Lettre courte d'un citoyen ordinaire au Président de la République
LETTRE COURTE D'UN CITOYEN ORDINAIRE AU PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE
Croyez bien, qu'il n'est pas dans ma nature de me considérer autrement que je ne suis. Blindé d'un bon sens que devrait posséder un énarque, la vie s'est chargée de dompter l'être impétueux que j'étais. Si je reste d'une manière quelque peu entière, opposé à l'injustice et à la misère humaine, pourtant si facile à éviter, je crois savoir composer et respecter avec une certaine humilité le monde qui m'environne. Reste cette fierté légendaire de descendants de Basques et de Gascons qui n'enlève rien aux qualités précédemment citées. Ajoutons-y le courage et l'esprit de répartie contre vents et marées.
Venons en donc aux faits.
Vous êtes à la tête de l'Etat depuis pas mal d'années. J'ai le regret et la franchise de vous dire que nous sommes, je ne vous exclue en aucune manière, dans un funeste contexte dont nous sommes tous responsables à des degrés divers.
Si, malgré vos services spéciaux, vous ne pouviez opiner du bonnet aux arguments parfaitement vérifiables que je vais tâcher d'étaler avec rigueur et concision, c'est que vos mêmes services, vos hommes, sont loin d'être des missi dominici. Ce ne sont plus les envoyés du maître mais sans doute des personnes travaillant pour des leaders mondiaux qui aimeraient ou adorent vous vassaliser par d'indignes flatteries.
Voyons l'économie par exemple.
Je vous dispense de lire les 2 réformes dans ce domaine, auriez-vous le temps de les lire, et qui sont sur mon site http://daudon.free.fr pour vous dire que les commerçants et artisans tirent le diable par la queue et seraient prêts à mettre la clé sous le paillasson s'ils pouvaient se désengager de leur esclavage à la fois financier et physique. Or, ce sont eux qui embauchent la majorité des ouvriers et employés.
Dans le même temps, c'est d'ailleurs remarquable, des familles nombreuses possédant les aides sociales touchent par mois, RMI compris, bien davantage que nos professionnels des petits commerces. Je me mets à leur place; j'en ferais tout autant.
Avez-vous cependant conscience DE CES INJUSTICES ATROCES ? D'ailleurs, s'il est juste que les redistributions s'opèrent il n'en demeure pas moins vrai qu'une bonne partie de ces petites gens (aucunement péjoratif) ont envahi notre France, jadis prospère. Comprenez que le laxisme et le colonialisme ne soient pas étrangers au contexte. Le résultat est clair, nous occupions récemment la 13ème place des pays européens, lorsque nous étions 15. Seule la Grèce et le Portugal restaient derrière nous. Si beaucoup s'en moquent moi pas monsieur le président.
Jetons un oeil, si vous le voulez bien, sur la santé du Français.
Elle se dégrade de plus en plus. Nous sommes les premiers consommateurs de médicaments de synthèse et la chasse aux soins naturels dépassent ce qu'ont connu nos ancêtres pendant l'inquisition. J'exagère ?
Alors, dites-moi, pourquoi les chercheurs, les trouveurs indépendants du type Beljanski, Loïc le Ribault, Gaston Naessens, je ne puis tous les citer, ont-ils étaient victimes de tracasseries criminelles telles!
Que les uns en sont morts de désespoir, les autres ont été obligés de s'extrader. Pourtant des prix Nobel en puissance ou ayant rendu d'immenses services à la patrie, aux services de police notamment ! La grande presse n’a jamais parlé du procès ignoble intenté contre le premier savant cité. Si Pasteur, l'indélicat et maladroit plagiaire, excellent chimiste, devenu biologiste criminel, avait connu pareille mésaventure nous ne supporterions, vous et moi ses dogmes qui aujourd'hui encore entravent tous progrès réels en médecine.
Dites-moi pourquoi, malgré des recherches couronnées de succès (Dr Rath) personne ne sache que le cancer est non seulement largement cerné (blocage du développement des métastases) mais que l'on assiste à des guérisons spectaculaires à un prix largement en dessous des produits anti-mitotiques qui détruisent les défenses immunitaires et toutes les cellules. Si c'était vrai cela se saurait ? Mitterand nous a déjà fait le coup. Ce bonimenteur ne s'est cependant pas privé d'utiliser les produits Beljanski et de ce fait de prolonger, largement, sa vie. Voir mon site et celui du dr Rath.
Dites-moi pourquoi l'année dernière tant de personnes ont perdu la vie lors des grosses chaleurs? Elles se sont déshydratées a-t-on dit; quelle inexactitude! Elles sont mortes surtout d'abus de médicaments, qui eux sont les fauteurs. Le Docteur Vercoutère, il n'est pas le seul, — que la justice ordinale a châtié parce qu'il faisait des certificats de contre-indication sur les vaccins jusqu'à le radier à vie — est bien d'accord sur ce plan. Favorisons encore, malgré cette hécatombe, les laboratoires! Leurs valets hantent les ministères Français et Européens.
Croyez-moi, monsieur le Président, inutile de vous en dire davantage?
Ne serait-il pas plus sage que des personnes plus avisées, conscientes, amoureuses de leur pays, non soumises, prennent le relais ?
Le social, monsieur, l'agriculture, le commerce, l'industrie, la justice ne pourront sortir de l'impasse, de l'incroyable labyrinthe de lois mal appliquées, et d'une prochaine banqueroute que lorsque une réforme profonde de l'Economie, jusqu'à l'heure désuète et fratricide, sera entreprise. Tout est lié à l'intérêt à l'usure à la spéculation! Régine Pernoud dans son livre " Histoire de la bourgeoisie en France " le démontre simplement.
L'économie franche et distributive, salvatrice, n'a rien à voir avec ces coups de poker, pas davantage qu'avec l'imposture du système banquier actuel. Le patron des patrons, notre cher Antoine Sellières, n'a même pas pris la peine de lire les documents sur ce sujet que nous lui avons envoyés. Des leaders de la sorte n'ont rien à faire à la tête de nos vaillants industriels. Ce n'est ni plus ni moins qu'une sorte de traître qui devrait exclu de la direction du patronat.
Je vous invite à nouveau à aller sur mon site que des milliers de personnes consultent en très peu de temps, http://daudon.free.fr, dans la rubrique contes et nouvelles; lire attentivement "Le président, les chats et les sages". Vous pourriez, non seulement grincer des dents mais vous rendre compte que des solutions pacifistes existent pour des présidents négligents ou incompétents.
Il est inutile, cher Président, de vous mettre en colère et de tenter de me mettre en pièces. Le temps s'en chargera.
Quoiqu'il en soit , que j'aurai un souffle de vie, je ferai honneur à mon père, héros de la résistance et vous entendrez, comme un appel dans vos oreilles. Une appel composé par un citoyen ordinaire - qui redoute des événements, tragiques pour votre personne - lassé de voir que le travail des aînés n'a pas servi à grand chose, sinon permettre à la génération d’hommes politiques actuels d’appauvrir, empoisonner et asservir les citoyens français.
Croyez, monsieur le président, malgré la peine que vous me faites, à mes respectueuses salutations.
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Dernière mise à jour le : 04 mars 2006.