Aux Conseillers des départements et régions de France
La France, un pays d'handicapés ?
Ce texte adressé par email au siège de chaque conseil sera déposé en Etude notariale pour faire valoir le Droit et permettre son usage. Notre association "Académie pour la Défense des Etres Humains" n'a pas l'intention de baisser les bras devant les constatations faites par les deux Présidents au cours de leur enquête. Ils transmettent aux élus, représentants des citoyens, le fruit de leurs travaux.
Causes de notre intervention auprès des élus
La CDAPH anciennement COTOREP, enregistre plus de 5.000.000 d'handicapés en France (http://www.gereso.com/ressources-humaines/le-handicap-en-france-definitions-et-chiffres.html). Une autre enquête émanant de l'INSEE DE 2002, déplore plus de 12.000.000 d'handicapés divers et l'on note un pourcentage élevé de personnes handicapées n'ayant pas la cinquantaine ! http://informations.handicap.fr/art-actualites-1.0.0.0-476.php .
Ces constatations stupéfiantes nous ont mis la puce à l'oreille.
Depuis 1938, date de la loi sur la vaccination obligatoire contre la diphtérie (http://www.alis-france.com/download/lettre_parlementaires.pdf , puis l'obligation vaccinale contre le tétanos de 1940, sous Pétain, l'espérance de vie des Français qui était la meilleure d'Europe diminua progressivement et bien davantage lors de l'obligation contre la tuberculose en 1950. (Étude faite par les Docteurs Scohy et Vercoutère, mettant en cause ces obligations largement non fondées. Nous laissons volontairement de côté les ravages du vaccin hépatite B ayant handicapé des dizaines de milliers d'infirmières et jeunes gens. (Voir Dr H. Groussac, ayant échappé par 2 fois à la mort par attentat sur sa personne [ayant démontré scientifiquement les redoutables conséquences du vaccin]).
En 2001 à Zurich, puis 2003 à Genève le Dr Klinghardt et son équipe de bio chimistes ont largement démontré les effets fortement handicapants des métaux "lourds" sur la santé. Notamment le mercure contenu dans les amalgames dentaires, les vaccins et certains médicaments, le poisson de mer. http://www.dailymotion.com/user/diegoder/4 et http://www.dailymotion.com/user/diegoder/3 (9 vidéos de 20 minutes).
Je rappelle l'avertissement fondé, s'appuyant sur ses consultations, du Dr Klinghardt : <<Plus de 85% des citoyens d'une bonne partie de l'Europe succomberont prématurément pollués par le mercure.
Les équipes du Dr Rath et de ses biochimistes, installés en Hollande et aux USA ont bien démontré les causes des maladies cardiaques. Leurs recherches sur le cancer ont abouti à bloquer le processus de développement des métastases. www.dr-rath.com/index_fr.html
Ces constations dûment établies il s'avère que :
La mauvaise volonté de certaines de nos institutions et autres Lobbys paralyse les efforts de nos biologistes et médecins indépendants. La majorité désinformée et en retard d'une quinzaine d'années sur leurs homologues néerlandais, allemands, suisses. Situation lamentable puisqu'ils ne connaissent les causes de ces maladies modernes qualifiant pas mal de patients de malades imaginaires !
Le corps médical surveillé d'une main de fer par l'Ordre National se garde bien de répondre à nos courriels et courriers lorsque le besoin s'en fait sentir. Lettre du 15 mars 2011 (national@cn.medecin.fr) - Objet : La sclérose en plaques. Révélations scientifiques qui ne manqueront pas de vous intéresser à plus d'un titre. En outre, la violation sans conteste possible de nos textes de loi et arrêts de Cassation dont voici un exemple précis [extrait]. Nous avions, il y a peu, averti les Conseillers régionaux et généraux d'Aquitaine à ce sujet.
... En donnant raison à l'Ordre, le Conseil d'Etat (affaire Dr Marc Vercoutère, médecin homéopathe) ignore délibérément le devoir d'informations claires, loyales et appropriées auquel est tenu tout médecin avant toute investigation ou soins qu'il propose. Arrêts de la Cour de Cassation du 25 février et du 14 octobre 1997. Il ignore également la loi du 3 mars 2002 sur les droits des malades, ainsi que l'article 19 paragraphe 1 de la déclaration universelle des droits de l'homme pour lequel << tout individu à droit à la liberté d'opinion et d'expression, ce qui implique le droit de ne pas être inquiété pour ses opinions et celui de chercher, de recevoir et de répandre sans considération de frontières les informations et les idées par quelque moyen d'expression que ce soit>>.
Le Conseil d'Etat méconnaît ainsi les nombreuses publications scientifiques irréfutables sur lesquelles se base le Dr Vercoutère. Ce Conseil d'Etat semble ignorer également la teneur du rapport de la Cour des Comptes qui reconnaissait, déjà en septembre 2001, que << la politique de Santé est inféodée aux Lobbies pharmaceutiques>>, tandis que <<la formation, et l'information des médecins sont assurées, essentiellement, par ces mêmes laboratoires>>...
Un rapport du Sénat, reconnaissant de son côté, en juin 2006, que << la formation médicale continue - pourtant à la charge du Conseil de l'Ordre - est assurée à 98% par ces mêmes laboratoires>> (rapport Hermange et Payet).
Ceci dit amis élus, nous avons été rigoureux dans le rapport établi, il vous appartient ou pas de réagir en loyaux serviteurs de vos régions et en protégeant également vos intérêts. Patients en puissance vous avez le choix de subir une médecine déconnectée de tout esprit scientifique avec le corollaire de souffrances, d'inefficacité et de coûts dispendieux, mutilations éventuelles (seins, prostates par exemple) ou de protester énergiquement à l'aide de notre rapport auprès de l'Etat qui n'est souverain que dans la mesure où il respecte votre, notre propre souveraineté; protestation certes mais obtention du choix thérapeutique. Nous avons fait, lapidairement c'est sûr, le tour de la question mais vous avez les sources et arguments suffisants pour intervenir. Faites noblement votre devoir. Nous avons eu le courage de vous avertir nous garderons intact ce dernier pour d'autres actions futures. Les plus loyaux d'entre-vous nous tendrons une main juste et fraternelle.
Avec un infini mais ferme respect.
Jacques Daudon Vice-Président de l'ADEH. 04.86.73.00.61