SIMILITUDE FRAPPANTE ENTRE NOS CELLULES ET LES NATIONS EUROPEENNES
Les membranes basales d’une cellule humaine sont de véritables parois qui servent de supports et de filtres moléculaires. Ces membranes jouent un rôle important dans le tri des substances qui vont du sang aux tissus (Univers des Sciences – La cellule vivante – Christian de Duve – Diffusion Belin p.40).
Si par injection, à l’aide d’une aiguille, on administre un produit, vaccin par exemple, ce dernier toujours hautement dangereux, ces membranes ne rempliront pas leur rôle de « trieuses » et le produit se diffusera dans les cellules très facilement, avec les conséquences désastreuses, sur le personnel soignant en particulier. Prochain scandale dans peu de temps.
De même la zone européenne est un espace monétaire, où malheureusement, faute politique sans doute voulue, les conditions sociales et économiques sont hélas trop dissemblables. Pour un équilibre économique et une paix sociale devraient s’appliquer les mêmes règles sur : impôts, taxations diverses, Code du travail, assurance d’emploi pour tous etc. .
L’entretien harmonieux de ces Nations cellules, leur équilibre interne, en supposant des règles communes, ne peut s’effectuer qu’aux frontières de ces dernières; limites de pays jouant le rôle d’une membrane basale. Sans ce contrôle, au nom d’un libéralisme sauvage relevant d’une escroquerie intellectuelle, on soumet tous les peuples d’Europe et de la planète au capitalisme apatride. La membrane basale est violée, l’apoptose s’ensuit pour la cellule, les frontières franchies sans filtre, ont pour conséquence le dépérissement des monnaies.
Une autre loi, purement mécanique, s’applique parfaitement aux sociétés humaines
Si des forces différentes sont appliquées à un corps, l’ensemble de ces forces peut être remplacé par la résultante de ces dernières.
On est en droit de considérer que chaque citoyen représente une force. La société évolue dans le sens de la résultante des forces citoyennes. Le cas extrême étant celui d’une société où ne s’exprimerait qu’une force, celle d’un tyran.
Pour que chaque citoyen représente une force réelle, il doit être informé des problèmes essentiels de la société. L’immense majorité est dans l’ignorance totale. Le débat citoyen sur l’économie est exclu; nous subissons la tyrannie d’un seul groupe, celui des banquiers. Cette dictature est d’autant plus redoutable que la soumission des citoyens sujets est acquise inconsciemment.
Les lois évoquées ci-dessus, les règles édictées par la nature, sont des règles que nul ne peut enfreindre sans qu’une réaction ne se produise, violente entraînant la mort de la cellule d’une part, des déséquilibres sociaux importants, fauteurs de troubles majeurs, de chômage, misères diverses, guerres et morts.
Quelques groupes, ont établi des règles économiques qui vont à l’encontre du bon sens et de la bonne marche de l’Etat. Elles leur sont favorables au point que les moins productifs, engrangent des bénéfices considérables alors qu’ils ne font que prêter (avec intérêts) la contre-valeur de la production de tous les travailleurs.
Français soyons lucides. Réfléchissons ! N’aurions-nous pas été assez clairs ? Ne demanderez-vous pas demain le Référendum d’Initiative Citoyenne afin que nos garçons et nos filles puissent apprendre au Collège les rudiments d’une économie de partage qui les rendront conscients des évidentes roueries mises en place naguère par nos ronds-de-cuir des banques. Les effets étant toujours plus délétères chaque jour.
Le Bureau du P.F.P
Inspiré par le Bulletin de Liaison de l’ADED signé par Denis Gauci.