PRINCIPE DE SECURITE et POLITIQUE VACCINALE
Au pays de Pasteur, la moindre critique de la politique vaccinale, composante fondamentale de la politique de santé publique, est sévèrement châtiée : Six mois d’emprisonnement pour les parents refusant le BCG obligatoire, exclusion scolaire des enfants n’ayant pas reçu les vaccins BCG, diphtérie, tétanos, polio, perte d’emploi pour les professions de santé ou paramédicales refusant le vaccin hépatite B et poursuites ordinales pour les « médecins homéopathes, rabatteurs de sectes » selon l’expression du secrétaire d’Etat à la santé, le docteur Bernard Kouchner.
S’il est toujours imposé comme religion d’Etat, le dogme vaccinal n’exclut pas pour autant le respect du devoir d’information et du principe de précaution. L’analyse objective des quelques revers juridiques et scientifiques enregistrés récemment risque, de son côté, d’imposer à brève échéance la remise en question de toute la politique vaccinale.
Le devoir d’information
L’administration d’un vaccin est un acte médical à part entière supposant responsabilité et information. La Cour de cassation et le Conseil d’Etat ont rappelé avec force que « le médecin a la charge de prouver qu’il a bien donné à son patient (ou aux parents si le patient est mineur) une information loyale, claire et appropriée sur les risques des investigations ou soins qu’il lui propose, de façon à lui permettre d’y donner un consentement ou un refus éclairé. Ce devoir pèse aussi bien sur le médecin prescripteur que sur celui qui réalise la prescription. »
En cas d’accident ou de complications, le non respect de ce devoir engage la responsabilité civile ou pénale de tous ceux qui y sont liés.
Avant toute vaccination, le médecin, comme « celui qui réalise la prescription », c’est-à-dire le pharmacien, l’infirmière, voire l’inspection académique, sont ainsi tenus d’informer le patient des complications éventuelles liées au mode de préparation et à la composition des vaccins.
Utilisation des produits sanguins bovins et humains
En octobre 2000, les autorités britanniques suspendaient un vaccin contre la polio dont le sérum de veau provenait d’un pays d’origine suspecte en matière d’encéphalopathie spongiforme (ESB) transmissible par voie sanguine de la vache au veau, comme l’indique une étude scientifique rendue publique le 11 février 1997 et reprise par Le Monde du 14 février 1997. Cette décision britannique est conforme aux positions de l’OMS et de la FAO pour lesquels aucun pays ne peut être considéré indemne d’ESB.
Les autorités françaises, qui ne perdent aucune occasion pour critiquer les faiblesses du système sanitaire britannique - oubliant trop facilement qu’ils n’ont pris les mêmes mesures de précaution dans l’ESB que dix ans plus tard - n’ont évidemment pas étendu cette mesure de précaution au BCG et à la majorité des vaccins qui font appel à la bile de bœuf ou au sérum de veau comme milieu nutritif (SFV).
Pour éviter de tels risques, Pasteur-Mérieux, qui affirmait en 1996 prendre toutes les précautions – que l’on sait inefficaces - en chauffant le milieu de culture à 120°, utiliserait depuis plusieurs années du SFV provenant de pays qui seraient, selon lui, indemnes d’ESB comme les USA, le Canada, l’Australie ou la Nouvelle-Zélande (Cf, Le Figaro du 20 octobre 2000). Certains pays occidentaux qui se croyaient pourtant indemnes d’ESB présentent à leur tour, avec un décalage de plusieurs années, des cas d’ESB (Allemagne, Espagne, Autriche…), tandis qu’une curieuse maladie de la « vache couchée » sévit aux USA et que les bisons d’élevage américains, comme les bovins depuis février 2001, sont par ailleurs touchés par l’encéphalopathie spongiforme.
Très récemment, deux médecins danois ont exprimé leurs craintes face au risque de transmission de la maladie de Creutzfeldt-Jakob,-- variante humaine de la maladie de la "vache folle", par le vaccin contre la rougeole, les oreillons et la rubéole, ROR (AFP du 20 août 2001). Ce vaccin contient en effet de l'albumine humaine, produite à partir d'un mélange de milliers de portions de plasma sanguin testé pour le VIH du sida et l'hépatite virale, mais non pour la maladie de la "vache folle" ou le virus SV 40, cancérigène et infectieux.
