Un journaliste de radio Ouganda demande «pourquoi vaccine t-on nos enfants avec le vaccin oral, interdit aux USA, qu’ils meurent par milliers alors qu’il n’y avait pas de polio en Afrique Noire, avant l’introduction de ce vaccin ? S. "Médecine"
Nous avons le nom de ce journaliste, les contacts sont pris. Les documents s'échangent.
Conférence faite à SETE Par le Docteur ..........M. W. HS
- Critiquer, refuser ou même douter des vaccins, apparaît criminel, irresponsable ou sectaire
Je ne suis pas criminelle, je ne pense pas être irresponsable et je ne fais partie d’aucune secte et pourtant, comme de + en + personnes je me pose la question de la validité et pire encore de l’innocuité des vaccins.
Je vais vous montrer que loin de stimuler l’immunité, les vaccinations ouvrent la porte à des maladies nouvelles bien + graves que les maladies infectieuses contre lesquelles elles sont sensées nous protéger.
On nous a inculqué à grand renfort publicitaire que les vaccins avaient sauvé des millions de personnes et avaient éradiqué des maladies infectieuses. Il n’en est rien. Tout repose sur des falsifications et des intérêts financiers.
-Jusqu’à présent, il était admis que l’antigène, le microbe, introduit dans l’organisme, provoquait la production d’anticorps directement observable dans le plasma.
Ces anticorps étaient censés neutraliser l’antigène, comme l’interaction poison contrepoison.
On ne savait que peu de choses du système immunitaire, on ne connaissait que la réponse plasmatique, on ignorait les réactions cellulaires.
Or, les anticorps ne sont que la marque dans le plasma du passage de l’antigène, alors que les cellules immunes formées ont de nombreuses interactions.
Comment ne s’est on pas aperçu du rôle néfaste de certaines des ces interactions ?
- Aujourd’hui on doit revoir certains aspects de l’héritage de Pasteur car « il a lui même reconnu, sur son lit de mort, n'avoir pas dit la vérité. Il a présenté son procédé vaccinal contre la rage en s’appuyant sur des statistiques tronquées Il a omis de parler de ses échecs, et de ses falsifications; Le réflexe vaccinal, processus, absurde et destructeur, ne fait qu'amplifier les problèmes et détériorer la santé.» (Bechamp[1])
Cette erreur pourtant, se perpétue et s’étend à l’échelle planétaire.
Maladies utiles
La santé n’est pas l'absence de maladie
La médecine officielle pense qu’en chassant les maladies, on assure la santé ; ce postulat est faux : nous vivons en symbiose avec les microbes.
Leur fonction est de participer au maintien de la vie.
¨ Il existe des germes favorables à l’organisme comme ceux de la flore intestinale, cutanée, muqueuses que l’on doit respecter, mais aussi des germes «moins propres», ceux qui sont sur la vaisselle sale, sur l’évier, par terre... qui ne sont pas vecteurs de maladies chez les sujets ayant une immunité normale, mais qui au contraire relancent l’immunité.
Je connais une dame qui sous prétexte de propreté, mettait de l‘eau de javel dans l’eau de sa vaisselle ainsi que dans sa lessive.
C’est une aberration car non seulement elle détruisait les germes normaux, mais aussi les germes + ou - pacifiques qui ne font qu’améliorer cette immunité.
Je ne prône pas la saleté, mais comme toujours, il y a un juste milieu. Je voulais souligner ce point pour rassurer les personnes obsédées par les microbes.
Développement du système immunitaire
¨ Lorsqu’un enfant surmonte une maladie par ses propres moyens, cela lui permet de développer son système immunitaire.
¨ Ces maladies peuvent l’aider à surmonter et parfois en guérir d’autres Cet effet bénéfique était connu autrefois. Dans les années 1960 à la clinique universitaire de Bâle, on pratiquait l’infection artificielle de la rougeole pour soigner des troubles rénaux.
¨ L’enfant est d’abord sous la dépendance de l’immunité maternelle. Le système immunitaire franchit une première étape de son développement entre 18 et 24 mois. Il ne devient à peu près mature que vers 6-7 ans, tout en continuant à évoluer jusqu’à l’âge adulte. Par un acte anti-physiologique, on vaccine des enfants à un moment où ils sont immatures et pris en charge par l’immunité de la mère.
