Le Président Jacques - Henri Daudon
Ferme de Saumane
05700 - SERRES
Objet : Sur la trilogie de l’inacceptable
Empoisonnement – Paupérisation – Asservissement.
Amis,
Depuis bien des années nous subissons cette trilogie citée en référence sans qu’un mouvement de révolte pacifique mais exemplaire, généralisé, ne se créé. Individuellement, au niveau des associations, de certains syndicats on sent le ras-le-bol mais aucune détermination structurée ne s’installe. Ce contexte inacceptable, met en péril notre devenir et celui des générations montantes. La cause essentielle, preuves à l’appui s’il le fallait, est la collusion d’une large majorité de nos décideurs avec le lobby chimico-pharmaco-agro-alimentaire.
Les soumissions, malversations, forfaitures, les prévarications des principaux protagonistes sont innombrables et dévastent le mental du citoyen. Elles permettent d’établir que le politicien et la plupart des acteurs principaux jouissent d’une immunité injustifiée. L’Etat de droit n’est plus opposable, les faveurs accordées aux princes et aux favoris entraînent les pires répercussions sur le mental, le physique et le porte-monnaie du citoyen ordinaire. On voudrait faire oublier que le fondement de tous ces actes pervers, illégaux, n’est autre que la volonté destructrice systématique et programmée de toute indépendance, quel que soit le domaine ou l’individu exerce : commerce, industrie, artisanat, recherche, professions libérales, social, associatif. Plus précisément, par jeux subtils et machiavéliques, les Administrations, police comprise, les Tribunaux de commerce s’ingénient à donner l’estocade afin que nous y laissions notre personnalité et notre patrimoine chèrement acquis.
En tout état de cause il ne paraît rester que deux solutions pour la majorité d’entre-nous, la soumission sans condition, à un pouvoir corrompu gérant sans principe, ni réflexion un pays qui fonce vers la catastrophe ou un ressaisissement spectaculaire des Français, dont ils ont le secret. Il est indispensable d’obtenir, d’une seule voix, la réforme de la Constitution qui permettrait la mise en place, à la manière suisse, de référendums d’initiative populaire.
Devant l’état moribond de notre économie il serait sage de demander la convocation des Etats Généraux. Nous ne pourrons obtenir ces réformes qu’en refusant de participer aux scrutins pour toute élection et rejeter tous les partis quels qu’ils soient.
Ø
Empoisonnement
Devrions-nous démontrer l’inefficacité et la dangerosité des produits de synthèse ? Les livres du Dr De Brouwer, de Michel Schiff et Bernard Cassou, Robert Lenglet et Bernard Topuz le démontrent allègrement. La conclusion est simple, on tourne en rond sans résoudre les problèmes avec des milliers de victimes en résultante.
Avons-nous vu, dans les milieux de la recherche française, une victoire quelconque sur les maladies chroniques et de dégénérescences ? Non point, sinon des découvertes dont sont à l’origine des trouveurs indépendants, rapidement déstabilisés par des tracasseries administratives, juridiques et policières.
Sans revenir sur l’affaire « Beljanski » affaire qui méritait une toute autre ampleur médiatique, peu de journaux l’évoquèrent — injustice atroce faite à un savant qui méritait le Prix Nobel — arrêtons-nous un instant sur un drame tout aussi révélateur, provoqué par les inconséquences et errements de la science, dirigée par la main de fer des puissances pharmaceutiques.
Le paludisme frappe chaque année 300 à 500 millions de personnes, dont 90% en Afrique. On compte entre 1,5 et 2,7 millions d’individus, surtout des enfants. Si l’on avait continué d’employer la quinine pure (alcaloïde extrait d’écorce de quinquina) ce fléau aurait été certainement été maîtrisé. L’industrie pharmaceutique est intervenue : parmi les erreurs on mélangea la quinine avec de l’acide acétylsalicylique et d’autres substances chimiques créant de graves affections secondaires.
Mais le plus étonnant dans tout ceci, révélé par les travaux et expériences de Louis-Claude Vincent, semble venir d’une démonstration sur le terrain, accréditant l’hypothèse selon laquelle le paludisme serait engendré par des amibes contenues dans l’eau et non par des piqûres du plasmodium. Les expériences auxquelles se soumirent plusieurs chercheurs dans les marais de Syrie, permirent à ces savants (ils ne buvaient que de l’eau pure conservée en bouteilles) de constater qu’ils ne furent jamais atteints de cette maladie alors qu’ils furent piqués de très nombreuses fois par les moustiques. Se vendirent cependant des milliers de tonnes de DDT, pour éradiquer l’insecte, qui empoisonna toute la planète. N’était-il pas nécessaire de réfléchir sur cette expérience et revoir la véritable cause du paludisme ?