Est-ce pour ces raisons que le gouvernement français a décidé de suspendre le don du sang pour les français ayant séjourné un an en Grande-Bretagne entre 1986 et 1996 ?
Individualisation d’une maladie vaccinale : La myofasciite à macrophages (MFM)
Décrite pour la première fois en 1997, la myofasciite à macrophages se manifeste essentiellement par une fatigabilité intellectuelle, une fatigue physique persistante et des douleurs musculaires et articulaires diffuses, devenant rapidement chroniques et invalidantes. Des troubles digestifs et urinaires, de la toux ou des céphalées sont également observés mais plus rarement.
La fréquence de cette nouvelle maladie ne cesse de croître. : 93 cas en octobre 2000, 150 cas en avril 2001, plus de 200 début 2002 – dont un tiers paradoxalement chez la population médicale ou paramédicale - avaient été recensés dans quatre centres de pharmacovigilance. La sous-notification est donc certainement très importante d’autant plus que les symptômes décrits présentent une grande similitude, sans écarter une origine multifactorielle, avec ceux du Syndrome de la Guerre du Golfe — et des Balkans — (plus de 1.000 cas en France) ainsi qu’avec la fibromyalgie « fourre-tout » (1 300.000 cas à large prédominance féminine toutefois, dont plus de 10% de formes aigües) et le syndrome de fatigue chronique ou encéphalomyélite myalgique des anglosaxons (100 à 200 cas pour 100.000 habitants dans le monde occidental). Cette terminologie cadre mieux avec le tableau clinique de toutes ces affections qui ont en commun une atteinte des fonctions cérébrales que la myofasciite à macrophages ne suggère pas dans sa définition.
Apparaissant en moyenne trois ans après la vaccination, avec un délai maximum de dix ans, les troubles sont associés dans un tiers des cas à une maladie auto-immune, le plus souvent une sclérose en plaques, suggérant ainsi une augmentation sensible des scléroses en plaques après la vaccination hépatite B.
La relation de cause à effet avec les vaccins faisant appel à l’hydroxyde d’aluminium a été formellement établie en octobre 1998 avec la découverte systématique, après biopsie musculaire au point d’injection, de lésions histologiques caractéristiques sous forme de cristaux d’aluminium dans des cellules du système immunitaire : les macrophages (cf. Ghérardi et all., « Macrophagic myofasciitis : a reaction to intramuscular injections of aluminium containing vaccines » Journal of Neurology n° 246, 1999).
Après avoir réclamé en octobre 1999 une étude épidémiologique pour confirmer les liens entre les lésions musculaires de la MFM, les symptômes cliniques des malades et les vaccinations, le Comité Consultatif pour la Sécurité des vaccins de l’OMS « a conclu à un lien de causalité très probable entre l’administration d’un vaccin contenant de l’hydroxyde d’aluminium et la présence de la lésion histologique caractérisant la MFM ».
Cette étude épidémiologique ne sera finalement lancée qu’en février 2002. Il est vrai que nos autorités craignent un nombre de MFM beaucoup plus élevé. Ne diagnostique-t-on pas 4 à 6 nouveaux cas par semaine en France uniquement sur Paris par biopsie.
Pratiqué en Belgique, en Allemagne et en Suède, un test sanguin, beaucoup moins traumatisant, permettrait de déterminer rapidement l’étendue des dégâts. Il s’agit du test Melisa qui réactive la mémoire des lymphocytes qui auraient pu être en contact avec des métaux lourds comme l’aluminium ou le mercure. Ce test tranchera notamment pour les fibromyalgies liées à des pesticides ou à l’aspartame en dehors d’une étiologie vaccinale.
Si la maladie a été jusqu’à présent observée essentiellement après les vaccins Hépatite B et Tétanos, on ne peut écarter les 25 autres vaccins commercialisés en France faisant appel à l’aluminium pour ses propriétés de stimulation prolongée de l’immunité. Les doses d’aluminium retrouvées dans ces vaccins, dont les vaccins obligatoires diphtérie, tétanos et polio, sont de l’ordre de 650 µg par dose alors que les normes européennes fixent son seuil d’utilisation à 15 µg par litre.
