Circulaire N°7 - Rappel 03 mars 2010
Critiques et éclaircissements sur l’article de Georges Charpak (Physicien) paru dans « Le Monde » du 02 Juin 2000
Les Présidents des Partis Européens Progressistes.
A tous les citoyens français qui apprécient l’information loyale.
Madame, Monsieur,
L’article que vous allez parcourir aura été longuement préparé afin que toute la lumière soit faite sur un sujet brûlant. Nous nous sommes attachés au fait qu’il n’est pas dans nos principes de profiter de la crédulité de nos semblables pour se contenter d’approcher la vérité, ou de la transformer à notre avantage d’une manière malhonnête. Nous vous informons directement, parce que nous serons un jour ou l’autre confrontés aux dures réalités de la radioactivité ; le journal Le Monde n’ayant pas jugé utile de donner un droit de réponse à Mr ANDRE spécialiste en protection nucléaire, ancien officier de l’armée belge.
Analyse de l’article de Georges Charpak (Extrait du texte mis en italique)
« Notre futur serait menacé à plus ou moins long terme par le tarissement des ressources énergétiques basées sur le charbon et le pétrole, il est normal que de grands espoirs aient été fondés sur l’énergie nucléaire ».
A cette entrée en matière, il faut que G. Charpak sache que, depuis plusieurs décades des moteurs fonctionnent avec des carburants autres que les hydrocarbures. Projets enterrés, mis au fond des tiroirs, car ils priveraient les pétroliers d’énormes revenus. Par ailleurs, une centrale nucléaire utilise plus d’énergie qu’elle n’en produit . (Un électronicien américain M. Ackerman a calculé que la consommation globale cumulée d’électricité par la CAE, avait été de802 milliards de KWH, pour une production totale de 86 milliards de KWH ! En outre, pouvions, nous Français, nous permettre de miser sur le tout nucléaire alors que nous n’avions que très peu de minerai ? Nos politiciens étaient soit des incompétents, soit des gens grugés par les promoteurs de cette industrie extrêmement sournoise et dangereuse.
« La prise de conscience du niveau de radiations incontournables auquel est soumis la race humaine est indispensable pour juger....D'une crainte légitime des incidents ou accidents qui accompagnent l’usage de sources de rayonnements, à usage industriel ou médical. L’irradiation de notre corps par les éléments radioactifs naturels qui sont présents dans nos tissus me semble un étalon parfait pour apprécier la nuisance de sources artificielles ». (1 er et 2 ème paragraphe page 12)
G. Charpak doit savoir que l’atome K 40 radioactif n’est présent dans le corps humain (face à ses homologues K 39 et K 41 non radioactifs, présents eux-aussi) qu’à raison de 1 atome sur 1OO.000 atomes. Bâtir une nouvelle unité le DARI sur un élément radioactif certes, mais qui ne présente aucune tendance à se regrouper dans un organe vivant (effet de proximité), nous paraît invraisemblable; en effet ces rares atomes de K 40 restent pratiquement isolés les uns des autres et n’ont pas le pouvoir ionisant suffisant pour franchir la barrière du potentiel de défense du corps. Or la grande majorité des atomes radioactifs nocifs, produits par l’industrie nucléaire se reconcentrent dans les organismes vivants, en acquérant de ce fait dûment constaté, leurs caractéristiques de morbidité ionisante.
Le rayonnement ionisant (radioactivité non-naturelle) est nocif quand il entre en collision avec une cellule vivante ou un organe. Cette « rencontre » provoque immédiatement la formation d’acides (à l’échelle moléculaire) de radicaux OH et HOH. Ces radicaux forment des bases ou acides à cette échelle et détruisent la vie.
Dans le troisième paragraphe de la page, 12 du document du Monde Charpak ose comparer la radioactivité artificielle, aux sources de rayonnements cosmiques !
Les rayonnements cosmiques ne sont pratiquement pas ionisants. 40.000 rayons cosmiques frappent notre corps par seconde ! En sommes-nous incommodés ? Ces rayons cosmiques arrivent à une vitesse de 300.000 km/s, supérieure à la vitesse de rotation des électrons de nos atomes qui constituent nos cellules, notre corps et ne peuvent en aucune manière endommager l’atome ni l’ensemble.
Par contre les rayons ionisants (Béta) arrivent à une vitesse de 200.000 kms/s, équivalente aux vitesses des électrons, ainsi il se produit inévitablement un choc, avec les conséquences que l’on a déjà signalées.
Les rayons ionisants (Gamma) eux, ont une vitesse de 300.000 kms/s. Ils sont chargés électriquement et provoquent en traversant un atome ou une cellule, de multiples chocs en zigzags avec les particules qui tournent dans l’atome ; donc provoquer une ionisation conséquente.