¨ Vacciner tôt entraîne un bouleversement de la mise en place de ces défenses.
¨ Les défenses naturelles sont entretenues par une alimentation équilibrée et une bonne hygiène de vie.
¨ Tous les parents observent comment la maladie peut être une étape importante du développement physique ou psychologique d’un enfant. Les enfants ont fait une « poussée »
¨ Pour les partisans d’une approche naturelle, la maladie infectieuse aiguë est une crise de désintoxication : l’organisme se nettoie pour mieux résister aux microbes. Mieux vaut favoriser le bon déroulement de cette crise plutôt que de le bloquer. Il est dit qu’une maladie qui s’extériorise est en voie de guérison alors qu’une maladie « qui ne sort pas » est une maladie qui se pérennise.
¨ Des travaux anglo-saxons montrent que les femmes qui ont eu la rubéole pendant leur enfance sont moins exposées aux cancers de l’ovaire.
¨ La fièvre est à respecter ; c’est une excellente arme antivirus. Il ne faut pas faire tomber la température de l’enfant ; il la supporte jusqu’à 39°, 39°5 sans aucun inconvénient ; actuellement les convulsions dues à un excès de fièvre sont remises en question chez les sujets normaux. La nature est bien faite !
EQUILIBRE SYSTEME IMMUNITAIRE / VIRUS
«Dieu qui donne la plaie donne le remède»
¨ -L'homme a progressivement acquis et consolidé son immunité, en instaurant un équilibre entre les virus des maladies infantiles et l'environnement
¨ Les vaccins, comme les antibiotiques, ne font que diminuer la force du terrain, ce qui fragilise la résistance naturelle.
« Les microbes ne sont rien, le terrain est tout» C. Bernard
¨ La réaction de chacun lui est propre : "Tout un courant de recherches médicales est venu démontrer l'individualité de chaque personne humaine. Chacun de nous est profondément différent de ses voisins, de ses frères.’’ Pr. Jean BERNARD
¨ Il est impossible de prévoir à longue échéance ce que peut engendrer la rupture de cet équilibre par les vaccinations mais le risque est grand de voir émerger des pathologies graves en fonction du phénomène de commutation :
-toute bactérie (tout virus) échange, en se détruisant, son matériel génétique
avec les bactéries et virus de voisinage.
¨ Dans "Tendance de la médecine contemporaine", le Pr. Deloge, il y a plus de 60 ans, prévenait : " Si nous continuons à généraliser et à multiplier l'emploi des vaccins, on peut concevoir que d'ici quelques décennies, une pathologie nouvelle, celle des sociétés vaccinées, verra le jour ".
I Cette pathologie nouvelle est peut- être le Sida, inconnu lorsqu'il rédigea son ouvrage.
¨ Avant 1981, personne n'a jamais entendu parler du sida.
Mais rappelons que pendant des années, pour vacciner contre la variole, on a introduit dans l'organisme le virus vivant de la vaccine et les populations africaines furent justement les plus vaccinées contre la variole.
Le Dr Louis de Brouwer avança l‘hypothèse que si par un vaccin on introduit un virus vivant non atténué dans un organisme, le virus VIH 2 présent à l’état normal dans l’intestin des Africains, reprend de sa virulence ou se transforme en un autre virus : le virus du SIDA [..] On nomme cela une recombinaison génétique et des expérimentations ont été réalisées qui prouvent que c'est possible." (Sida: Le vertige, 1997).
¨ L’immunité conférée par la maladie est définitive, ce qui n'est pas le cas pour la vaccination dont la protection, si protection il y a, est limitée.
¨ Outre des anticorps non spécifiques, la mère transmet les anticorps des infections qu’elle a elle-même contractées pendant son enfance pour autant qu’elle n’ait pas été vaccinée car une mère vaccinée pendant l’enfance risque de ne plus être immunisée à l’âge adulte contre des maladies telles que la rougeole, la rubéole, les oreillons ou la coqueluche
La vaccination
L’idée est ancienne : autrefois en Chine, on inoculait le germe de la variole à des sujets sains pour les protéger contre cette maladie.
