Rougeole, Oreillons, Rubéole
Alors qu’en France on ne cesse de vanter les bienfaits de ce vaccin, sait-on qu’il existe, en Angleterre, 2 000 plaintes déposées contre ses fabricants et le gouvernement britannique, tellement il y a eu d’accidents consécutifs à cette vaccination ?
Le Dr Andrew Wakefield, gastro-entérologue, Fellow du Royal College of Pathologists (titre prestigieux), autorité internationale pour les maladies intestinales induites par des médicaments, a dirigé pendant des années un groupe de recherche pour étudier la possibilité que le virus de la rougeole contenu dans le ROR puisse se fixer dans les intestins d’enfants sensibles et y déclencher une inflammation qui peut conduire à l’autisme.
Le 2 décembre 2001, le Dr Wakefield a été prié de donner sa démission du poste qu’il occupait depuis 14 ans au Royal Free Hospital de Londres (et qui lui rapportait 50 000 livres sterling par an), car ses travaux sur l’autisme et le ROR étaient “gênants” pour le college universitaire qui contrôle le Royal Free Hospital.
« On m’a demandé de partir car les résultats de mes recherches sont impopulaires », a déclaré Andrew Wakefield, renvoyé comme un laquais indélicat par des pouvoirs corrompus. Heureusement, le Dr Wakefield poursuit actuellement ses travaux dans une université américaine qui a mis d’importants moyens de recherches à sa disposition.
Les travaux du Dr Ulmann et de ses collègues ont démontré que sur une cohorte d’enfants atteints par ce que l’on appelle l’autisme régressif qui se développe très rapidement après le vaccin (vers 12 à 15 mois d’âge), 75 des 91 enfants examinés présentaient le virus de la rougeole dans leurs intestins.
Une autre étude a été menée sur 200 enfants autistes par le Pr Vijendra Singh du département de biologie de l’Université de l’Utah (Etats-Unis), après de nombreux rapports de parents qui pensent que leurs enfants sont devenus autistes tout de suite après l’injection du vaccin. Les résultats, publiés le 2 décembre 2002 par le Sunday Express, ont établi que 9 autistes sur 10 avaient souffert d’une réaction au virus de la rougeole contenu dans le ROR. Le Dr Richard Halvorsen, de Londres, a déclaré au même journal que cette étude confirmait les précédentes qui prouvent bien le lien entre le ROR et l’autisme. « Une quantité de parents continuent de rapporter les problèmes de développement chez leurs enfants. Nous ne pouvons les ignorer et il impossible de prétendre que tous ces gens se trompent. »
D’autres recherches démontrent que l’autisme s’est multiplié par 10 depuis les dix dernières années. Or, le triple vaccin a été introduit en 1988, mais ce n’est certainement qu’une des nombreuses « coïncidences » qui jalonnent l’histoire des vaccins.
Lorsque débutèrent les premières vaccinations ROR au Japon, le ministère de la Santé signala des effets indésirables dans un cas sur 200 000. Quelques années plus tard, ayant « révisé » les chiffres, le même ministère annonçait un accident pour 30 000 vaccinés. Les statistiques ayant été à nouveau « révisées », il fut reconnu un accident pour 1 300 vaccinés, chiffre étrangement différent de ceux précédemment publiés !
Le ministre de la Santé japonais a annoncé que le retrait du vaccin n’a pas augmenté la mortalité causée par la rougeole.
Personne ne signale que le simple vaccin de la rougeole est dangereux lui aussi, que le nombre et la gravité des complications de la rougeole ou de la rubéole sont surestimés et, qu’en revanche, les accidents post-vaccinaux sont sous-estimés, que la rubéole est bénigne chez les enfants et ne menace que les femmes pendant les trois premiers mois de leur grossesse, et que 90 % d’entre elles sont naturellement protégées. Pourtant, on vaccine aussi bien les garçons que les filles.
Tout le monde semble aussi avoir oublié que la Suède a abandonné ce vaccin dès 1970 et l’Allemagne dès 1975, le ministre allemand de la Santé ayant déclaré à l’époque : « Son efficacité médicale n’est pas prouvée, tandis que sa toxicité est démontrée ». Ces pays n’ont pas connu d’épidémie de rougeole pour autant.
Le 22 décembre 2001, dans un village algérien, Oued el Abtal, près de Mascara, 7 nourrissons sont décédés dans le centre de santé où ils venaient d’être vaccinés contre la rougeole. Des dizaines d’autres bébés ont été hospitalisés. Pour protester, la population est descendue dans la rue et a incendié la sous-préfecture, la mairie et le centre des impôts. Le ministre de la Santé a annoncé qu’il y avait eu une mauvaise manipulation, mais que les vaccins, qui provenaient d’un grand laboratoire européen n’étaient pas périmés (cf. La libre Belgique – 26 décembre 2001). Voilà qui aurait dû rassurer les familles…
Mais le vaccin protège-t-il vraiment ? La question n’est jamais posée. Or, en novembre 1983 le International pharmaceutical abstract, de Washington, signalait qu’une sévère épidémie de rougeole s’était développée à la suite d’une campagne de vaccination, touchant 33,6 % des jeunes filles vaccinées. Tout porte à penser qu’il s’est agi d’une mutation du virus vaccinal.
En 1986, au Canada, le nombre de rougeole était sept fois plus élevé qu'en 1985. Sur 5 575 cas étudiés, 60 % concernaient des sujets bien vaccinés.
Le 15 janvier 1988, le Jama (Journal of American Medical Association) alertait ses lecteurs : « Le record d’immunisation a été signalé dans les écoles de browning Mount aux états-Unis, où le plus grand nombre de cas de rougeole fut recensé, atteignant 98,7 % des étudiants très correctement vaccinés. »
En 1990, le 15 juillet, le même journal informait ses lecteurs qu’une proportion de 83 % de malades victimes d'une épidémie prolongée avaient été correctement vaccinés !
Le Dr Mendelsohn, pédiatre américain, remarque : « Depuis 30 ans qu’on vaccine aux Etats-Unis contre la rougeole, les épidémies de rougeole n’ont pas baissé d’intensité, concernant jusqu’à 87 % des sujets vaccinés, touchant dans 10 % des cas des adultes de plus de vingt ans avec des formes d’autant plus graves, et la mortalité par rougeole a été multipliée par 25 depuis ces campagnes vaccinales. »
En résumé, aux Etats-Unis, la rougeole est en constante augmentation depuis les vaccinations (cf. Arch. Intern. Med, 1994).
Il est donc légitime de se poser la question : pourquoi faire courir tant de risques à des enfants alors que leur protection vaccinale est bien loin d’être évidente ?
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Dernière mise à jour le : 04 mars 2006.