3 - Des perturbateurs hormonaux
L’impact du Distilbène sur l’organisme démontre clairement que notre corps peut prendre un produit chimique pour une hormone. Exposées à un excès d’oestrogènes avant ou juste après la naissance, les femelles de souris, rats, cobayes... présentent un comportement reproducteur masculinisé et une masculinisation d’autres comportements. Alors que les substances oestrogéniques ont un effet plus puissant sur le fœtus que sur l’adulte, le Distilbène met en échec le mécanisme qui protège le fœtus d’une exposition excessive aux oestrogènes.
Le DDE, forme de DDT qui persiste plus longtemps dans les graisses corporelles provoquent des effets opposés. Il détruit en effet les hormones en accélérant leur dégradation et leur élimination, provoquant un déficit en oestrogènes et en testostérone notamment. A l’inverse, certains produits chimiques peuvent augmenter les concentrations hormonales dans le sang en inhibant les processus de dégradation et d’élimination. Les 209 sortes de PCB ont des effets très différents, parfois opposés. Certains se font passer pour des œstrogènes, tandis que d'autres, à l'instar de la dioxine, inhibent ces hormones.
De telles substances chimiques à action œstrogénique se cachent dans les plastiques, les conserves et les produits de biodégradation des détergents. Une exposition non négligeable peut également provenir d’autres composés moins connus, tels que le bisphénol-A ou les nonylphénols qui, pourtant, pourraient bien tenir une place essentielle dans la contamination totale.
En exposant des cellules cancéreuses du sein à du DDT, des PCB ou encore de l'atrazine, on a pu observer une augmentation considérable de la production du « mauvais » œstradiol, tandis que les brocolis, les choux-fleurs, les choux de Bruxelles et autres choux, réduisent les risques de cancer en favorisant la production du « bon » oestradiol. « Nos résultats montrent qu'une grande variété d'insecticides et de composés voisins ont des effets sur le métabolisme des œstrogènes qui tendent à augmenter les risques de cancer du sein et de l'utérus », selon Leon Bradlow et ses collègues du laboratoire de cancérologie de l'université Cornell. Il en est de même pour le cancer de la prostate. Or, l’incidence des cancers du sein et de la prostate ne cesse d'augmenter dans la plupart des pays: la fréquence du cancer du sein est maximale en Europe de l'Ouest, mais l'augmentation la plus rapide se produit en Europe de l'Est et en Extrême-Orient. Quant au cancer de la prostate, c'est dans les pays nordiques qu'il est le plus fréquent, et en Extrême-Orient qu'il augmente le plus rapidement.
Le risque de cancer lié à l'absorption de dioxine serait largement sous-évalué. Selon un rapport de l'Agence de protection de l'environnement (EPA) du Gouvernement américain, publié en mai 2000, le risque de cancer est 10 fois plus élevé que les premières estimations. Les spécialistes des questions d’environnement estiment que la dioxine serait donc responsable d’environ 100 des 1 400 décès par cancers observés chaque jour aux Etats-Unis.
Il ne faudrait pas croire cependant que les oestrogènes sont les seuls concernés. De nombreux fungicides inhibent la production des hormones stéroïdiennes, agissant sur cette production de la même manière que sur la croissance des champignons pathogènes en inhibant la synthèse des stérols, variété d’acides gras, dont l’absence stoppe la croissance du champignon. Or, l’homme, comme les autres mammifères, produit ses hormones stéroïdiennes à partir d’une molécule semblable, le ... cholestérol dont la synthèse perturbée est à l’origine de la prescription de plus en plus fréquente en occident d’hypocholestérolémiants...
