Informations importantes auprès de Présidents et juges de Cours d'Appel
Mesdames, messieurs les Présidents, mesdames, messieurs les Juges, mesdames, messieurs les Citoyens,
C'est après maintes réflexions que je me permets de vous adresser divers textes au sujet des vaccinations. En tant que simple citoyen, Président des Français progressistes, Vice-Président des Européens progressistes, il m'apparaît judicieux de vous transmettre plusieurs documents émanant d'un médecin homéopathe de grand talent, ainsi que de vous suggérer d'aller vers des informations supplémentaires sur les vaccins et autres médicaments qui empoisonnent, scientifiquement prouvé, le physique et le psychisme de nos chers petits et des français en général: http://daudon.free.fr
J'espère que mes documents vous apporteront la preuve que nous sommes volontairement mal informés et que de ce fait beaucoup d'empoisonnements et d'injustices sont commis.
Vous souhaitant bonne réception de l'envoi, croyez Juges citoyens, croyez mesdames, messieurs à l'expression de ma parfaite considération républicaine.
Jacques- Henri Daudon
SYNTHESE DES INCIDENCES DES VACCINATIONS -
Dr Vercoutère.
Pour avoir délivré un certificat de contre-indication médicale aux vaccinations obligatoires, le Dr Marc VERCOUTERE est poursuivi, le 13 février 2003 à 14 heures, devant le Tribunal de Grande Instance de Pau, pour exercice illégal de la médecine sur plainte de l’Ordre des médecins des Pyrénées-Atlantiques.
Coïncidence fortuite, le Dr VERCOUTERE venait d’apprendre que, selon le Conseil national de l’Ordre des médecins, " son comportement à l’égard des vaccinations a entraîné plusieurs refus d’inscription à différents tableaux de l’Ordre " depuis… douze ans.
Cette nouvelle citation à comparaître devrait permettre de " crever l’abcès " en dénonçant publiquement les vices et contradictions de notre politique de santé publique " inféodée aux lobbies pharmaceutiques ", tandis que " la formation et l’information des médecins sont assurées essentiellement par les laboratoires pharmaceutiques ", selon la Cour des Comptes (Rapport sur le budget de la sécurité sociale, septembre 2001) :
1) En refusant les vaccinations imposées, les parents responsables et parfaitement informés des dangers induits par toute vaccination, peuvent être lourdement sanctionnés par des peines de prisons (3 mois pour les vaccins Diphtérie, Tétanos, Poliomyélite, et 6 mois pour le BCG) et 25 000 Frs d’amende, perdre momentanément ou non l’autorité parentale tandis que leurs enfants sont menacés d’exclusion scolaire.
Pourtant, la récente loi relative aux droits des malades stipule qu’" aucun acte médical, ni aucun traitement ne peut être pratiqué sans le consentement libre et éclairé de la personne. Ce consentement peut être retiré à tout moment. " (article 1111-4 de la loi 2002-303 du 4 mars 2002) !
Le refus d’établir un certificat de contre-indication pourrait être assimilé à la non assistance à personne en danger quand on sait que la prescription de vaccins peut être assimilée à l’administration de substances toxiques pouvant mettre gravement en danger la vie d’autrui.
C’est en ce sens que le 2 mai 2001, pour la première fois en France, la Cour d’appel de Versailles a condamné un fabricant de vaccins (SKB pour son vaccin hépatite B) en s’appuyant sur la directive communautaire du 25 juillet 1985 qui " dispose qu’un produit est défectueux lorsqu’il n’offre pas la sécurité à laquelle on peut légitimement s’attendre. "
En décembre 2002, sur les mêmes bases, le Tribunal administratif de Marseille a condamné l’Etat, jugé responsable d’un accident post-vaccinal.
2) Pourtant alertés et informés, les responsables de nos hautes institutions ignorent délibérément le principe de précaution en continuant d’imposer ou de recommander des vaccins qui font appel à :
a) L’hydroxyde d’aluminium (présent dans 28 vaccins commercialisés), responsable d’une nouvelle forme de myopathie, la myofasciite à macrophages, associée, une fois sur trois, à une maladie auto-immune, pouvant apparaître plus de dix ans après un vaccin comportant de l’aluminium et caractérisée à la biopsie musculaire par la présence de cristaux d’aluminium dans les macrophages à proximité du point d’injection.
b) Le sérum de veau présent dans tous les vaccins, sauf le BCG (bile de bœuf), grippe et ROR (albumine humaine). Aucun scientifique ne peut écarter son intervention dans la transmission de la nouvelle variante de la maladie de Creutzfeldt-Jakob puisque nous savons que son agent responsable peut se transmettre de la vache à son veau (Le Monde du 14 février 1997) et que, depuis les travaux de John Collinge, la barrière d’espèce est illusoire (British medical journal, 4 janvier 2003)
c) Des fragments géniques et des séquences régulatrices du rétrovirus SV 40 utilisés pour la fabrication du vaccin GenHevac B de Pasteur Mérieux. Or ce virus du singe avait contaminé plusieurs millions de doses du vaccin polio Salk entre 1953 et 1964, 6OO millions de personnes en sont maintenant porteurs. Il est en effet infectieux, se transmettant par voie sanguine et sexuelle. Il est également cancérigène, retrouvé dans 35 à 85% des cancers du cerveau, 60% des cancers de la plèvre et 35% des cancers osseux.
3) Malgré les données acquises de la science internationale, ces mêmes autorités refusent aveuglément d’envisager l’intervention des vaccins dans la survenue, considérablement accrue, des allergies, de l’asthme, du diabète, des cancers, des maladies auto-immunes…..
4) Les médecins en exercice refusent de délivrer des certificats de contre-indication. Ils craignent, à juste titre, des sanctions ordinales de suspension ou même de radiation. Il est vrai qu’un ancien ministre de la santé (Bernard Kouchner) n’avait pas hésité à qualifier " de complaisance " ces certificats, ajoutant même que les médecins homoeopathes, qui sont le plus souvent à l’origine de ces certificats, seraient " des rabatteurs de secte " !
Dr Marc Vercoutère - médecin homéopathe -
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Dernière mise à jour le : 04 mars 2006.