VACCINS CONTRE LA GRIPPE SAISONNIÈRE ET H1N1 :VERS UNE ÉPIDÉMIE DE MALADIES NEURO-DÉGÉNÉRATIVES ET DE DÉCOMPENSATIONS CHEZ LES PERSONNES FRAGILES
Selon le Vidal des professionnels élaboré par les laboratoires – qui ne fournissent que 1% de leurs données aux autorités (Michel le Duff, directeur du CRIM) - on peut craindre – au minimum avec les vaccins contre la grippe saisonnière :
Dans 1 cas sur 1 000 à 1 cas sur 10 000, des névralgies, paresthésies, convulsions, thrombocytémies transitoires, ainsi que choc anaphylactique mortel : soit, chaque année en France, entre 1 100 et 11 000 personnes affectées par ce genre de complications nécessitant une hospitalisation.
Dans moins d’1 cas sur 10 000, une encéphalomyélite, une névrite, un syndrome de Guillain-Barré ou encore une vascularite avec insuffisance rénale : soit chaque année en France, près de 1 100 personnes qui devront également être hospitalisées. A titre d’exemple, la vaccination contre la grippe de plus de 40 millions d’américains en deux mois avait déclenché en 1976 plus de 100 décès et de 1 000 cas de paralysie de Guillain-Barré ; ce qui n’était que la partie visible de l’iceberg avec les complications à moyen et long terme sciemment ignorées.
Tout vaccin contre la grippe peut, en dehors de toute notion de sida, déclencher des « réponses faussement positives aux épreuves sérologiques utilisant la méthode Elisa pour détecter les anticorps contre HIV1, hépatite C, et surtout HTLV1. Infirmées par le Western Blot, ces réactions transitoires faussement positives seraient dues à la réponse IgM induite par la vaccination ».
En 1984, une étude de chercheurs de l’Université de Vienne en Autriche avait déjà mis en évidence, avec le vaccin contre le tétanos, comme avec les vaccins couplés, diphtérie, tétanos, polio et coqueluche, un affaiblissement du système immunitaire comparable à celui observé au cours du sida. Entre 7 et 14 jours après la vaccination, les évaluations moyennes des rapports CD4/CD8 étaient significativement plus basses chez l’ensemble des sujets âgés de 25 à 50 ans qu’avant la vaccination, avec pour certains des taux comparables à ceux observés en cas de sida. Un mois plus tard, ce rapport CD4/CD8 revenait à la normale. (New England Journal of Medicine, vol 310, 1984)
The New England Journal of Medicine du 9 mai 1996, nous signalait que « la réplication du VIH est augmentée après administration du vaccin grippal à des patients infectés par le VIH. De plus, la vaccination semble augmenter la susceptibilité à l’infection in vitro des lymphocytes des personnes non infectées ». Dès 1987, le Pr Luc Montagnier avait d’ailleurs, fort logiquement mais vainement, suggéré le dépistage de la séropositivité avant de vacciner.
Ajoutons que par l’utilisation d’ARN double-brins qui exercent une régulation du noyau et donc des gènes des cellules de la personne vaccinée, certains gènes sur la chaîne d'ADN et notamment chez les personnes âgées sont bloqués. Il en résulte un fonctionnement anormal des cellules dont les neurones ! D'où la floraison grandissante des Alzheimer actuels, au rythme de 250 000 nouveaux chaque année en France, pour lesquels la pollution électromagnétique n’est pas non plus étrangère. (Travaux d’Andrew Fire et Craig C. Mello, sur les mécanismes biologiques contrôlant les flux d'informations génétiques qui leur a valu le Prix Nobel de Médecine et Physiologie 2006).
On peut donc s’attendre à des perturbations sévères du système immunitaire pendant dix semaines chez toute personne qui recevra le vaccin saisonnier puis la ou les deux piqûres du vaccin pandémique. Ces perturbations seront plus marquées chez les personnes dont le système immunitaire est modifié par la grossesse (800 000 personnes) ou perturbé par une maladie chronique (9 millions de personnes) ou encore chez les 2 millions d’enfants de moins de 2 ans plus fragiles sur le plan immunologique.
A ces complications communes aux vaccins saisonnier et pandémique et dont la fréquence va s’accroître avec le cumul des doses, il faudra ajouter les complications auto-immunes en relation avec les adjuvants (squalène, mercure dont l’abandon avait été recommandé en 1999 (mais qu’ont ajouté également GlaxoSmithkline et Sanofi Pasteur cette année dans les vaccins contre la grippe saisonnière) utilisés dans les vaccins pandémiques.
Ainsi, en plus des dizaines de milliers de malades qui subiront une décompensation de leur maladie qu’il s’agisse de diabète, d’asthme, de bronchite chronique, de maladie d’Alzheimer ou encore de cancer, il faudra ajouter « plusieurs dizaines de milliers de complications, imputées à tort ou à raison au vaccin, comme on a eu la sclérose en plaques avec celui de l’hépatite B » (Pr Marchou, chef du service des maladies infectieuses au CHU de Toulouse le 26 juillet dernier dans le Journal du Dimanche). Entre 1994 et 2006, alors que 30 millions de français ont été vaccinés, nous sommes passés de 20 000 scléroses en plaques à 80 000 !
