Les instances médicales, liées financièrement aux laboratoires, tendent à occulter l’inefficacité de certains vaccins et à minimiser l’étendue et la gravité des risques encourus. Faisons le point.
On a souvent constaté que certaines maladies se déclarent chez le patient qui vient de subir la vaccination destinée à le protéger contre cette maladie. Certains ne veulent voir dans ces accidents que des coïncidences malheureuses, mais d’autres, peut-être plus avisés et de toute manière plus curieux, pensent qu’il existe un rapport de cause à effet dû au danger que représente l’inoculation de microbes ou de toxines dans un organisme sain qui devient moins résistant du fait du “stress vaccinal”.
Le constat d’inefficacité de certains vaccins est parfois dressé par les laboratoires eux-mêmes. Ainsi SmithKline Beecham, fabricant du vaccin contre l’hépatite B, a déclaré : “La vaccination contre HBV, obligatoire pour certains groupes à risque, mériterait d’être étendue à une plus large population, la plus jeune notamment, la vaccination des sujets à haut risque n’ayant eu, semble-t-il, aucun impact aux Etats-Unis sur l’incidence de la maladie” (cf. Le Concours médical, vol. 15, n° 4, 1993).
Ce document est particulièrement intéressant et instructif pour démontrer la stratégie des lobbies pharmaceutiques et une certaine complicité des pouvoirs publics. En effet, on peut y prendre connaissance d’un constat d’inefficacité dressé par le laboratoire fabricant qui pourtant recommande d’étendre une vaccination qui se révèle n’avoir aucun impact sur la maladie. On croit rêver !
On retrouve ce même état d’esprit dans Le Concours médical n° 8 de 1993 (vol. 115), sous la plume du Dr Christian Sicot qui déclare : “Si l’on prend l’exemple des Etats-Unis, l’incidence globale des hépatites aiguës B depuis l’instauration de la vaccination n’a pas diminué mais progressé, passant de 55 à 63 cas pour 100 000 entre 1981 et 1987. Ce résultat décevant [...] n’est pourtant pas inattendu : la couverture vaccinale des groupes à risque reste insuffisante.”
En somme, six ans de vaccination à outrance (les nouveau-nés sont vaccinés là-bas dès la première semaine) n’ont servi qu’à augmenter l’incidence de la maladie et à engendrer de multiples effets secondaires ! En effet, entre le 1er juillet 1990 et le 31 octobre 1998, le Vaers, système gouvernemental de saisies des effets adverses des vaccins, en a dénombré 24 775 pour le seul vaccin contre l’hépatite B, dont 9 673 cas très graves et 439 décès. Beaux résultats en ce qui concerne le rapport bénéfice / risque !
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Dernière mise à jour le : 04 mars 2006.