C’est Jenner au XVIIIe siècle qui invente le principe de la vaccination en injectant à des sujets sain, le virus de la vaccine (d’où le nom de vaccination proposé par Pasteur) maladie de la vache qui ressemble à la variole humaine.
Qu’est ce qu’un vaccin ?
Depuis Pasteur, la vaccination est toujours présentée de manière très simple : l’introduction dans l’organisme d’un agent infectieux (bactérie ou virus, atténués ou inactivés ou de toxines atténuées (anatoxines) devait induire une première atteinte contrôlée.
But recherché : provoquer une réaction de l’organisme susceptible de le rendre résistant à ce germe virulent.
Les différents types de vaccins
Le grand public et même de nombreux médecins, ignorent totalement ce que contient la seringue
Classiques
¨ Vaccins vivants atténués :
BCG, ROR (rougeole, oreillons, rubéole) polio oral, varicelle.
fièvre jaune,
1. ils sont préparés à partir de cultures microbiennes, à une température et une humidité qui atténuent leur virulence, sans leur ôter la capacité de se multiplier.
2. les vaccins vivants seraient sont dangereux, car il existe toujours un risque de reprise de virulence, cas fréquent avec le vaccin polio oral.
Un journaliste de radio Ouganda demande «pourquoi vaccine t-on nos enfants avec le vaccin oral, interdits aux USA, qu’ils meurent par milliers alors qu’il n’y avait pas de polio en Afrique Noire, avant l’introduction de ce vaccin ? Les enfants courent se cacher dans la montagne pour échapper aux militaires. www.rense.com.general39/polio.htm
¨ Vaccins inactivés ou tués (à germes entiers) ;
coqueluche, polio injectable, hépatite A, cholera, leptospirose, rage.
-Ces vaccins sont préparés à partir de cultures microbiennes inactivées par différents procédés (chaleur, rayons ultraviolets, produits chimiques comme le formol).
-Qu'ils soient atténués où tués, les vaccins ne sont pas des substances "mortes" ni "neutres" puisqu'ils doivent conserver un pouvoir immunisant, c'est à dire avoir la possibilité de faire réagir le système immunitaire. Leur principe actif est donc capable de rendre malade.
-Le Dr Schweitzer avait remarqué que les premiers cancers en Afrique étaient apparus 5 ans après les premières campagnes vaccinales
-On prétend éradiquer des maladies alors que l'on en fait émerger de nouvelles, bien pires.
-Est-il si étonnant alors d'assister à un regain de pathologies que l'on croyait avoir jugulées et qui refont surface avec plus d'agressivité.
Ce phénomène qui concerne les microbes peut être comparé à l'utilisation systématique d'insecticides qui ont donné naissance à des insectes plus venimeux ou plus nuisibles et d'herbicides qui ont rendu les plantes plus résistantes.
-le Dr Louis de Brouwer à avancer une hypothèse en rapport avec l’apparition du SIDA : il demanda à l'OMS de lui communiquer la liste de toutes les vaccinations effectuées en Afrique depuis 20 ans. Il put alors constater qu'on pouvait très exactement superposer la carte des vaccinations antivarioliques à celle des cas de sida.
"Maintenant, je suis convaincu que la théorie mettant en cause la vaccination antivariolique est bien l'explication de l'explosion du sida. [..] La théorie reliant sida et vaccination antivariolique explique le cas de chacun des 7 pays d’Afrique centrale qui ont le taux le plus élevé de sida. [..] Les plus forts taux de sida coïncident avec les plus intenses campagnes de vaccination ». (Un conseiller auprès de l'OMS, Times, 11/5/87)
-Nous sommes à présent habitués à découvrir, plusieurs décennies après leur mise sur le marché, que certains vaccins étaient dangereux, tels les
*vaccins TAB et DT-TAB, dont on a appris, 50 ans plus tard, que non seulement ils étaient inefficaces mais surtout qu'ils n'étaient pas inoffensifs, comme il a fallu 45 ans pour admette officiellement que le vaccin contre la fièvre jaune a introduit le virus de l'hépatite B chez les vaccinés !
*vaccin injectable contre la polio, a été administré pendant plus de 9 ans à 600 millions de personnes avant qu'on ne signale qu'il était contaminé par les cellules SV 40 du singe, qu'on retrouve dans de nombreux cancers.