Les cancers chez les animaux
Utilisé également dans les vaccins animaux, cet hydroxyde d’aluminium est retrouvé ainsi chez les félins au point d’injection en association avec un cancer apparaissant à très court terme ou à moyen terme.
Selon une étude réalisée entre 1982 et 1993 dans 258 cliniques américaines, le nombre de cancers chez les animaux de compagnie a été multiplié par 11. Cette évolution est d’autant plus inquiétante que le nombre de sarcomes cutanés au point d’injection vaccinale a été multiplié par 18,4, tandis que celui des sarcomes en dehors des points d’injection n’a été multiplié que par 5,7. (Cf., Lester, S & al., Journal of the American Animal Hospital Association, 1996).
Histologiquement, on observe le développement d'inflammations chroniques locales et de granulomes infiltrés par des lymphocytes et des macrophages à l'emplacement des vaccinations chez les chats et les chiens. Les macrophages sont envahis par une matière étrangère composée d'aluminium et d'oxygène suggérant une réparation fibreuse anormale des tissus conjonctifs, secondaire à l'inflammation persistante et aux réactions immunitaires initiées.
Dans toutes ces tumeurs, il a été mis en évidence une relation nette entre les dates de vaccinations faisant appel à l’hydroxyde d’aluminium, les points d’injection et la survenue des tumeurs. Alors qu’aucune prédisposition de race, de sexe ou d’âge n'a été démontrée, l'étiologie paraît être multifactorielle, impliquant une interaction co-carcinogénique. Les causes proposées et actuellement étudiées comprennent l'inflammation chronique et photo-oncogénique induite sur le lieu de la vaccination par des adjuvants vaccinaux, particulièrement l’hydroxyde d’aluminium retrouvé le plus souvent dans les macrophages proches de la tumeur, les antigènes vaccinaux, les cytokines et la présence de rétrovirus félins exogènes et endogènes (cf., S.Ryan, Singapore Veterinary Journal, 22 : 65-73).
Interrogés récemment sur Tf1, les vétérinaires de Maisons Alfort écartent ces causes compromettantes pour ne retenir que des prédispositions génétiques dont la fréquence augmenterait inexorablement…. (Cf.,TF1, Journal de 13 heures, mardi 5 mars 2002).
Des mécanismes comparables risquent cependant d’entraîner chez l’homme dans les années futures une véritable épidémie de cancers d’autant plus importante que l’aluminium, déjà responsable de myosfasciites à macrophages, est présent dans 28 vaccins commercialisés actuellement en France. De son côté, le mercure présent dans un des vaccins hépatite B - et déjà impliqué dans l’autisme par le vaccin ROR - , serait « impliqué aux Etats-Unis dans l’apparition d’un nombre significatif de leucémies lymphoblastiques chez les nourrissons ayant reçu trois doses de vaccin contre l’hépatite B. » (Cf., Le Figaro, mardi 23 avril 2002)
Autisme et mercure
Décrit pour la première fois en 1943 chez des enfants nés au début des années 1930, l’autisme semble correspondre à l’introduction du mercure dans les vaccins. Depuis cette période, la fréquence de l’autisme n’a cessé d’augmenter : 1 pour 2000 en 1970, 1 pour 1000 selon des études effectuées entre 1970 et 1990 (cf. Gilberg C., Wing L., « Autism : not an extremely rare disorder », Acta Psychiatr. Scand., 99 (6), p. 399-406, 1999) et même un enfant autiste sur 312 selon une étude californienne très récente, soit une augmentation de 273 % entre 1987 et 1998.
En 1998, les données du Maryland Special Education révélaient une augmentation de 513 % de l’autisme entre 1993 et 1998, alors que la population globale du Maryland avait augmenté de 7 % exactement. Une étude comparable, menée par Ray Gallup, a démontré une augmentation de plus de 300 % d’autisme entre 1992 et 1997 dans vingt cinq états.
Indépendamment des nombreux faisceaux de présomption clinique et biologique en faveur d’une origine vaccinale, le test Melisa permettrait, ici encore, d’asseoir le diagnostic d’intoxication mercurielle.
