Serres le 28 février 2007
Madame, Monsieur,
Je porte à votre connaissance la raison de mon intervention. Notre point commun, si je ne me trompe, est bien d'informer et de défendre le public contre la désinformation exercée, par l'intermédiaire des pouvoirs publics, par les trusts et des intérêts cosmopolites.
Malgré nos agissements nos libertés diminuent notablement et demain nous ne pourrons rien faire contre l'obligation vaccinale que rien ne justifie, rien faire contre l'empoisonnement programmé des citoyens (Trilogie de l'inacceptable). Le déséquilibre de nos terres est effectif depuis 50 ans, nos trop rares découvreurs persécutés par une justice perverse depuis 30 ans, nos rares commerçants qui peuvent encore distribuer des compléments alimentaires, ennuyés fiscalement depuis 15 ans ... arrêtons l'hécatombe, vous savez mieux que moi; on pourrait remplir des livres de récriminations.
La seule façon, à mon sens, de se sortit de ce contexte révoltant, névrosant à la longue pour tous serait que nous puissions nous unir pour porter devant une juridiction compétente, sous la forme d'un référé, la formulation d'une plainte pour entrave à la démocratie et au manque de traitement équitable en matière d'information en demandant réparation du préjudice subi conformément à l'article 432-7 du C-Pénal avec application pleine et entière de la loi.
Nous ne ferions que nous unir avec le candidat à la Présidentielle Franck Abed dont je vous délivre le N° de téléphone; ceci inciterait d'autres candidats lésés à s'unir à nous. Je termine en vous précisant que je ne baisserai jamais les bras.
D'autre part, les personnes qui ne me répondent pas m'incitent à croire que beaucoup déplorent cette situation intolérable en démocratie mais que la plupart hésite à réagir vigoureusement et rapidement pour le bien de notre pays qui n'en finit pas de subir.
Est-ce un manque de courage, ou une stratégie?
Mon père, ancien résistant, pourtant paisible industriel me confiait que pour 1 résistant on trouvait 400 personnes à rester de glace ou simplement gênées devant les pires troubles. Il ajoutait d'ailleurs qu'une faiblesse de caractère, mêlée à des craintes professionnelles et civiles, encadraient le morceau de choix : un certain égoïsme; un sacré casse-croûte difficile à digérer pour les inconditionnels du respect de la justice.
Ah! si nous pouvions greffer notre nombril dans le dos les 2 S, ânes présidentiables, auraient du soucis à se faire.
Jacques Daudon
Franck ABED
www.reconciliationnationale.fr
06.03.16.97.81
.
.