¨ Vaccins inactivés détoxifiés
Les vaccins diphtérie et tétanos sont des anatoxines ou toxines détoxifiées par la chaleur et le formol.
-Intérêt d’injecter après une plaie du sérum très efficace car les anticorps sont dans le sérum.
-La perfusion intra-veineuse de 1 ml/minute de 5 mg de chlorure de magnésium dissout dans 20 ml de sérum physiologique fait muter immédiatement le bacille du tétanos anaérobie, en colibacille aérobie par le simple effet oxygénateur du chlorure de magnésium. (démonstration vieille de plus d’un demi-siècle par les Docteurs Chavanon, Delbet, et Neveu) [2]
NOUVEAUX VACCINS génie génétique
Ou manipulation du vivant
Au lieu d'utiliser le virus ou la bactérie, on isole certains segments de leurs chromosomes puis on les greffe sur d'autres pour obtenir des éléments hybrides, non existants dans la nature. Il s'agit donc d'une manipulation du vivant. Le rapport 747 de 1986 de l'OMS, signalait qu'on pouvait retrouver dans le produit final des protéines et surtout de l’ADN capables de cancériser Mais ces fragments d’ADN peuvent mettre plusieurs dizaines d’années à déclencher une pathologie cancéreuse.
¨ Vaccins recombinants
Hépatite B, coqueluche d’autres vaccins sont en préparation
Ainsi, le vaccin contre l'hépatite B GenHevac, inocule de façon absolument certaine des substances éventuellement cancérigènes (fragments du génome du virus de cancer du de singe le SV 40 et, virus de la tumeur mammaire de la souris le MMTV) et des résidus d'outils de manipulations génétiques qui pourraient être à l'origine de malformations foetales.
· Vaccins polysaccharidiques Préparés à partir de la capsule enveloppant le microbe.
méningocoque, grippe, pneumocoque, typhoïde
AUTRES VACCINS
· Reproduction chimique de fragments de l’enveloppe des virus.
· Utilisation des gènes qui produisent les protéines virales.
Risque : intégration de l’ADN du germe dans le sujet vacciné.
I) LES VACCINS SONT INUTILES
¨ Les pays qui vaccinent le moins sont ceux qui présentent le meilleur état de santé dans leur population. Depuis 1949, date à laquelle aucune obligation vaccinale ne fut plus imposée aux citoyens britanniques, le Royaume-Uni a brillamment démontré que la suppression des obligations vaccinales n'a pas entraîné un quelconque retour des épidémies,
¨ La presse scientifique internationale atteste que des épidémies se déclarent encore dans des pays où la couverture vaccinale est presque totale.
Si la disparition des épidémies était essentiellement due aux vaccinations, ces maladies devraient continuer à sévir dans les pays qui ne les ont pas pratiquées ou qui les ont abandonnées, alors que l'histoire de l'épidémiologie démontre le contraire.
Les pays de l'Est ont pratiqué pendant près de 50 ans la vaccination systématique couvrant la quasi totalité de leur population. Or, c'est dans ces pays que resurgissent la diphtérie et la poliomyélite.
En France, bien que la population soit vacciné contre la rougeole et la coqueluche on voit actuellement une recrudescence de ces maladies.
Il est donc légitime de penser que d'une part ce vaccin n'a pas été aussi efficace qu'on le prétendait et d'autre part qu'il a engendré des modifications bactériennes.
¨ On nous fait croire à tort que la plupart des épidémies ont disparu grâce aux vaccinations. Pourtant,
-la peste a sévi pendant des siècles à travers le monde et s'est éteinte totalement sans aucune vaccination.
-les grandes épidémies de lèpre ne sévissent plus, bien qu'il n'existe aucun vaccin contre cette maladie.
-la scarlatine avait disparu ; il semble que quelques cas soient à nouveaux signalés.
¨ De manière générale, le recul des maladies a toujours commencé bien avant l'introduction des vaccins : cf polio aux USA.
