Où sont donc passés nos garde-fous ?
L'ETAT FRANCAIS SERAIT-IL DEVENU UN ETAT TOTALITAIRE ?
Le Professeur R. Piédelièvre, président de l'Ordre des Médecins permet, dans le numéro de juillet 1951 de la Gazette de la Santé Publique, à chacun de se faire une idée sur la question posée en début de document. Pages 162 et 163 de cette même gazette il écrivait :
<< On doit, d'abord, se souvenir que chacun, en France, est jusqu'à présent propriétaire de son corps et maître de ses pensées. C'est là un bien inestimable, à mon avis le premier des biens, sans doute. Et si une loi supprimait un jour ce droit, aucune liberté n'existerait plus; nous ne serions que des numéros sans âme, dans un Etat d'un totalitarisme dévorant.
Tout individu peut donc être examiné par un médecin, mais s'il le veut seulement. Personne ne peut forcer quelqu'un, s'il ne le désire pas, à être traité. La loi donne au médecin le droit de soigner et l'interdit à celui qui n'est pas docteur en médecine; le médecin a le devoir de chercher à guérir, mais seulement s'il est appelé par le malade et il s'établit alors une sorte de contrat entre eux. Mais il n'a pas le droit de guérir si on ne lui demande pas ......>>.
A notre avis, l'Etat a tendance à confisquer la majeure partie des activités de la société.
Nos raisons sont fondées par plusieurs exemples connus de tous mais hélas fort peu contestés :
Toute découverte, toute thérapie, reconnues efficaces preuves à l'appui hors du système, ne reçoit jamais la moindre reconnaissance; pis leurs auteurs subissent des tracasseries administratives sans fin, sont affectés de maux incompréhensibles et disparaissent victimes, la plupart du temps de cancers. ( Dr Jean Seignalet - Professeur Beljanski )
Les cas ne sont pas rares mais vu l'état de la Presse française il est normal que nous n'en connaissions qu'une faible partie.
Il en est ainsi dans bien d'autres domaines, comme l'économie et le syndicalisme. Si l'on ne suit pas la voie du conditionnement on passe aux oubliettes, si l'on est peu connu ( R. Montgranier). Quant à ceux qui atteignent une relative célébrité par leur efficacité et leur charisme ils finissent victimes de mort foudroyante. ( Ch. Poucet ).
Evidemment les coupables ne sont pas retrouvés.
Il est facile de remarquer que les associations subissent les mêmes contraintes. Sans la bénédiction des pouvoirs publics aucun salut.
La désinformation est telle que nos militaires victimes du syndrome du Golfe ne connaîtront jamais officiellement le mal qui les torture. Pourtant, des spécialistes NBCR, des médecins consciencieux et de bon sens, n'ignorent pas les causes. Le fruit de leurs recherches est tue par une presse servile.
La société n'est plus protégée par la critique des plus avisés. Nous allons directement vers un effondrement de cette dernière dont les répercussions iront jusqu'à sa prochaine disparition.
Jacques-Henri DAUDON - Président du Parti des Français Progressistes.
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Dernière mise à jour le : 04 mars 2006.