"L'obligation de subir nous donne le droit de savoir"
Vaccins obligatoires ou simplement « conseillés », occultation des textes garantissant la liberté de choix… comment s’y retrouver dans ce dédale juridique volontairement opaque ?
Comment savoir si ce qu’on nous dit est vrai quand on sait que la plupart des experts ont des liens financiers avec les marchands de vaccins, quand on voit qu’on mélange allégrement dans les documents officiels les vaccins obligatoires et les vaccins conseillés afin que, seuls, les spécialistes s’y retrouvent, quand on voit comment il faut continuellement rappeler la vérité, par exemple sur la disparition de la variole ?
Et pourtant les tribunaux confirment qu’on nous doit des informations complètes qui nous permettraient d’effectuer un choix éclairé. C’est grâce à des associations comme la Ligue nationale pour la liberté des vaccinations - qui pendant un moment fut la seule au monde - que le coin du voile est soulevé et se soulève chaque jour davantage. Aujourd’hui, de nombreuses associations dans le monde se battent pour faire respecter nos droits et les faire évoluer vers plus de liberté.
De toute manière, notre droit est aussi de faire respecter les textes légaux. En effet, certaines infirmières scolaires, certains chefs d’établissement, certains médecins du travail tentent d’imposer des rappels tous les 5 ans, une vaccination anti-hépatite B pour un CAP de coiffure ou un emploi dans une école primaire ; ou des certificats de vaccinations lors de l’inscription à l’école, bien qu’ils ne soient obligatoires que lors de l’admission. Quant à notre devoir, il est d’imposer la célèbre maxime : « dura lex, sed lex ».
Ce n’est pas en cédant à des exigences illégales, ni en fournissant des certificats de contre-indication pour des vaccins non-obligatoires, que nous imposerons le respect la loi. A toute requête hors du cadre des vaccins obligatoires, exigez qu’on vous fournisse les textes légaux sur lesquels s’appuient de telles demandes.
Nous avons parfaitement le droit de présenter un certificat de contre-indication, parce qu’il est prévu dans les textes, sans en donner le motif, car c’est le secret médical.
Nous pouvons également refuser que certains qualifient ces certificats de « certificat de complaisance », puisque toute inquiétude au sujet d’une possible complication post-vaccinale est un motif suffisant pour l’établissement de ce dernier, et refuser aussi de le renouveler périodiquement s’il n’est pas limité dans le temps, car aucun texte ne le prévoit.
Puisque aujourd’hui la loi nous impose quatre vaccinations, notre droit est d’exiger des vaccins efficaces et des vaccins sans risque, ce qui n’est pas le cas aujourd’hui, tous les articles de ce numéro exceptionnel le prouvent.
Notre droit le plus important est de faire évoluer la loi. Nous y arriverons si nous sommes nombreux à le réclamer.
La constitution française reconnaît aux citoyens le droit au respect de leurs convictions philosophiques, politiques ou religieuses. Un malade peut refuser un traitement médical ou chirurgical, mais le citoyen français bien portant doit subir le fait du prince et se soumettre à des vaccinations que non seulement il est en droit de réprouver en son âme et conscience, mais qui peuvent avoir des conséquences catastrophiques sur son état de santé, voire entraîner la mort.
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Dernière mise à jour le : 04 mars 2006.