Comment peut-on parler de « santé » lorsqu'on introduit massivement dans le corps des microbes et des virus, éléments associés à la maladie, plus une quantité de produits notoirement toxiques ? Les instances qui ont rendu obligatoires les vaccinations sont-elles vraiment indépendantes des grands laboratoires ? Quel est le rôle de l’hygiène moderne dans la disparition des grandes épidémies ? Au vu du rapport bénéfice / risque des campagnes vaccinales, le jeu en vaut-il la chandelle ? Un dossier dérangeant pour dépasser les apparences…
- A shot in the dark, Harris Coulter et Barbara Loe Fisher, Avery Publishing Group, 1991.
Lorsque l’on parle de santé, on ne doit jamais oublier la notion fondamentale de “terrain”. La santé est un équilibre qu’il faut maintenir en menant une vie saine et non en introduisant dans le corps des virus et des microbes qui agressent le système immunitaire. En effet, ce ne sont pas les germes qui provoquent les maladies, mais la rupture de l’équilibre métabolique, car nous devons garder en mémoire que notre corps est constitué d'un nombre plus important de microbes, virus et autres bactéries que de cellules. Les microbes se mettent à proliférer lorsque l’organisme est altéré et désorganisé. Certains agents pathogènes existent dans l’organisme sans entraîner de dégâts, alors que d’autres peuvent déclencher une maladie malgré la présence d’anticorps.
La période qui suit une injection vaccinale place l’organisme dans un état de moindre résistance et de stress, et les maladies chroniques risquent alors de s’installer chez ceux qui ont peu de vitalité et d’énergie. Toute vaccination est, en effet, susceptible de provoquer une encéphalite légère ou grave et ce phénomène empêche un développement normal des gaines de myéline dans le cerveau. Des chercheurs ont découvert une similitude entre certains virus et la structure de la myéline et cette découverte capitale explique pourquoi beaucoup de maladies auto-immunes apparaissent après vaccination : le corps ne reconnaît plus l’antigène à combattre et s’attaque à ses propres cellules.
En outre, nombreux sont ceux qui croient encore que la plupart des épidémies ont été enrayées grâce aux vaccinations, alors que certaines d’entre elles ont disparu spontanément et que, d’une manière générale, le recul des maladies a toujours commencé bien avant l’introduction des vaccins. Ainsi, en 1348, la peste noire fit périr la majorité de la population française et le choléra sema la terreur pendant plusieurs siècles en Europe ; or, ces deux fléaux ont disparu sans aucun vaccin. Si la vaccination contre ces maladies avait existé durant ces périodes critiques, il est probable qu’on lui aurait attribué ces disparitions. De plus, si ces victoires étaient essentiellement dues aux vaccinations, ces maladies devraient continuer à sévir dans les pays qui ne les ont pas pratiquées ou qui les ont abandonnées, alors que l’épidémiologie démontre tout à fait le contraire, et des épidémies se déclarent encore dans des pays où la couverture vaccinale est presque totale.
En outre, les vaccins ne procurent pas la même immunité que les maladies et les taux d’anticorps évalués après les vaccinations sont généralement inférieurs à ceux qui sont mesurés après les maladies. D'autre part, les maladies infantiles jouent un rôle capital dans le renforcement de nos défenses naturelles et confèrent une protection définitive.
Les pays qui vaccinent le moins, telle la Suède, sont ceux où l’on observe le meilleur état de santé de la population. En revanche, les pays les plus vaccinalistes connaissent le taux le plus élevé de maladies, tels les pays de l’Est, ou bien les Etats-Unis. Ce pays voit croître, dans des proportions inquiétantes et chez des enfants de plus en plus jeunes, des maladies comme l’asthme, qui est devenu le plus grave problème en pédiatrie, ou l’autisme, qui a triplé en dix ans, ainsi que le diabète insulino-dépendant, qui a augmenté de 11 % chez des enfants de moins de cinq ans (cf. The Lancet de juin 1997). Quant à la rougeole, elle y est en constante augmentation (27 672 cas en 1990, soit 18 fois plus qu’en 1983), malgré une vaccination systématique contre la maladie depuis 1978. Ce constat alarmant a été publié, non par des ligues anti-vaccinalistes, mais par les laboratoires SmithKline Beecham, pourtant fabricants de vaccins.
Quant à la tuberculose, d’après le bulletin statistique du ministère de la Santé publique et de la Sécurité sociale, elle est loin d’avoir régressé massivement dans les pays où le BCG a longtemps été obligatoire (Bulgarie, Tchécoslovaquie, Pologne, etc.).
Ainsi, il est légitime de penser que, d’une part, ces vaccins n’ont pas été aussi efficaces qu’on le prétendait et que, d’autre part, ils ont engendré des modifications bactériennes directement liées aux souches vaccinales. On assiste ainsi à un regain de pathologies que l’on croyait avoir éliminées et qui reviennent, plus agressives que jamais. Ce phénomène qui concerne les microbes peut être comparé à l’utilisation systématique d’insecticides qui ont donné naissance à des insectes plus venimeux ou plus nuisibles et d’herbicides qui ont rendu les plantes plus résistantes.