Conscient de ces risques, Daniel Floret, du Comité technique des vaccinations, reconnaît que « Chez les enfants, les femmes enceintes dont le système immunitaire se modifie et les personnes immunodéprimées, il existe un risque de déclencher des maladies auto-immunes ». C’est pourquoi un vaccin sans adjuvant serait à l’étude afin de réduire ce risque !
VACCINS PANDÉMIQUES
« Des vaccins qui font peur » (Le Monde, 4 août 2009)
Ayant soumis, dès 2007, des « maquettes » à partir des données du précédent vaccin pandémique contre le virus H5N1, les laboratoires britannique GSK, suisse Novartis et américain Baxter ont obtenu fin septembre l’autorisation de mise sur le marché (AMM) pour leurs vaccins contre la pandémie H1N1, l’antigène H1N1 remplaçant le H5N1.
Afin de raccourcir également le délai d’AMM, le vaccin pandémique sans adjuvant de Sanofi Pasteur sera, de son côté, évalué par l’Afssaps et non par les instances européennes. L’avis sera ainsi rendu « sous un mois », pour la mi-novembre au lieu de début 2010. Ce vaccin est recommandé par le Haut Conseil de santé publique pour les populations fragiles (femmes enceintes, jeunes enfants, personnes immuno-déprimées).
Ces vaccins seront administrés par des équipes de vaccination ambulantes réquisitionnées, sans intervention des pharmaciens, infirmières et médecins libéraux. En plus du mercure utilisé à nouveau dans deux des vaccins saisonniers, la majorité de ces vaccins fera appel à un deuxième adjuvant dérivé de l’huile de foie de requin : le squalène (AS03 ou MF59). En augmentant fortement la réponse immunitaire, ces adjuvants permettent de produire davantage de doses et permettraient – sans preuves à l’appui – d’apporter une protection en cas de mutation du virus, « la relation entre séroconversion et protection contre le virus restant du domaine théorique » (propos de GSK en audition publique devant la FDA en février 2009).
Alors que ces adjuvants inquiètent la population, experts et médias se veulent rassurants : côté positif, les études cliniques chez l’homme « n’ont pas fait apparaître de signal de risque », côté négatif, le « squalène a été mis en cause après que les anticorps antisqualène ont été retrouvés chez les vétérans de la guerre du Golfe », même si le lien de causalité n’a pas été établi ! (La Tribune, 9 octobre 2009). Mais pourquoi dans ces conditions, les autorités sanitaires recommandent-elles des vaccins sans adjuvant pour les populations fragiles ?
Il est de plus démontré qu’une injection intradermique unique a le pouvoir de déclencher une polyarthrite rhumatoïde chez des rats prédisposés génétiquement. Le squalène est ainsi capable de toucher sélectivement certains organes comme le cerveau avec déclenchement chez le rat d’encéphalomyélite ou de lupus. Pour le Pr. Zinkernagel, prix Nobel de médecine et physiologie 1996, introduire dans l’organisme en grande quantité une molécule qui existe dans l’organisme, telle le squalène, peut déclencher des mécanismes immunitaires de type auto-immun. Cela s’explique par une exposition prolongée des lymphocytes des ganglions par de grandes quantités de cette molécule, ce qui déclenche une réaction de défense du système immunitaire. Deux injections rapprochées – comme il est prévu avec ces vaccins - augmentent le risque de déclencher ce type de réaction. (Pour la science :« Le soi, le non-soi et les virus », numéro 236 de juin 1997)
Non sans raisons, l'armée allemande a décidé d'opter pour des vaccins sans mercure et sans squalène après que des médecins aient averti que les vaccins de GSK et de Novartis pouvaient présenter des « effets secondaires incalculables ». (Westfalen Blatt de Bielefeld, du 12 octobre 2009)
Aux effets auto-immuns et toxiques du squalène qui s’avère aussi toxique que l’hydroxyde d’aluminium, il faut ajouter ceux du Thiomersal composé de mercure. Alors que pour les autorités françaises « les bénéfices de l’utilisation du Thiomersal l’emportent largement sur le risque toxicologique théorique », de nombreuses études scientifiques internationales établissent une relation de causalité entre l’autisme et le mercure vaccinal. Depuis l’utilisation de cet adjuvant, que l’association américaine des pédiatres, la FDA et l’EMEA avaient recommandé d’abandonner dans les vaccins notamment pour les enfants dès le début des années 2000, la fréquence de ce déficit neuropsychologique n’a cessé d’augmenter notamment en Grande-Bretagne et aux Etats-Unis pour atteindre chez ce dernier un cas pour 150 naissances chez les garçons et un cas pour 300 chez les filles avec plusieurs milliers de plaintes de parents dans ces deux pays.
Dr Marc VERCOUTERE
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