Perturbation de la thyroïde et du système nerveux
PCB et dioxine affectent la thyroïde de diverses manières encore mal connues. Ils imiteraient ou inhiberaient certaines hormones, peut-être en se liant à leurs récepteurs. Ils semblent agir particulièrement sur l'hormone T4, hormone thyroïdienne indispensable au développement prénatal du cerveau. Deux PCB courants dans les tissus humains (PCB 118 et PCB 153) diminuent la concentration de T4 chez des rats exposés dans le sein maternel. De plus, ils entrent en concurrence avec l'hormone et la surclassent pour se lier avec la protéine de transport qui achemine la T4 aux cellules cérébrales, pouvant provoquer diminution des capacités
d'apprentissage, problèmes d'attention et hyperactivité. Au moins 5 % des bébés américains seraient exposés à des doses suffisantes de PCB pour provoquer des troubles neurologiques, alors que de nombreuses autres substances chimiques agissent également sur les hormones thyroïdiennes. Chez l’animal, qu’il s’agisse des souris ou des singes, L’exposition aux PCB pendant la gestation et l'allaitement provoque des difficultés motrices, de mémorisation et d'apprentissage ainsi que l’hyperactivité.
En comparant des rats nourris de saumons du lac Ontario avec des rats nourris de saumons du Pacifique, moins contaminés, ou recevant une alimentation ne contenant pas de saumon, on observa une hyperéactivité au moindre stress. Ces modifications du comportement touchaient non seulement les individus exposés pendant la vie prénatale, mais aussi les rats adultes. Elles ont été également observées sur la deuxième et la troisième générations.
Même si l’extrapolation à l’homme ne peut être systématique, il est constant de retrouver chez les enfants des troubles comparables à ceux observés chez l’animal. Ainsi chez certains des enfants des femmes taiwanaises contaminées par des huiles de friture en 1979, fut observé un développement sexuel anormal chez les garçons avec un pénis plus petit, rappelant les troubles observés chez les alligators du lac Apopka. Ces enfants présentaient également une altération définitive de leurs aptitudes motrices et mentales, ainsi que des problèmes de comportement, notamment une tendance à l'hyperactivité.
Une étude comparative entre des enfants nés de mères consommatrices de poissons des Grands Lacs contenant des concentrations significatives de PCB et autres polluants, et d’autres enfants nés de mères non consommatrices de poissons révéla que plus la mère avait consommé de poisson, moins le bébé pesait lourd et moins son périmètre crânien était grand, tandis qu’ une altération de leurs fonctions cognitives était retrouvée chez eux de même que l’hyperéactivité et des réflexes anormaux.
Parmi la cinquantaine de substances chimiques reconnues à ce jour comme perturbateurs hormonaux, plus de la moitié, dont les PCB – fabriqués par Monsanto et les dioxines omniprésents dans notre environnement, résistent aux processus naturels de dégradation et se transmettent de génération en génération. Stables et volatils, ces produits circulent dans les chaînes alimentaires sur les particules de graisse ou circulent dans l’atmosphère, comme les gaz à effet de serre qui détruisent insidieusement la couche d’ozone, menaçant la vie de la planète et celle de ses habitants.
4) Les radiations électromagnétiques parasites (REMP): téléphone, télévision, ordinateur...
Un autre facteur a été avancé au pays de Pasteur concernant l’agressivité ou encore les pulsions homicides chez les jeunes qui seraient en rapport avec certains films et programmes de télévision particulièrement violents où le héros serait le méchant. Certes, ce genre de film n’incite sans doute pas à la sérénité. Une explication rationnelle beaucoup plus crédible n’a cependant jamais été médiatisée, ni reproduite et pour cause, puisqu’il s’agit de la télévision présente dans la majorité des foyers européens : Chez des jeunes enfants exposés au-delà de 50 minutes par jour pendant six mois aux radiations des téléviseurs, les résultats scolaires ont été divisés par trois, la concentration et la mémorisation par 5, tandis que l’agressivité, la nervosité et la violence étaient multipliées par 3 (Pr M. Ruffo, Hôpital Ste Marguerite, Marseille, 1990 ; J. Bourque, académie du Québec).
Relation entre dépression, suicides et REMP
D’autres études épidémiologiques ont également établi une corrélation entre l’exposition à des champs magnétiques d’extrêmement basse fréquence et la dépression ainsi que les suicides. L'exposition chronique aux champs électriques ou magnétiques d'ELF peut en effet perturber le rythme circadien chez le rat modifiant la libération de sérotonine-N-acétyltransférase ainsi que les concentrations en sérotonine et en mélatonine (Réf : Wilson BW. « Chronic exposure to ELF fields may induce depression » in Bioelectromagnetics : 9 (2):195-205.1988). Or, la dépression chez l’homme est liée à des modifications de trois neurotransmetteurs : la sérotonine, la noradrénaline et la dopamine qui transmettent l’information d’une cellule nerveuse à l’autre. Une baisse de sérotonine se traduit souvent par une perte de sommeil, une diminution de l’appétit, de l’anxiété et des pensées obsédantes ; une baisse de noradrénaline occasionne une perte d’énergie et des pensées négatives, alors qu’une baisse de dopamine provoque un manque d’intérêt et de plaisir ainsi que des troubles de concentration.