D’autre part, ceci est démontré par des dizaines d’ingénieurs agronomes, les zones d’agriculture, où les sols sont pauvres en magnésium, se superposent très exactement sur les zones où les cancers sont en nette progression. C’est net, clair et rigoureux : tant que les équilibres des terres ne seront pas respectés autant l’équilibre organique (apports de composts convenablement préparés ) tout autant que les équilibres Potasso-magnésien qui doivent être dans le rapport 500mg de Mg dans 1 kg de terre pour 200mg de potasse et non de 200mg de potasse pour 140 mg de magnésie, la fertilisation des champs ne sera pas conforme à l’équilibre avec évidemment à la clef la fragilité des plantes, des animaux et des individus.
L’emploi de produits phytosanitaires de synthèse, pour les plantes et les animaux, des vaccins pour l’animal et l’homme, ne serviront à rien pour la simple et bonne raison que les êtres vivants doivent recevoir par des aliments sains et équilibrés les protéines nécessaires à sa défense. La Tunisie, l’Egypte, situées sur des terrains naturellement riches en magnésie n’ont pratiquement pas de cancers. La diphtérie et les maladies infectieuses sont inconnues dans ces régions.
Tous ces éléments, largement passés en revue dans le livre de Joseph Favier « Equilibre Minéral et Santé » aux Edts Le François, complétés par les expériences faites par le professeur Delbet, sont connus de l’élite. Alors pourquoi ces méthodes agrobiologiques, cytophylactiques ne sont-elles pas appliquées ?
Ne seraient-elles pas occultées pour permettre la vente de produits de synthèse nombreux (phytosanitaires et médicaments) sans pour autant résoudre définitivement un seul problème ? Si de nouvelles maladies apparaissent, ne demandons pas pourquoi. Mais au-delà de ces conséquences désastreuses, l’homme dégénère, s’avilit. A qui profite le crime ?
Pourquoi des huiles extrudées à chaud ? La perte de toutes les vitamines est manifeste. Une huile vierge, grâce à ces acides gras insaturés protège le cerveau permettant aux individus de garder à ce niveau tout l’équilibre nécessaire à un psychisme des meilleurs. (Acide gras insaturés – Conférence du Dr Klinghardt ).
Pourquoi un sel blanc, alors que le sel gris contient tous les oligo-éléments nécessaires aux actions de catalyse ? Pourquoi, en généralisant, dénaturent-t-on tous les produits, alors que l’on sait que le raffinage, le blutage enlèvent les éléments essentiels à la vie et donc la promptitude à lutter contre l’infection ?
Le doute n’est plus permis. Nous sommes empoisonnés.
Paupérisation
Sans conviction politique partisane, il est souhaitable de le rappeler, que dire des gouvernements successifs qui ont constaté, tout aussi bien que nous, que grâce aux progrès accumulés nous sommes en société d’abondance. Que nous pourrions satisfaire les besoins de tous, à faibles coûts —alors que nous avons des centaines de milliers d’indigents — mais que la loi du profit organise la pénurie. Que dire d’un tel contexte, dans lequel les instances dirigeantes se gardent bien d’y porter remède. La cohorte des absurdités est telle que nous détruisons une bonne partie de notre production pour entretenir les prix, que nous laissons les banques créer de la monnaie « ex-nihilo » sans contre-valeur de richesses. Que ces dernières exigent le paiement d’intérêts qui deviennent rapidement usuraires et plongent le pays dans la pauvreté ! Ces quelques observations pour remarquer que l’Etat ne remplit pas son rôle.
Mais encore !
Que va-t-il advenir de nos marins pêcheurs si demain, ils sont interdits de pêche, pour des raisons de rareté des espèces ?
Si nos mareyeurs ne peuvent plus exercer leur métier par excès de pollution maritime ?
D’une manière générale que fera-t-on de nos chômeurs, lorsque les super robots les auront avantageusement remplacés ou que les capitaines d’industrie délocaliseront ? Que recevront nos retraités lorsque les ouvriers ne seront plus assez nombreux pour cotiser ?
De quoi vivront nos constructeurs d’autoroutes lorsque les besoins dans ce domaine seront satisfaits ?
Le gouvernement et la société ont tous ces problèmes en charge. Quand adopterons-nous ensembles des réformes radicales et appropriées !
Mais ce n’est pas tout :
Nos industries, nos transports, notre aviation, notre marine marchande ne sont plus concurrentiels. Les prélèvements obligatoires, les industriels sont bien placés pour critiquer le système, atteignent des pourcentages dépassant de 20% la moyenne des prélèvements que ponctionnent les autres pays de la communauté. Notre TVA est d’environ 5% plus forte que la TVA allemande. L’augmentation des impôts et des charges (incidence des intérêts des banques sur emprunts d’Etat) augmente les coûts de production, les barrages à l’exportation, les primes à l’importation détruisent notre industrie, d’où l’augmentation du chômage, la baisse des recettes budgétaires d’où l’aggravation du déficit. Ainsi nos sociétés industrielles délocalisent et bientôt, nous Français, n’aurons que nos yeux pour pleurer sur notre misère.
