Le point de vue d'un citoyen suisse: une étrange alliance.
« Au cours des débats aux Chambres fédérales, l’alliance aux Chambres fédératives, l’alliance apparemment contre-nature entre le grand capital et l’Internationale socialiste a permis la victoire de l’accord sur la libre circulation des personnes étendues aux nouveaux pays membres de l’Union européenne, aux dépens, de la classe ouvrière et des petites et moyennes entreprises. L’ouverture des frontières entraînera l’afflux massif des populations de l’Est qui connaissent une grave crise économique et des taux de chômage trois ou quatre fois supérieurs à celui de la Suisse. Cette submersion aura pour corollaire le déclin de notre pays par un abaissement du niveau de vie et de la sécurité ainsi qu’un accroissement exponentiel du nombre des demandeurs d’emplois. La maladie est contagieuse, la bonne santé ne l’est pas.
Les mesures d’accompagnement nécessiteront une coûteuse bureaucratie incapable de juguler la submersion. Celle-ci est d’autant plus inquiétante qu’actuellement l’Allemagne découvre un immense scandale : venant d’Ukraine et de Chine, le déferlement de centaines de milliers de personnes parmi lesquelles des travailleurs clandestins, les femmes contraintes à la prostitution et des criminels, du fait des carences du Ministère allemand des affaires étrangères qui n’a pas procédé aux contrôles exigés par Schengen. L’Espagne et le Portugal (l’Italie aussi sans doute ) souffrent déjà de ce flot migratoire.
Le Conseil fédéral, pour imposer cet accord, ne craint pas de mobiliser 750 conseillers en communication au coût de 82 millions de francs supportés par les contribuables des deux camps et occupe la quasi-totalité de l’espace médiatique.
Ainsi, le Conseil fédéral, non seulement, manque à sa fonction essentielle : la défense des intérêts citoyens mais encore viole l’article 34, al 2 de la Constitution qui garantit la libre formation de l’opinion et de son expression ».
André Franzé – Sion.
Remarques essentielles du Parti des Français Progressistes.
Il nous est permis de constater que les accords de Schengen ne semblent pas être respectés si l’on en croit André Franzé du Journal suisse « Horizons et Débats ».
Il semble que ce soit également le cas de la France, territoire sur lequel les accords de Schengen n’ont pas, non plus, l’air d’être appliqués.
Bref rappel de ces accords :
Le 19 juin 1990, aux fins de la mise en œuvre de l’Accord de Schengen, était signée la Convention d’application de l’Accord de Schengen (Convention de Schengen). La Convention prévoit des mesures compensatoires qui visent à garantir, suite à la suppression des contrôles aux frontières intérieures, un espace unique de sécurité et de justice. Elles portent notamment sur :
- l’harmonisation des dispositions concernant l’entrée et les séjours de courte durée d’étrangers dans "l’espace Schengen" (visa Schengen uniforme);
- l’asile (détermination de l’État membre responsable du traitement de la demande d’asile);
- les mesures de lutte contre le trafic de drogue transfrontière;
- la coopération policière (poursuite) et
Nous savons que la majorité de ces personnes fuient la misère, les désordres économiques et politiques de leur pays respectif, les massacres etc..
Il n’est pas dans notre intention de dénoncer ces trafics illégaux, à plus d’un titre, mais d’inviter chaque Français à la réflexion sur ce que nous a dit ce citoyen suisse et de penser que nous ne pouvons pas accepter toute la misère (provoquée) du monde et facilement évitable avec du pur bon sens et une bonne dose d’humanisme.
Outre que le gâteau français n’est pas extensible à l’infini, il serait peut-être temps que les accords de Schengen, soient respectés. Un quota devrait être institué dans chaque pays. Ensuite, rechercher les principaux coupables qui mettent en place de tels réseaux et les causes de ces grandes misères machiavéliquement entretenues. Tout comme aux dames, un pion blanc vaut un pion noir, au départ. En cours de partie seules la faculté d’adaptation la technique, les combinaisons dans le jeu font la différence.
L’essentiel, la leçon à tirer de ce contexte c’est que depuis très longtemps quelques groupes ont su mettre en place la pire des choses. Donner à un métal relativement rare une valeur sublime, en faisant oublier au reste du monde l’importance primordiale des hommes qui produisent ou fabriquent NOTRE PAIN DE CHAQUE JOUR.
On ne prête pas avec un intérêt majeur à un agriculteur. On prête, sans contrepartie, avec l’espoir que votre prêt, sans intérêt substantiel puisse nourrir toutes les bouche affamées de notre monde en perdition……………..par L’INTERET.
La pédagogie de mon ami Mr Gauci m’a permis de poser ma réflexion là où le bât blesse. A chacun d’y réfléchir.
Jacques Daudon
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Dernière mise à jour le : 04 mars 2006.