Des cas de poliomyélite secondaires au vaccin contre la polio
En février 2001, Tom Clarke rendait compte dans Le Courrier international de la mutation d’un vaccin qui a causé, aux Caraïbes, une flambée de poliomyélites alors qu’on la croyait définitivement éradiquée.
Les études épidémiologiques, menées pour déterminer les causes des mystérieuses paralysies qui ont frappé des enfants, ont révélé que le virus était une forme mutante de celui contenu dans le vaccin anti-poliomyélite oral, censé détruire les souches sauvages de la maladie.
Ainsi, ce virus, atténué pour le vaccin, est capable de causer une poussée épidémique, comparable à celle observée début 1999 en Ouganda où, à la suite d’une campagne massive de vaccination contre la polio, 200 cas de paralysies avaient été signalés. A l’époque, les analyses biologiques avaient mis en évidence la relation de cause à effet avec la campagne de vaccination.
Tout en omettant de rappeler l’épisode ougandais, Roland Sutter, responsable du département éradication de la poliomyélite au CDC, a conclu : « Il est clair qu’une sonnette d’alarme a été tirée. Notre problème est de savoir si l’heure est grave ou non » (cf. Le Courrier international, n° 536 du 8 février 2001).
Ces informations inquiétantes n’ont pas empêché la presse médicale française de vanter l’éradication de la polio grâce à la vaccination (cf. La Revue du praticien, avril 2001).
La contamination du vaccin Salk par un virus du singe, cancérigène et infectieux
Commentant la contamination accidentelle du vaccin polio Salk par le virus SV 40 administré à des millions de personnes entre les années 1954 et 1963, Josuah Lederberg, prix Nobel de médecine en 1958, avait déclaré dès 1960: « C’est la plus grande des chances que cet incident n’ait pas provoqué la plus grande catastrophe médicale de notre histoire ». Malheureusement, nous savons que ce virus, dont les propriétés cancérigènes ont été trop longtemps délibérément occultées, est également infectieux, transmissible par voies sanguine et sexuelle (Cf. Martini et ses collaborateurs, les 27 et 28 janvier 1997, dans le cadre d’une conférence sur le « SV40, a possible human polyomavirus »). Nos autorités n’ignorent pas ces faits, puisque dans le cadre d’une conférence débat sur lers OGM, . Mr Tibon-Cornillot, conseiller de Bernard Kouchner au ministère de la santé, reconnaissait que plus de 600 millions de personnes en étaient porteurs (Cf, débat public sur les OGM dans le cadre de Science-Actualités, mai 1998).
Ce virus cancérigène est ainsi retrouvé dans 35 à 85% des cancers du cerveau – dont la fréquence a plus que doublé en vingt ans - jusqu’à 60% dans les mésothéliomes - dont la fréquence a été multipliée par 10 depuis trente ans, tuant 2 000 personnes chaque année en France et plus de 1 000 en Grande-Bretagne - 35% des cancers des os chez les personnes ayant reçu ce vaccin dans les années 1950 ou dans leur descendance (cf. Geissler : « SV40 and human brain tumors Progress » , Medical Virology, t. 37, p. 211-222, 1990./ M. Carbone, et al., « Simian virus 40 like DNA sequences in human pleural mesothelioma » , Oncogene, T. 9, p. 1781-1790, 1994./ Carbone et al., SV 40-like sequences in human bone tumors, Oncogene, t.13, p. 527-535 ; 1996).
Malgré ces faits inquiétants, des fragments du génome de ce virus cancérigène sont cependant intégrés dans le vaccin de l’hépatite B ainsi que dans le vaccin de l’hépatite C de SmithKline Becham, non encore commercialisé, ou dans d’autres vaccins par génie génétique à l’étude.
Le développement du diabète
A la suite d’une campagne de vaccination massive anti-Hépatite B réalisée en Nouvelle-Zélande de 1988 à 1991, au cours de laquelle 70 % de jeunes de moins de 16 ans ont été vaccinés, on a pu constater une augmentation de 60 % de diabètes insulino-dépendants au cours des trois années.
L’incidence du diabète est en effet passée de 11,2 cas pour 100 000 enfants avant le programme de vaccination en 1982 à 18,2 cas pour 100 000 enfants après la campagne de vaccination. suivantes (cf., Pr. Barthelow Classen, New Zealand Medical Journal, 24 mai 1996).