Le constat d'inefficacité de certains vaccins est tellement patent qu'il est parfois établi par les laboratoires eux-mêmes. Ainsi SmithKline Beecham, fabricant du vaccin hépatite B, a déclaré
"La vaccination contre HBV, obligatoire pour certains groupes à risque, mériterait d'être étendue à une plus large population, la plus jeune notamment, la vaccination des sujets à haut risque n'ayant eu, semble-t-il, aucun impact aux Etats-Unis sur l'incidence de la maladie." (cf. Le Concours médical, vol. 15, n°4, 1993).
Constat d’inefficacité dressé par le laboratoire fabricant qui pourtant recommande d'étendre une vaccination qui se révèle n'avoir aucun impact sur la maladie !!
II) VACCINS DANGEREUX
¨ L'équation-réflexe bien connue, 1 germe = 1 vaccin est une mauvaise analyse parce que si l'on empêche un germe de s'exprimer spontanément, il va s'adapter, se transformer ; une maladie d'un type nouveau va apparaître
¨ La sélection par le vaccin induit de nouveaux germes virulents et invasifs, (infections nosocomiales).
Effets indésirables
¨ Relativement fréquents
Minimisés ou tus par la presse médicale ou grand public, effets secondaires et accidents post vaccinaux sont une réalité plus fréquente qu’on ne l’imagine, car mal évaluée parce que mal recensée.
Il faut aller chercher dans la presse médicale étrangère la description détaillée accidents survenus chez des patients français. Les accidents post vaccinaux sont hier et aujourd’hui encore un sujet tabou en France.
-d’après L’Impatient- courrier des lecteurs
“Notre bébé a fait une réaction allergique au vaccin DT Polio à l’âge de 18 mois : un eczéma surélevé géant dans les heures qui ont suivi la vaccination. Avant que cela n’arrive, notre médecin ne savait pas que le DT Polio pouvait avoir des effets secondaires. Il a ouvert son Vidal et en a pris connaissance pour la première fois, avec surprise et non sans affolement face à l’état de notre fils. Quand nous lui avons demandé s’il pensait déclarer cette réaction allergique, il nous a répondu que les centres de pharmacovigilance étaient là uniquement pour les accidents dus aux médicaments.
Ce médecin ne sait pas qu’il peut et qu’il doit déclarer les accidents post vaccinaux et il n’est sûrement pas le seul à l’ignorer »,
¨ Réactions courantes après vaccination: réactions locales ou générales: douleur, rougeur ou tuméfaction au point d’injection, fièvre, courbatures, malaises. Fréquence et intensité varient pour chaque vaccin. Ils doivent disparaître en 2 ou 3 jours,
¨ Effets indésirables mineurs: éruptions, douleurs articulaires, crises d’asthme ou d’eczéma chez des sujets prédisposés.
¨ Effets indésirables graves :
- choc anaphylactique (réaction allergique grave dans les 15 minutes qui suivent l’inoculation),
-choc retardé (risque de mort subite du nourrisson),
-accident rénal grave,
-accidents nerveux : convulsions, encéphalite, myélite, polyradiculonévrite (syndrome de Guillain-Barre), paralysies ; sclérose en plaques etc.
D'après Harris Coulter, spécialiste américain de l'histoire des vaccinations, dans son livre "Vaccination, social violence and criminality" :
« Toute vaccination est susceptible de provoquer une encéphalite légère ou grave. Ce phénomène s'accompagne d'une démyélinisation qui empêche un développement normal des gaines de myéline dans le cerveau. Ces modifications pathologiques conduisent à des handicaps divers et des problèmes de comportement. »
Accidents pouvant se déclencher peu après la vaccination, ou à distance de la vaccination:
-maladie auto-immune (diabète, lupus, péri artérite noueuse, polyarthrite rhumatoïde, maladie de Crohn, autisme...etc.)
-cancer etc.
Officiellement les vaccins réputés si efficaces sont déclarés sans effets secondaires graves. Et pourtant
1. -Pour fabriquer les vaccins viraux, il faut des cultures de cellules :
-Pour ces cultures, on utilise très souvent des éléments prélevés sur des animaux ou des foetus. Or, l'OMS (Organisation mondiale de la santé) mettait en garde contre l'usage de substrats cellulaires pour la fabrication des vaccins qui peuvent être contaminés (par des virus tel le SV 40 responsable de cancers chez le singe, par de l'ADN contaminant ...)