Ainsi, de toute manière, même si on persiste à croire que les vaccins protègent de certaines maladies, ce qui est bien loin d’être scientifiquement prouvé, est-il raisonnable de faire courir à son enfant le risque de devenir allergique, asthmatique, autiste, ou insulino-dépendant, plutôt que d’avoir la rougeole, les oreillons, la rubéole ou la coqueluche, maladies toujours bénignes chez les enfants en bonne santé ? Est-il raisonnable pour un adulte de préférer attraper une sclérose en plaque, une maladie démyélinisante, ou un lupus, plutôt que de courir le risque infime d’une hépatite B dont on guérit spontanément si l’on ne figure pas parmi les sujets à risques ? Est-il raisonnable d’être toujours “patraque” plutôt que d’avoir, pendant quelques jours, une “bonne grippe” ? Enfin, est-il raisonnable de continuer à faire confiance à des laboratoires qui nous ont prouvé, depuis plus de dix ans, que leurs appétits financiers priment sur la santé des citoyens ?
- Exercice illégal de la guérison, Sylvie Simon, Ed. Marco Pietteur, (diffusion DG Diffusion), 2002.
- Vaccination l’overdose, Sylvie Simon, Ed. Déjà (diffusion DG Diffusion), 1999.
- Vaccin Hépatite B, les coulisses d’un scandale, Sylvie Simon et Dr Marc Vercoutère, Ed. Marco Pietteur, (diffusion DG Diffusion), 2001.
- La Dictature médico-scientifique, Sylvie Simon, Ed. Filipacchi, 1997.
- Pour en finir avec Pasteur, un siècle de mystification scientifique, Eric Ancelet, Ed. Marco Pietteur, (diffusion DG Diffusion), 1998.
- Tétanos : le mirage de la vaccination, Françoise Joët, Alis (tél. : 04.73.63.02.21), 1998.
- Hépatites : les vaccins catastrophe, Françoise Joët et Claude Bernard, Alis (tél. : 04.73.63.02.21), 1996.
- Les vérités indésirables, Michel Georget, Ed. Dangles, 2000.
- Nous te protègerons ! vaccin polio, Dr Jean Pilette, Ed. Marco Pietteur, (diffusion DG Diffusion), 2001.
- Faut-il avoir peur des vaccinations ?, ouvrage collectif, Synthèse du colloque d’octobre 2000, Ed. Déjà (diffusion DG Diffusion), 2001.
- Vaccinations, erreur médicale du siècle, Dr Louis de Brouwer, Ed. Louise Courteau, (diffusion DG Diffusion), 1997.
- Phobie des microbes et manie vaccinale, Dr Yves Couzigou, Ed. Vie et Action (tél. : 04.93.59.98.99), 1992.
- La Longue traque de la variole, Pierre Darmon, Ed. Perrin, 1986.
- Les vérités indésirables - le cas Pasteur, Philippe Decourt, (Archives internationales Claude Bernard), La vieille Taupe (BP 98, 75224 Paris cedex 05), 1989.
- L’intoxication vaccinale, Fernand Delarue, Le Seuil, 1977.
- La rançon des vaccinations, Simone Delarue, LNPLV (tél. : 04.50.10.12.09), 6e édition, 1988.
- La médecine retrouvée, Dr Jean Elmiger, Ed. Maloine, 1985.
- La pratique de l’immunothérapie à doses infinitésimales, Dr Laurent Hervieux, Ed. Roger Jollois, (diffusion DG Diffusion), 1996.
- Des enfants sains, même sans médecin, Dr Robert Mendelsohn, Ed. Soleil, (tél. : 04.50.87.27.09), 1987.
- Antoine Béchamp, l’homme et le savant, originalité et fécondité de son œuvre, Marie Nonclercq, Ed. Maloine, 1982.
- Live viral vaccines, Biological pollution, Pr Richard Delong, Carlton Press Corp., 1996.
- The hazards of immunization, G. S. Wilson, The Athlone Press, 1967.
- Corporate crime in the pharmaceutical industry, John Braithwaite, Ed. Routledge et Kegan Paul, 1986.
- Vaccination : Social violence and criminality, Harris Coulter, North Atlantic books, Berkeley, 1990.
- Immunization theory vs reality, Neil Z. Miller, New Atlantean Press, Santa Fe, 1996.
- Adverse effects of pertussis and rubella vaccines, Howson & col., Washington DC, National Academy Press, 1991.
Pour toute question ou problème concernant ce site Web, envoyez un courrier électronique à Jacques Daudon. © 2005
Dernière mise à jour le : 04 mars 2006.