Les perturbations des sécrétions hormonales
Les champs magnétiques perturbent également l’hypothalamus. Des rats blancs exposés, en période néo-natale, pendant 180 heures à un écran d'ordinateur, présentent, ultérieurement à la puberté, un déficit de croissance de 17%, et une inversion de comportement sexuel entre mâles et femelles. Normalement, le rat mâle procède en effet à un toilettage complet toutes les 5 minutes,
alors que la femelle n'en effectue normalement qu'un toutes les 20 minutes. Or, après exposition aux écrans, les femelles procèdent à un toilettage toutes les 4 minutes, alors que les mâles ne l'effectuent plus qu’une fois toutes les 25 minutes. Cette inversion du comportement des rats serait liée à une inversion des sécrétions hormonales d’origine hypothalamique : les mâles se féminisant tandis que les femelles se masculiniseraient.
Peut-on craindre des perturbations comparables chez l’homme et notamment chez ceux qui sont particulièrement sensibles aux radiations électromagnétiques ? Le déclenchement de certains accouchements pourrait-il ainsi être justifié par un « blocage » de l’hypothalamus avec inversion des sécrétions hormonales, laquelle pourrait également être un des facteurs à l’origine des fausses couches, voire de la stérilité croissante observée parmi plus de 20% des couples ?
On sait qu’à partir d’une intensité de champ magnétique de 2milligauss, la sécrétion de mélatonine est abaissée et qu’elle ne rentre plus dans les cellules pour y exercer son rôle anti- cancer. Or, en dehors des téléphones, des antennes relais, des ordinateurs, du wifi...le TGV nous expose au sol à 750 milligauss ! Ce n’est donc pas par hasard que certains parlent d’une « épidémie » de cancers observée depuis la deuxième révolution des communications en 1981 et le lancement régulier des satellites numériques...
Quelle peut être l’incidence des EMF sur la prise de contraceptifs qui perturbent eux-mêmes l’axe hypthalamo-hypophysaire ? Curieusement, des perturbations hormonales comparables sont observées avec les pesticides et insecticides.
Alors que nous baignons dans un océan de radiations électromagnétiques parasites, ces éventuelles interactions, ces interférences avec le métabolisme cellulaire et hormonal mériteraient assurément une approche scientifique intransigeante face au laxisme complaisant de nos autorités sanitaires et politiques qui autorisent le marketing sauvage des industries de la télécommunication. Les rapports officiels « rassurants» ne sont d’ailleurs qu’une compilation des résultats d'études publiées antérieurement et financées en majorité par les industriels et qui ne retiennent que le risque thermique.
Une chose est sûre : les fausses couches et les anomalies génétiques sont deux fois plus fréquentes chez les femmes exposées plus de quatre heures par jour devant un écran d’ordinateur (Dr. Marylin Goldhaber (Keyser Institut, Californie in « Américan Journal of Industrial Medicine», 1988).
4 - Une action cancérigène certaine
De nombreuses études scientifiques indépendantes font également état de la perméabilisation accrue de la barrière hémato-méningée. Une formation de micro-oedèmes et tendance aux méningites (dont la fréquence s’élève régulièrement depuis 15 ans) ; de la diminution de la prolifération neuronale (retard scolaire, difficulté d’apprentissage) ; de la diminution du taux d’anticorps IgG, de la diminution de la sécrétion de cortisol, de corticostérone et de mélatonine (laquelle n’exerce plus son action anti-cancer au-delà de 2milliGauss = 2mG) ; de l’augmentation de la production d’hormone de stress (ACTH) ; de la prolifération de micro- noyaux cellulaires (étape pré-cancéreuse), de l’activation d’au moins trois oncogènes importants de l’ADN et de la surproduction de protéines de stress (HSP70), mécanismes intervenant dans le stress oxydatif, la genèse des cancers (dont la fréquence s’accroît inéluctablement sans amélioration du pronostic), voire l’évolution inquiétante des nouvelles maladies par mutation génétique.