-Pour faire croître les cultures cellulaires, on utilise du sérum de veau interdit par la législation concernant les médicaments injectables en raison du risque de contamination par des prions.
Au nom de quel principe les vaccins échappent-ils à ces interdictions ?
2. -Pour que les vaccins soient plus actifs, on utilise un adjuvant de l'immunité,
de l'hydroxyde d'aluminium le plus souvent. La toxicité de l’aluminium, connue depuis longtemps, n’a pourtant rien changé à la politique vaccinale ou à la fabrication des vaccins.
Le Pr. Gherardi de l'hôpital Henri Mondor, pense que le syndrome du GOLFE, qui présente de fortes analogies avec la fibromyalgie, douleurs musculaires intenses, fièvre, fatigue... pourrait être lié à certains vaccins systématiquement injectés aux militaires (hépatites A, B, tétanos..). Il a démontré plus tard qu’il y avait dans les macrophages des cristaux d’aluminium (cf Gherardi & all. "Macrophagic myofasciitis Journal of Neurology n°246, 1999)
3. Enfin, la plupart des vaccins contiennent également des stabilisateurs, conservateurs le Thiomersal, dérivé du Hg, toxique pour le cerveau et les reins. Une récente étude américaine a mis en évidence le rapport entre les vaccins contenant du Thiomersal et la survenue d’atteintes neurologiques ou rénales chez les nourrissons.
Le bouillon vaccinal 220 000 dollars à celui qui boira publiquement un mélange fait seulement des adjuvants standarts des vaccins à l’usage des enfants de 0 à 6 ans dans leur proportion habituelle et dosés suivant le poids du receveur
Les adjuvants : Sels de mercure, éthylène chloruré, benzéthonium, formaldéhyde hydroxyde d’aluminium.
Jack Doubleday www.gentlebirth.org/nwnm.org
Accidents vaccinaux aux USA: seulement 1% déclarée à la FDA
Relevés officiels chez les enfants de moins de 6 ans entre 1999 et 2002
Selon le journal JAMA du 02/06/03
effets secondaires hospitalisations décès
-Dpolio coq I6 544 631 394
-antigrippe 419 41 11
-hepatise B 13 363 1840 642
-ROR 18 680 1736 110
Déjà, en 1974, le Pr. Pariente prévenait: "Stimuler l'immunité, qu'elle soit tissulaire ou sérique n'est peut-être pas sans danger." Concours médical
Et en 1979, des médecins australiens affirmaient le système immunitaire de l’enfant était très endommagé après les vaccinations de routine.
Cela explique peut-être l’abondance de rhino-pharyngites qui existe dans les écoles.
"Selon des recherches sophistiquées les effets produits par les programmes vaccinaux de l'enfance sur les lymphocytes T [...] montrent que le système immunitaire s'avère substantiellement endommagé à la suite de vaccinations de routine » "The dangers of immunization", Docteurs Kalokerinos et Dettmann, du Biological Research Institute of Australia,
-Le Pr DAUSSET prévoit même que «la vaccination des enfants contre toutes un série de maladies, pourrait être une pratique du passé»
Compte tenu de tous ces éléments, la vaccination obligatoire mériterait sérieusement d'être remise en question, comme elle l'a été dans de nombreux pays.
RISQUES SPECIFIQUES. pour chaque vaccin
BCG:
Art. L. 3112-1.-
En clair, le BCG n’est plus obligatoire sauf quelques cas spéciaux.
En effet il est inefficace et dangereux :
1. Inefficace,
· il est déconseillé par l'OMS depuis qq années.
· l’amélioration de l’hygiène et l’élévation du niveau de vie, ont fait régresser constamment la tuberculose, bien avant que ne se développent les antibiotiques et le BCG. Elle a régressé aussi vite (5 à 10%/ an) dans les pays qui n'ont jamais utilisé le BCG ou y ont renoncé depuis longtemps.