Quelles réformes profondes, avantageant tout créateur de richesses, ont été instituées ? Aucune, sinon, baisser l’impôt sur le revenu qui n’est que sinapisme sur jambe de bois.
Quelles mesures pour taxer automatiquement tous les mouvements de fonds, y compris ceux qui transitent par les sociétés de « Clearing » qui gèrent des chiffres d’affaires, chacune, de 100.000 milliards d’euros. Ces flux, ne font-ils pas partie intégrante de notre Economie ? Les gouvernements n’ont pas eu le courage de ponctionner un très petit pourcentage sur ces transactions. Rien qu’une taxe de 0,25% sur ces dernières aurait permis de couvrir les 2/3 du budget de la France en 2000. « Voir à ce sujet le livre de René Montgranier « Relance de l’Economie, réduction du chômage, des impôts et des prix dans la société nouvelle » sur http://daudon.free.fr/
Il y a, sans aucun doute, d’autres solutions. Mais celle-là est parfaitement applicable et sûre de réussir. La volonté politique n’y est pas ? Est-ce de l’irrésolution, par peur des puissants ? Nous craignions que oui. Mais, pire encore, une volonté déterminée de ne pas agir et ainsi provoquer une situation inSoluble, génératrice de troubles. Pourquoi ? Qui est derrière tout cela ?
Nos instances politiques n’assurent pas l’avenir du pays. ? Pourquoi aussi peu d’argent investi dans la recherche ?
Nos ordures, nos déjections sont fort mal recyclées. La pollution s’accélère parce qu’a priori tout mécanisme industriel, apte à garder l’équilibre de notre milieu, doit rapporter un maximum dans un minimum de temps. Or, si les ordures ménagères, nos boues de décantation subissaient les transformations biologiques nécessaires nous obtiendrions davantage d’engrais naturels, de gaz de chauffage, donc, au bout de quelques mois des rentrées importantes d’argent. La nature n’aurait donc pas compris les exigences de notre société moderne ?
Depuis quelques mois, des sociétés, nées dans le milieu agricole, sont en mesure de mettre sur le marché, une huile de tournesol capable de faire tourner tous moteurs diesel. L’Etat, par l’intermédiaire des Douanes, désire taxer ce produit comme s’il s’agissait d’un produit pétrolier. Les procès n’en finissent pas. En attendant, ces petites sociétés subissent les aléas de ces lenteurs judiciaires et tracasseries administratives. Une nouvelle richesse, une forte autonomie, moins de pollution nous passent sous le nez.
Notre appauvrissement est programmé. L’Etat qui nous représente nous dessert. Un comble !
Asservissement
Pourquoi devrions-nous être réduit en esclavage ?
Nous rétorquer que nous sommes victimes de notre imagination, nous permet d’invoquer certains faits connus de beaucoup.
Qui n’a pas connu l’ignoble comédie des Tribunaux de Commerce ne peut que se rapporter au livre d ‘Antoine Gaudino « La Mafia des Tribunaux de Commerce » ;Edt Albin Michel. Des millions d’emplois détruis, des milliards envolés, des entreprises spoliées, des hommes ruinés par les dénis de justice.
Qui sait où va l’argent de nos impôts ? Est-il convenablement réparti ? La vérité est ahurissante. Les technocrates qui traquent le contribuable, comme un manant, taillable et corvéable, s’octroient des primes illégales, des associations exploitent la misère humaine etc. De Bernard Zimmern « les Profiteurs de l’Etat » Edts Plon. Il est nécessaire d’y ajouter « Les fabricants de chômage » du même auteur. Vous-y trouverez notre assujettissement à l’ANPE, direction des impôts, Santé, emplois jeunes etc.
Qui n’a pas divorcé ne connaît pas les coûts, les longues procédures et les procédés déloyaux. Séverine Andrieu, Christiane Ivanez, Jean-Philippe Verstraete. Edts Farnaud Franel. « Le Racket du Divorce ».
Les opprimés se rencontrent aussi sur le site de Guy Douchet. Vous pourrez-y aller en partant du site indiqué plus haut, par l’intermédiaire des liens. Vous verrez, ils sont légions. (à toi de voir si tu veux mettre ton site).
Le club des étouffeurs de l information verrouille le système par une machine judiciaire répressive. Nous ne pouvons oublier l’indolence notoire de beaucoup de nos parlementaires. Ils connaissent la règle de l’Omerta. Ne comptez pas, en général, sur une réponse à vos courriers envoyés. Ils ne vous aideront, que s’ils ne portent pas atteinte au système.
Prêts pour la puce au poignet ? Nous pas !
TRILOGIE DE L'INACCEPTABLE
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Dernière mise à jour le : 4 AVRIL 2010