La perméabilité accrue de la barrière hémato-méningée
Ces bombardements répétés d’ondes électromagnétiques dans la profondeur du cerveau interfèrent avec les subtiles échanges électroniques entre les cellules cérébrales faisant craindre la perte chez les enfants de leurs aptitudes à la concentration et à la mémorisation, voire de toute forme d’apprentissage.
Le Dr. Hyland a rappelé que l’usage du téléphone cellulaire était aussi impliqué dans le comportement agressif des enfants. Des études précédentes avaient en effet montré que toute personne exposée à l’énergie d’un téléphone cellulaire pouvait ressentir des « changements radicaux » dans son humeur et son comportement. Sur la base de mesures de niveaux de puissance relativement faibles dans les fréquences radio et micro-ondes dans des zones urbaines en 1975, le Dr. William Blise avait établi cliniquement l’existence d’un rapport direct entre ces fréquences, la dépression et la violence. (EMF Health Report, march/april 1995) Interrogé quelques années plus tard, ce même médecin devait déclarer : « Nous devrions nous demander si les enfants, dont le cerveau est en cours de développement, devraient utiliser un téléphone mobile ».
De nouveaux résultats suédois émanant de l’Hôpital universitaire de Lund ont démontré que l’exposition aux radiations émises par les téléphones mobiles et les antennes-relais pouvaient détruire des cellules dans les zones cérébrales liées à la mémoire, le mouvement et
l’apprentissage. Un simple appel de 2 minutes sur un téléphone mobile est capable « d’ouvrir la barrière
hémato-méningée » des enfants et des adultes, permettant aux toxines présentes dans le sang de traverser les méninges et d’attaquer les cellules cérébrales. Une étude réalisée par le scientifique finlandais Darius Leszczynski et publiée dans le journal Differentiation a montré que plusieurs centaines d’agents chimiques opérant dans une certaine catégorie de cellules cérébrales pouvaient être altérées par une émission très faible de type téléphone mobile. Normalement, la barrière hémato-méningée permet de maintenir en dehors du cerveau les toxines et les micro-organismes circulant dans le sang. Mais le Pr. Leszczynski a découvert qu’à la limite légale des radiations émises par le téléphone mobile, une protéine de la barrière hémato-méningée, appelée HSP27, perdait sa capacité à protéger les cellules cérébrales des poisons présents dans le sang, les enfants y étant beaucoup plus sensibles que les adultes.
Précocité de la maladie de Alzheimer
Une exposition prolongée aux radiations émises par le téléphone mobile et par les antennes-relais peut détruire les cellules des centres cérébraux de la mémoire, du mouvement et de l’apprentissage ainsi que l’a démontré le Pr Leif Salford en exposant des rats aux ondes d’un téléphone mobile GSM. Devant les ravages cérébraux observés, ce neurochirurgien, a déclaré : « Nous pouvons voir la réduction des réserves de la capacité cérébrale », ce qui signifie que les sujets qui aurait normalement été victimes de la maladie d’Alzheimer ou de démence sur leurs vieux jours ont un risque accru d’en être victimes ou, pour le moins, d’avoir un nombre restreint de cellules cérébrales saines.
Selon le site RFSafe.com, qui ne fait pas dans la dentelle, « des générations de teenagers se préparent à subir une sénilité précoce dans la première partie de leur vie, du fait de l’usage du téléphone mobile et des nouvelles technologies sans fil ». Et de poursuivre : « Leif Salford, qui a dirigé la recherche suédoise à la prestigieuse université de Lund, considère que l’exposition volontaire du cerveau humain aux micro-ondes du téléphone est la plus grande expérience biologique jamais réalisée in vivo. Il considère également qu’avec l’avènement des technologies de communication sans fil, les gens vont baigner dans un océan de micro-ondes ».
Malheureusement, les REMP sont loin de se réduire aux écrans de télévision ou d’ordinateur et au téléphone portable. Sont également impliqués, les 4 000 satellites numériques, le TGV, certaines installations électriques....