Journal AIM Actualité, Innovation, Médecine de juillet 2004 qui pourtant est inféodé aux laboratoires pharmaceutique écrit : Les dernières recommandations d’experts sur le BCG, conduisent à promouvoir une nouvelle stratégie vaccinale qui devrait mener, à plus ou moins long termes à l’abandon de cette vaccination. Il est admis que le rappel du BCG est inutile voire dangereux. Il faut rappeler que la protection par le BCG et relative puisqu’elle ne permet de prévenir que 50 % des tuberculoses communes
· La Hollande, où le BCG n'est pas obligatoire est le pays du monde où la tuberculose est la plus faible (mortalité 7 fois moindre qu'en France).
· Sur 5 méningites tuberculeuses recensées ; 4 avaient reçus le BCG
· Des épidémies de tuberculose apparaissent régulièrement dans des groupes de populations vaccinées
· Depuis une dizaine d’années, les pays industrialisés vaccinés, connaissent de nouvelles alertes, liées aux sida, toxicomanies, nouvelles zones de pauvreté ; La tuberculose est aujourd’hui un fléau des pays pauvres (95% des nouveaux cas).
2. Dangereux :
· le BCG peut être la cause directe ou indirecte de cas de tuberculose. (Vaccin avec un germe vivant)
· Les effets secondaires sont largement sous-estimés (problèmes
respiratoires peut-être dus aux effets immunodépresseurs du vaccin chez des enfants dont les défenses immunitaires sont déjà faibles)
· le BCG est responsable d'accidents graves tels qu'insuffisance rénale et infirmité motrice cérébrale. Selon le médecin suisse Jean Elmiger, il serait responsable d'une baisse du quotient intellectuel (QI).
Pionnier du BCG, le Pr Marcel Ferru, pédiatre à Poitiers, s’est très tôt rendu compte que ce vaccin posait des problèmes. Victime de représailles, il a vu sa carrière entravée.
COQUELUCHE: n’est pas obligatoire
· La coqueluche réapparaît depuis 1990 chez les adultes vaccinés et actuellement chez les enfants vaccinés en France.
· Les nourrissons ne sont pas protégés par l’immunité naturelle de la mère qui a été vaccinée on sait que le taux d’anticorps décroît très vite...
DIPHTERIE: obligatoire stop !
· Longtemps considéré comme anodin, on a enregistré des fortes réactions allergiques au point de recommander des doses réduites en anatoxine pour les rappels.
· La diphtérie ayant disparu en France, le maintien de l’obligation vaccinale antidiphtérique chez tous les enfants n’est absolument pas justifié.
D’ailleurs, les autorités imposent qu’il soit injecté en même temps que le vaccin antitétanique car elles doivent redouter qu’on l’abandonne !
TETANOS: obligatoire
Le vaccin antitétanique est considéré comme le vaccin le plus efficace (90%) et le mieux toléré. Malheureusement, on ne le trouve pas seul dans le commerce ! Il est toujours associé au vaccin anti-diphtérique, voire au vaccin anti-polio.
Cependant
¨ L'acte vaccinal met comme toujours l'organisme en état de moindre
résistance. Des études qui ont été menées à Vienne ont démontré qu'entre le 3e et le 14e jour après ce vaccin se produisait un affaiblissement conséquent des défenses immunitaires.
¨ il augmente transitoirement les affections des personnes infectées par le Sida et les rend plus vulnérables.
POLIO: obligatoire Prudence !
On connaît mal son épidémiologie, des ombres subsistent sur cette maladie récente et beaucoup moins répandue que d’autres.
¨ Dans les pays industrialisés, ce n’est que dans les années 30 qu’ont débuté de véritables épidémies de polio paralytiques et elles avaient déjà commencé à refluer quand les vaccinations se sont répandues...
¨ Alors que plus de 80% des enfants de la planète sont vaccinés, le nombre de cas de poliomyélite paralytique dans le monde n’a été divisé que par 10.
ROUGEOLE: dangereux
Les risques induits par le vaccin sont + graves que ceux de la maladie !
¨ JAMA a signalé des épidémies de rougeole chez des populations d'enfants vaccinés à 94%
¨ Le Danemark a placé le R.O.R. comme drogue à haut
risque de diminution du nombre de plaquettes. « Les parents excédés par les cris de leurs bébés les secoueraient tellement qu’ils entraîneraient la mort de ces derniers par hémorragie cérébrale ! » Sans vouloir nier la responsabilité des parents, la recrudescence de ce «syndrome du bébé secoué » nous laisse entrevoir une autre cause. Cependant il est tentant pour les autorités favorables à la vente des vaccins de ne pas rappeler que le vaccin de la rougeole entraîne une chute des plaquettes sanguines, facteurs important de la coagulation.
