déclarations de la DASS), c’est-à-dire au moins douze jours avant la mise en route de ces traitements antibiotiques dans l’entourage.
Ce traitement n’est donc qu’illusoire en dehors de son éventuelle action " placebo " sur la psychose de la peur que cette maladie véhicule.
Cela ne l’empêche pas , dans ce contexte de peur avec la dépression immunitaire qui en résulte, de pouvoir favoriser le déclenchement d’autres affections, voire de méningites par mutation et reprise de virulence de ce germe saprophyte présent chez un pourcentage non négligeable d’enfants (ce qui peut expliquer la survenue plus fréquente de doublets).
L’action préventive d’une vaccination mise en route au minimum deux jours après la déclaration du cas, n’est également qu’illusoire puisque son éventuelle action préventive ne se manifestera que dix jours plus tard. Soit, dans le cas présent, DIX JOURS après le début de la campagne de vaccination qui commencera le Mercredi 16 janvier, c’est-à-dire après le 26 janvier !
Le suivi des épidémies de méningites cérébro-spinales en Afrique équatoriale met en évidence une aggravation nette de l’épidémie avec la mise en route de la vaccination de masse (voir l’épidémie du Niger en 1955 avec l’apparition de centaines de doublets) et l’inefficacité de celle-ci pour prévenir de nouvelles épidémies ultérieures.
Si la vaccination rassure les parents, elle peut être suivie d’effets secondaires préjudiciables comme la survenue de nouveaux cas de méningites ou la survenue d’autres pathologies liées à l’affaiblissement passager du système immunitaire.
Dans la mesure où " la politique du médicament est inféodée aux lobbies pharmaceutiques* ", ces derniers seraient les seuls bénéficiaires de la mise en route de telles campagnes de vaccination (Cf, rapport de la Cour de Comptes, septembre 2001, sur la sécurité sociale).
Selon la DDASS de Seine-Saint-Denis, la méningite cérébro-spinale est " faiblement contagieuse et les cas secondaires sont extrêmement rares (un cas sur 1.000 à 2.000) " (Réf. dépêche AFP du 7 janvier 99).
L’analyse des dépêches de l’AFP dont vous trouverez copie en annexe vous permettra d’apprécier l’inefficacité totale de la vaccination - et les problèmes posés par l’antibiothérapie - dont on ne peut écarter l’incidence sur la survenue de nouveaux cas de méningites, beaucoup plus fréquents que ne le reconnaît la DDASS, ou d’autres pathologies récurrentes. Ainsi, parmi d’autres exemples :
en mars 1998 à PAU, deux méningites, dont la deuxième mortelle, sont survenues à 15 jours d’intervalle, chez deux petits garçons sans lien de parenté mais dont les deux soeurs du premier enfant - qui étaient dans la même classe que les deux soeurs du deuxième enfant décédé - avaient été vaccinées et antibiosées.
à TARBES en avril 1998, un bébé de 10 jours est mort d’une méningite ; sa maman, médecin à l’hôpital avait été vaccinée le mois précédent.
en décembre 1998 à MARESQUEL, deux méningites, sans lien de parenté, survenaient à 8 jours d’intervalle, alors que la soeur du premier enfant décédé était dans la même classe que la deuxième petite fille décédée huit jours plus tard.
En février 1999, en Loire-Atlantique, 5 cas de méningites ont été signalés (dont 2 à Nantes et 2 à Saint-Nazaire) à huit jours d’intervalle.
A également été signalé le décès par méningite d’un enfant prématuré quelques semaines après sa naissance et qui avait séjourné en néo-natalogie au CHU de Nancy puis à celui d’Epinal. Y a-t-il eu campagne de vaccination chez le personnel ?
Cultivant le silence devant la remise en question de ses directives inefficaces, les DDASS (que j’ai régulièrement contactées, comme votre ministère, pendant deux ans devant la survenue de méningites), réfèrent, par je ne sais quel raisonnement scientifique, retenir que " les états d’épidémie de grippe sont favorables à l’apparition de méningites " (dépêche de l’AFP du 11 février 99).
La survenue de telles méningites, de plus en plus fréquentes depuis quelques années, ne peut être fortuite et devrait mériter de la part des services de la DDASS, la recherche minutieuse des antécédents personnels et familiaux, dans les jours, les semaines, les mois précédant l’éclosion d’un cas de méningite qui est toujours source de psychose collective.
Dans la mesure où de tels germes sont présents naturellement chez une fraction importante de la population, des vaccinations, mais aussi une antibiothérapie dans les semaines précédentes, peuvent en effet induire des mutations bactériennes et virales, réveiller la virulence de germes et déclencher ce type d’affection. Par leur mode de préparation, et notamment des enzymes comme la TdT, les vaccins par génie génétique – comme les aliments transgéniques - sont réputés pouvoir induire des mutations de virus et de bactéries endogènes ou exogènes.
Ainsi, plusieurs publications scientifiques anglosaxonnes ont signalé la survenue de méningites peu après la vaccination hépatite B.
De même, la Grande-Bretagne avait-elle décidé de suspendre, en 1992, le vaccin ROR (souche Urabe fabriquée par Pasteur-Mérieux) en raison de la survenue d’une à deux méningites pour 10.000 vaccinations (chez le vacciné mais aussi probablement chez les contacts). Pasteur-Mérieux, qui a lancé, il y a six mois, une vaste campagne de vaccination avec ce même vaccin, n’en signale qu’une pour 180.000 vaccinations ! ! !
Une alimentation, carencée notamment en vitamine C ou contaminée, peut également favoriser des mutations ou entraîner de telles pathologies.
La mise en route d’une nouvelle campagne de vaccination contre la méningite, qu’avait écarté l’Espagne en 1997 (voir pièce jointe : analyse des dépêches de l’AFP), ne pourrait qu’aggraver le système immunitaire des enfants déjà lourdement éprouvé par une politique vaccinale intensive et une consommation d’antibiotiques accrue.
Ne nous leurrons pas, si l’on en juge par l’augmentation de fréquence des maladies auto-immunes, de l’asthme, ou du diabète notamment et par la dégradation de la santé chez les adolescents (voir pièces jointes), sans oublier les pathologies liées à l’aluminium vaccinal **, la santé de nos concitoyens ne semble pas s’améliorer.
Restant à votre disposition pour tout renseignement complémentaire, je vous prie de croire, Monsieur le Ministre, à l’assurance de mes sentiments respectueux.
- Analyse des dépêches de l’AFP sur les méningites cérébro-spinales. Dégradation de la santé des adolescents. Diabète et vaccinations. Asthme et vaccinations. Alerte aux vaccins : l’aluminium. Droit à l’information et Principe de précaution
N.B. : L’augmentation importante de la fréquence du diabète a toujours été concomitante des campagnes de vaccination contre l’hépatite B (cf, études effectuées en Italie et en Nouvelle-Zélande)
P.S. : Nous n’avons toujours pas reçu de réponse à notre courrier recommandé en date du 19 novembre dernier . Le CTV n’a quant à lui toujours pas accusé réception !
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Dernière mise à jour le : 04 mars 2006.