En Italie, où on a comparé l’état de santé de 400 000 enfants de 12 ans vaccinés contre l’HB, à un nombre égal d’enfants non vaccinés, l’incidence du diabète de type 1 était presque trois fois plus élevée chez les vaccinés.
Le développement de l’asthme
Selon l’OMS, l'augmentation rapide de la prévalence de l'asthme dans le monde, surtout chez les enfants, serait l'un des plus grands mystères de la médecine moderne.
Elle a été particulièrement frappante en Australie, où environ 25 % des enfants souffrent d'asthme. Aux Etats-Unis d'Amérique, le nombre des asthmatiques a plus que doublé en quinze ans, passant de 6,8 millions en 1980 à 14,6 millions en 1995. Une enquête conduite en Israël chez des écoliers de 13 et 14 ans a révélé un accroissement très significatif du taux de prévalence de l'asthme, passé de 5,6% en 1980 à 11,2% en 1989. En Europe occidentale, la prévalence de l'asthme a également doublé en 10 ans. Enfin, au Brésil, au Costa Rica, au Panama, au Pérou et au Paraguay, de 20 à 30% des enfants présentent des symptômes asthmatiques.
Les raisons exactes de cette augmentation échappent encore aux spécialistes et aux chercheurs. Plusieurs théories ont été proposées: gaz d'échappement des moteurs diesel, allergies, régime alimentaire, tabagisme, infections virales, air froid, et exercice physique. Aujourd'hui, la communauté scientifique paraît s'accorder pour incriminer une combinaison de facteurs génétiques et d'agents environnementaux.
Pourtant, selon une étude publiée dans le magazine Science et reprise par l’AFP du 3 janvier 1997, la nette augmentation des cas d'asthme dans les pays développés pourrait être due au développement des vaccinations contre d'autres maladies, notamment respiratoires.
Soulignant que les cas d'asthme aux Etats-Unis ont doublé en 20 ans, ce rapport établit un lien entre l'augmentation des allergies provoquant l'asthme, le rhume des foins ou l'eczéma, et la protection des enfants contre la tuberculose, la coqueluche ou la rougeole. Le principal auteur de l'étude, le Pr T. Shirakawa, du Churchill Hospital d'Oxford (Grande-Bretagne), estime que la vaccination des enfants contre ces maladies les empêche de développer un système immunitaire qui les protégeait autrefois de l'asthme.
L'équipe du Pr Shirakawa a examiné un groupe de 867 enfants japonais qui avaient régulièrement reçu le vaccin BCG à l'âge de 3 mois, 6 et 12 ans. Aucun d'entre eux n'avait certes contracté la tuberculose mais ceux qui avaient répondu le mieux au vaccin ont été affectés beaucoup plus souvent que les autres par des crises d'asthme.
Cette constatation s'est vérifiée après que les chercheurs eurent pris en compte chez les enfants leurs différents styles de vie, leur environnement, leurs habitudes nutritionnelles et leur exposition aux substances allergéniques.
La responsabilité des vaccins dans cette augmentation de l’asthme est encore plus explicite avec la publication d’une autre étude effectuée dans les Highlands d’Ecosse :
Sur 446 enfants nourris au sein jusqu’à 6 mois, 243 avaient été vaccinés contre la coqueluche. Les 203 enfants non vaccinés ont présenté 5 fois moins d’asthme et 2 fois moins d’otites que les autres, alors que les Highlands ont le taux d’asthme le plus élevé du Royaume-Uni avec un taux de pollution le plus bas (cf., Dr M. Odent, M & al., Jama, 1994).
La condamnation du vaccin hépatite B par la justice
Après avoir rappelé qu’ « il convient de remarquer que ni les études (épidémiologiques) ni le rapport d'expertise n'excluent de façon tout aussi certaine, la possibilité d'une association» entre le vaccin et la sclérose en plaques, la 14ème chambre civile de la Cour d’appel de Versailles a condamné le laboratoire SmithKline Beecham en s’appuyant sur la directive communautaire du 25 juillet 1985 qui « dispose qu’un produit est défectueux lorsqu’il n’offre pas la sécurité à laquelle on peut légitimement s’attendre ».