En changeant par ces chocs successifs le mouvement atomique des atomes, donc des cellules, puis de l’individu, on va perturber les vibrations du corps, donc de la vie.
Les centrales nucléaires par leurs énormes cheminées (200 m de haut) rejettent dans l’atmosphère des gaz radioactifs (pourquoi auraient-ils construit des tours d’une telle hauteur ?) ou rendent à la rivière des eaux ionisées déstabilisant faune et flore et l’être humain. Ces centrales de 1000 MW « cassent » en un an, le même nombre d’atomes radioactifs qu'une bombe de 22 Mégatonnes en une seconde. En un an une centrale créée les mêmes déchets que 1500 bombes d’Hiroshima.
Le plus grave dans tout ceci, c’est que la pollution radioactive risque de se répandre sur tout le territoire, puisqu’il serait envisagé de « mêler » les produits faiblement radioactifs aux objets industriels fabriqués. En supposant que ces mêmes produits se retrouvent incorporés à la matière constituant les roues de fonte aciérée d’une locomotive, vous pouvez imaginer la dissémination par usure des particules radioactives.
Nous avons constaté, dans la région de Serres, à l’automne 1999, après une averse que le détecteur qu’avait confié un technicien du C.N.R.S à l’un de ses fils, une intense radioactivité des champignons, du thym, et de l’eau de pluie. D’où venait cette radioactivité ? Il ne nous est point permis de le préciser.
Une poussière de plutonium d’un diamètre de l’ordre du micron (millième du mm) est capable, par le phénomène de mitraillage intensif et ininterrompu de déclencher un cancer dans le poumon. L’irradiation locale et répétée présente des effets nécrosants. Le cancer proliférera dans tout l'organisme, à partir d’une zone si petite soit-elle. En effet le bombardement intense épuisera à la longue les facultés de réparations à un endroit précis, qui entraînera inexorablement des désordres métaboliques dont nous avons déjà parlé.
« Si nous devions prêter attention aux dangers dus aux radiations naturelles et étendre cette attention craintive à toutes les sources de danger de même niveau, nous paralyserions la plus grande partie de l’activité humaine ».
Pourquoi s’inquiéter de la radioactivité naturelle puisque nous savons qu’elle n’a aucun effet de proximité ! Le Commissariat à l’énergie atomique a reconnu l’existence des effets de proximité de la radioactivité artificielle, en rappelant qu’ils étaient pris en compte dans les mesures de sécurité. Si ces précautions étaient prises, il faudra alors que l’on nous explique, pourquoi les habitants de la région de Gap, souffrent, et ceci est dûment constaté par le corps médical, de dérèglement de la thyroïde ? Sans parler de la vallée du Rhône !
Les effets de certains éléments comme le strontium 90, est tel que 10% de la quantité initiale demeurent présents à la 58 ème année et 1% à la 116 ème année dans un corps irradié. Ce calcul démontre la pérennité de l’ionisation osseuse due au strontium. Cette pérennité indique également que le sujet contaminera au delà de son existence, le sol de sa tombe.
Des éléments radioactifs résiduels, inaltérables, demeurent immobilisés dans les mailles du tissu réticulo-endothélial ou dans les cellules glandulaires. Ils sont des sources ponctuelles de rayonnement ionisant. Ce sont là des faits connus depuis longtemps (1913). S. Laborde et A. Laborde) apportaient la démonstration définitive de la contradiction entre l’élimination physiologique régulière d’un élément quelconque et la possibilité de sa stagnation prolongée ; les sels radioactifs demeurent saisis dans les mailles du tissu réticulo-endothélial. De multiples foyers de rayonnement ionisant exercent sans répit leur action cellulaire nocive. Les recherches sont nombreuses à ce sujet et ne peuvent souffrir une quelconque contestation. Se mettre en rapport avec M. E André pour toute information complémentaire, découvreur des effets de proximité.
Conclusion
Nous avons averti le public et les services intéressés plusieurs années avant que la presse ne se décide à douter d’une quelconque vertu des vaccinations ; nous avons également montré le caractère délétère de la pensée unique ainsi que le développement dangereux du commerce mondial si des barrières ne s’établissaient pas canalisant des échanges débridés mettant en péril le monde agricole et commercial. Nous nous permettons d’amener une critique objective et sereine des effets pervers nucléaires. Chacun analysera nos critiques et saura se situer positivement face à ce contexte.
En votre âme et conscience.
Cordialement de la part des Présidents.
Jacques DAUDON, Maurice-Eugène ANDRE