In fine
Sans pour autant rejeter les facteurs psychologiques et sociologiques avancés par les autorités médicales, il est évident que la dégradation de la santé chez les adolescents est le plus souvent plurifactorielle et répond à un ensemble de facteurs parmi lesquels la médicalisation de la grossesse et celle de la première année de vie avec le stress vaccinal à répétition sur un système immunitaire immature chez un bébé de plus en plus souvent séparé prématurément de sa mère, la pollution chimique et ses perturbateurs hormonaux et les radiations électromagnétiques parasites également omniprésentes.
Il est souvent difficile de privilégier un facteur plutôt qu’un autre. Ainsi, a-t-on observé que les bébés inuit de l’Artique ingèrent sept fois plus de PCB, produit chimique utilisé notamment dans les instillations électriques et transportés par le vent ou les courants marins, qu’un enfant canadien ou américain. Beaucoup de ces enfants esquimaux souffrent d’infections chroniques des oreilles et présentent des perturbations du système immunitaire. Ils ne produisent ainsi pas d’anticorps après les vaccinations contre la rougeole, la variole, la polio et divers autres maladies infectieuses, lesquelles favorisent en occident des ... infections ORL à répétition...
L’hydroxyde d’aluminium, neurotoxique et cancérigène, utilisé dans les vaccins depuis 60 ans ainsi que pour le traitement des eaux, ne semble exprimer sa toxicité que depuis une bonne vingtaine d’années chez l’animal et quelques années plus tard chez l’homme. C’est ainsi que, selon une étude réalisée par 258 cliniques vétérinaires chez les félins domestiques, la fréquence d’une variété de cancer des tissus mous (le rhabdomyosarcome) a été multipliée par 11 en Californie entre 1983 et 1993. Sa fréquence a été multipliée par 5,7 en dehors des points d’injection et par 18,3 au point d’injection. Ce sel d’aluminium est retrouvé dans les macrophages, (cellules du système immunitaire) à proximité du point d’injection. Au lieu de cancer, on observe depuis une bonne dizaine d’années, une nouvelle maladie chez l’homme, la myofasciite à macrophages, se manifestant par une fatigue chronique, des douleurs musculaires ou articulaires, des troubles de l’attention et de la mémoire associés une fois sur trois à une sclérose en plaques ou une Polyarthrite ou encore une thyroïdite. En perméabilisant la barrière hémato-méningée, en stimulant la production de macrophages, en activant certains oncogènes importants de l’ADN, en favorisant lasurproduction de protéines de stress (HSP70), mécanismes intervenant dans le stress oxydatif, la genèse des cancers, les radiations électromagnétiques parasites induites notamment par les antennes-relais et les satellites numériques pourraient jouer un rôle clé dans ces nouvelles pathologies, tandis que certaines études font état de l’intervention de certaines substances
chimiques dans le développement des cancers des tissus mous... Les jeunes français – chez lesquels la médicalisation de la grossesse et de l’accouchement
est la plus importante en Europe - seraient ainsi devenus parmi les plus gros consommateurs en Europe de cannabis, beaucoup plus concentré en principe actif (THC pour TetraHydroCannabinol) que le « shit à la papa » des années 70. Outre les hallucinations et les bouffées délirantes qui semblent plus fréquentes, l’altération de la perception et de la mémoire immédiate avec ses répercussions sur le travail scolaire pourraient même persister à l’âge adulte lorsque la consommation aurait démarré plus précocement, ce qui semble être la tendance depuis une dizaine d’années. Or, ces mêmes troubles peuvent être observés avec l’utilisation intensive des consoles de jeux, du téléphone portable, de la télévision, des ordinateurs... dont les effets se cumulent. Ces radiations électromagnétiques, en altérant la protéine HSP, véritable ange gardien du cerveau au niveau de la barrière hémato-méningée, favorisent la pénétration dans le cerveau des toxines et des substances chimiques présentes dans le sang, dont le THC, l’aluminium, le mercure, les pesticides.....sans oublier l’alcool et les psychotropes.
Dr Marc VERCOUTERE Juin 2007
La santé chez nos enfants - 2
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Dernière mise à jour le : 22 février 2012