Réflexions sur les deux journalistes libérés
Lorsque j'ai appris la nouvelle de leur libération j'ai eu une pensée émue pour eux-mêmes et leurs familles.
Cependant, avec la franchise qui me caractérise, qu'il me soit permis de penser avec une même émotion à la mort d'un homme illustre, qui méritait, pour le moins le prix Nobel de biologie pour ces travaux et ses découvertes qui ont permis de sauver un nombre incalculable de personnes atteintes de cancers et de sida.
Ses travaux en physiopatologie cellulaire ont débouché sur des voies thérapeutiques prometteuses en matière de restauration cellulaire. Je nomme le professeur Beljanski.
Or le 9 octobre 1996 une répression démesurée et incompréhensible le déstabilisa au point qu'il mourut d'un cancer de forme rare. Une centaine de gendarmes, mitraillettes au poing envahit son laboratoire. Menottes, humiliation de la garde à vue, caution énorme l'ayant obligé de vendre ses brevets...bref, rien ne lui fut épargné, dont l'interdiction de prendre contact avec ses homologues chercheurs étrangers.
POURQUOI NE L'A-T-ON PAS SU ?
POURQUOI SES DECOUVERTES
NE SONT PAS APPLIQUEES ?
L'association CIRIS (Centre d'Innovations, de recherches et d'Informations scientifiques) communiqua le dossier de ces nombreuses injustices à 234 journalistes, agences de presse, télévision, radio, presse écrite. Pas un seul ne répondit et ne parla de l'affaire. Seuls quelques journaux marginaux en firent état. Ce fut pourtant un meurtre programmé, tant les ODIEUSES tracasseries administratives furent nombreuses.
Dans un numéro, spécial hors série, Gérard Weidlich président du CIRIS, faisait remarquer page 78, ironie du sort, que F. Mitterand, soigné par les produits Beljanski, avait repris une citation de Napoléon " la presse est un arsenal réservé à ceux qui ont la confiance du gouvernement ". Il aurait mis en place des systèmes de contrôles démoniaques et placé des hommes de confiance à la tête des filtres du 4e pouvoir, celui de l'information. Bien sûr, la Presse est toujours muselée.
La conclusion ? Celle d'un grand journaliste, John Swinton, ex-rédacteur en chef du New-York Times : " Nous sommes des prostitués intellectuels ". Il oublia d'ajouter que tout un pays en subissait les graves conséquences dans tous les domaines.
N'oublions pas que même les députés oublièrent de répondre à l'appel du CIRIS, malgré ces injustices en série.
LA MISERE, L'AUGMENTATION DEMENTIELLE DES MALADIES CHRONIQUES, ETC . ......ET LA REVOLUTION SONT A NOS PORTES.
LA DESINFORMATION Y EST ET Y SERA POUR BEAUCOUP.
Jacques Daudon Président des Français Progressistes.
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Dernière mise à jour le : 04 mars 2006.