QUAND ECLATERA LE SCANDALE?
Mesdames, messieurs les journalistes,
Information transmise aux citoyens.
Madame, monsieur,
L'objet de cette circulaire a pour but de vous fournir les éléments essentiels qui démontrent d'une manière certaine les conséquences secondaires terrifiantes de l'empoisonnement par les métaux lourds. Nous avions déjà, en janvier 2001, émis une circulaire à ce sujet. Nous n'évoquerons, ici, que le cas de Sandra Fiored par un rapide rappel de son état de santé antérieur à la suite de divers soins effectués par des dentistes. Nous nous attacherons davantage à souligner les résultats d'une mauvaise information sur les dangers des amalgames, malgré d'importantes études scientifiques. Le manque de rigueur et de compétences de plusieurs experts, près des tribunaux, rendent impossible le règlement de cette grave affaire. Rappelons-nous le mal qu'ont eu les associations à faire reconnaître les ravages de l'amiante. La désinformation sur d'aussi graves sujets nous appelle à réagir tous unis.
Rappel des faits
Sandra Fiore a aujourd'hui 27 ans. Les premiers plombages ont été posés il y a environ 20 ans. Sa première couronne a été placée à l'âge de 18 ans. Apparaissent, deux ans après, des troubles souvent liés à l'empoisonnement par les métaux lourds (aphtes, grande fatigue, angoisses, tachycardie, perte de l'équilibre, blocage des membres inférieurs, diplopie (troubles de la vue), gêne respiratoire etc.
Sur conseil d'un paramédical, en 1997, on dépose les plombages sans aspiration, ni protection buccale, ni masque. Après une deuxième intervention en juin 1998 (dépose de plombages restants) l'état de Sandra s'aggrave terriblement : perte de la parole, insomnies, perte de l'utilisation des 4 membres, perte de poids. Les recommandations émises par le Conseil Supérieur d'hygiène publique, diffusées en mai 1998, n'ont pas été observées par le dentiste traitant.
En décembre 1998 le Dr Melet épidémiologiste constate, après tests suivis d'analyses, une intoxication aux métaux lourds.
Cette enfant, hier pleine de vie avant les déposes, aujourd'hui grabataire par une faute professionnelle, dûment prouvée, devrait bénéficier - au dépend du dentiste fautif par l'intermédiaire d'assurances - de soins très onéreux assurés jusqu'à l'heure par la famille. Divers organismes sociaux ont refusé, par lettre, toute aide sous prétexte que les traitements sont hors-nomenclature. Les seuls traitements qui peuvent améliorer sont état ne sont pas remboursés.
Il nous semble utile, de rappeler que TF1 aurait révélé que 60.000 cas de scléroses en plaques avaient été dénombrés en France. Le biologiste Michel Georget a constaté que l'hôpital de la Pitié-Salpêtrière a enregistré en deux ans 25 cas de maladies démyélinisantes, moins de huit semaines après l'injection d'un vaccin recombinant contre l'hépatite B ; en outre, myélite, amyotrophie (Cas de Sylvie sur circulaire de janvier 2001), ataxie cérébelleuse (Cas de Sandra), accidents osseux, articulaires devraient pouvoir inciter les médecins à établir une possible relation entre les métaux lourds des amalgames dentaires et les adjuvants des vaccins à base de mercure d'autant que dans l'encyclopédie médico-chirurgicale l'article 17 - 058A10 16 - 5356R - 10 de J. Emike, C. Fressinaud, P ; Allain il est bien mentionné la relation entre le mercure et ses composés et les maladies : encéphalopathie aiguë, ataxie cérébelleuse, coliques et diarrhées etc. . Le Dr Derudder - dans son livre : " Les effets néfastes des amalgames - Leur détection - Leur thérapie " Traduit de l'allemand par le Dr, en chirurgie dentaire, Henri. Gluck - arrive aux mêmes conclusions !
Ainsi, la famille Fiore, fort bien documentée, a-t-elle porté l'affaire devant les tribunaux. Un référé a été demandé en décembre 1999. Ils ont, par la suite, déposé une plainte avec constitution de partie civile en 2001 pour empoisonnement. Des experts ont été nommés par le tribunal pour exécuter une ordonnance de référé. Chose inacceptable, aucun expert toxicologique n'a été nommé ! Le dentiste, le stomatologue et le neurologue n'ont pas les compétences requises pour ce genre d'empoisonnement. Le tribunal ne peut alors juger équitablement. Les trois personnes nommées auraient dû se récuser : article 106 du Code de déontologie médical. D'autre part ces experts refusent d'exécuter l'ordonnance de référé comme le tribunal le leur a demandé. Il ne respecte pas l'article 108 du même Code.
Ils ont rendu une expertise sans avoir consulté les médecins traitants de Sandra. Ils n'ont pas examiné le dossier de Sandra. Ils nient tout en bloc : les analyses, les données scientifiques irréfutables fournies.
Il est important d'ajouter que la mauvaise foi, et la désinformation desservent, une fois de plus, la profession médicale et la justice. Ces agissements contraires à un jugement exemplaire ont des répercussions financières énormes sur la famille et sur la vie de la petite Sandra.
Conclusion : comment se fait-il qu'il y ait discordance d'analyses entre les membres du corps médical et les résultats de nombreuses recherches effectuées par des scientifiques chevronnés ? Pour une information exhaustive, il nous paraît opportun de signaler que les " soi-disant experts " n'ont pas respecté l'article 282 de la procédure du Code Civil. Ils étaient tenus de demander l'avis d'un expert toxicologue d'une part ; de l'autre, le tribunal aurait du avoir le compte-rendu de l'avis du toxicologue. Or jusqu'à l'heure il n'y a rien de semblable dans le rapport. Jusqu'à l'heure rien ne peut nous empêcher de penser qu'il pourrait y avoir collusion entre médecins et le lobby du mercure tant les manques à l'observation de la procédure sont manifestes.
J. Daudon - Nouvel e-mail : jacques.daudon@club-internet.fr
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