Dans son arrêt du deux mai 2001, la Cour d’appel estime que « le fabricant de produit de santé est ainsi tenu de livrer un produit exempt de tout défaut de nature à causer un danger pour les personnes, c’est-à-dire un produit qui offre une sécurité à laquelle on peut légitimement s’attendre ;
[. . .] le vaccin Engerix B fabriqué par les laboratoires SKB a été le facteur déclenchant de la maladie développée par Madame X ; […]le dommage causé à celle-ci établit une absence de sécurité du vaccin à laquelle son utilisateur pouvait légitimement s’attendre et démontre la défectuosité du produit ;
[. . .] la société SKB, fabricant du vaccin défectueux, doit réparer le dommage causé à Madame X par l’utilisation de ce produit . . . »
Dans une autre affaire récente (Laboratoire Servier/Paulos), la CA de Versailles a engagé la responsabilité du fabricant qui « a manqué à son obligation de livrer un produit exempt de tout défaut de nature à créer un danger pour la personne ou pour les biens » (arrêt du 10 mai 2002).
Sur les mêmes bases, le vendredi 24 mai 2002, UCB Pharma a été reconnu, par le tribunal de grande instance de Nanterre (Hauts-de-Seine), "responsable du préjudice subi" par deux jeunes femmes atteintes de cancers de l'utérus et du vagin parce que leurs mères avaient utilisé du Distilbène pendant leur grossesse.
Ainsi, au delà du vaccin Engerix, de l’isoméride et du distilbène, les deux arrêts de la Cour d’appel de Versailles et la décision du Tribunal de Grande Instance de Nanterre devraient avoir des répercussions dans toute l’industrie pharmaceutique. Les magistrats ont en effet fondé leur décision sur le droit de la consommation en mettant en cause la responsabilité du fabricant, sans tenir forcément compte du caractère particulier du produit : en l’occurrence, un médicament.
avoir condamné le vaccin Engerix, la justice devrait inévitablement juger défectueux le vaccin Genhevac du laboratoire Pasteur-Mérieux-Aventis ainsi que tous les vaccins directement ou indirectement responsables de pathologies liées à l’aluminium vaccinal, au mercure vaccinal ou liées au virus SV 40 retrouvé dans un nombre croissant de cancers. Il en serait de même pour la nouvelle variante de la maladie de Creutzfeld-Jakob pour laquelle personne ne peut écarter la transmission de l’agent responsable par le sérum fœtal de veau, voire le rôle joué par l’aluminium dans cette pathologie comme dans les maladies d’Alzheimer ou de Parkinson.
Alors que la responsabilité de l’Etat est directement engagée pour les vaccins obligatoires incriminés, il restera à la justice d’apprécier la faute et le caractère délibéré et intentionnel de cette administration obligatoire de substances avérées toxiques ou potentiellement toxiques mettant en danger la vie d’autrui et qui pourrait ainsi être assimilée à un empoisonnement involontaire mais imposé, depuis la découverte de la responsabilité de l’aluminium vaccinal, en toute connaissance de cause.
Paradoxalement, alors que la législation interdit l’administration de substances toxiques, ces vaccins ne sont pas suspendus par l’AFSSAPS qui vient pourtant de suspendre pour un an, par précaution, un vaccin contre la maladie de Carré jugé responsable de la mort d’un chiot tandis que, selon certains experts, « il est semble-t-il de plus en plus fréquent de constater des formes typiques et atypiques de maladie de Carré chez des chiens correctement vaccinés, sans relation avec une marque commerciale ».
Curieusement, chez l’homme, de telles formes typiques ou atypiques de rougeole, de poliomyélites, de coqueluche sont, de plus en plus souvent, observées chez des populations pourtant largement vaccinées. Ainsi aux USA, malgré une couverture vaccinale de 71 à 99,8 %, les épidémies de rougeole ont été dix huit fois plus fréquentes en 1990 qu’en 1983, le laboratoire SKB reconnaissant que : « L’échec d’une vaccination préscolaire se traduit donc par une transformation paradoxale de la rougeole en maladie des vaccinés. »
CRI-VIE
Association Loi 1901
Dr Marc VERCOUTERE