¨ Présenté comme bien toléré, le vaccin contre la rougeole entraîne une forme d’immunodépression. Dans le Lancet : «le vaccin contre la rougeole induit un risque de maladie de Crohn, maladie digestive grave d’origine auto-immune. L’augmentation de sa fréquence coïncide avec la généralisation de la vaccination contre la rougeole. »
Une autre étude confirmait un lien possible entre les vaccins contre la rougeole et les oreillons et la maladie de Crohn, ainsi qu’avec l’autisme.
¨ -L’association américaine de parents d’enfants victimes des vaccins, accuse les pouvoirs publics de manipuler les statistiques et réclament des enquêtes indépendantes sur la question.
¨ Les pouvoirs publics recommandent une seconde vaccination à 6 ans, pour tous les enfants, y compris ceux déjà vaccinés. En admettant que ce rattrapage soit efficace, il permettra peut-être de diminuer les rougeoles à l’adolescence, mais pas à l’âge adulte On aura des femmes non immunisées avec 2 conséquences graves :
-rougeole pendant une grossesse = risques d’avortement ou de malformation congénitale ;
-Les mères ne protègeront pas leur nourrisson.
OREILLONS:
· Le principal objectif visait la prévention des orchites de l’adolescent ou de l’adulte et du risque de stérilité qui en résulte. Ce risque est d’autant plus surévalué que l’orchite n’affecte en général qu’un seul testicule.
Et pourquoi vacciner les filles ? ... (Risque de maladie de CROHN auto-immune)
· Le vaccin contre les oreillons peut entraîner des manifestations articulaires.
RUBEOLE
Le vaccin contre la rubéole (maladie bénigne sauf chez la femme enceinte) peut entraîner des méningites.
Que penser alors de l’association vaccin contre la rougeole, les oreillons, la rubéole ? Le R.O.R. ! non obligatoire.
GRIPPE:
¨ L’efficacité du vaccin apparaît limitée. De nombreux vaccinés attrapent quand même la grippe >11% des cas,
Le vaccin, réalisé à partir d’une souche précédente n’est plus d’actualité quand il arrive sur le marché.
Attention : la grippe aviaire n’et pas concernée par ce vaccin
Alternative : Homéopathie
-INFLUENZINUM à dose progressive 7, 9, 12, 15 CH 3 granules / semaine + Thymuline 9 CH 1dose/mois
HEPATITE A : inutile
· L’hépatite A n’évolue jamais vers une forme chronique.
Mais il y a chez l’adulte quelques cas d’hépatites fulminantes très graves. Il n’y a pas de traitement spécifique, seuls le repos et la diète sont recommandés.
· Le vaccin, lancé en 1992 avec grand tapage médiatique, s’est avéré mal dosé et pour l’adulte et pour l’enfant (revue Prescrire 11/95).
HEPATITE B
GenHevac B : le vaccin est produit par génie génétique, manipulation du vivant.
¨ Au lieu d'utiliser le virus ou la bactérie, on isole certains segments de leurs chromosomes puis on les greffe sur d'autres pour obtenir des éléments hybrides, non existants dans la nature. Il s'agit donc d'une manipulation du vivant.
¨ Pour le vaccin GenHevac B, il s'agit de fragments de chromosomes de deux
virus, l’un de singe le SV 40 présent dans certaines cellules cancéreuses et l’autre de la tumeur mammaire de la souris, le MMTV.
¨ l'OMS, signalait qu'on pouvait retrouver dans le produit final des protéines capables de cancériser d'autres cellules.
¨ Ainsi, le vaccin contre l'hépatite B inocule de façon absolument certaine des substances éventuellement cancérigènes et des résidus de manipulations génétiques qui pourraient bien être à l'origine de cas de malformation fœtale.
¨ Détail encore plus inquiétant, il pourrait aussi contenir une certaine enzyme, la TdT (Terminal Desoxynucleotidyl Transferase) susceptible de modifier les gènes des cellules réceptrices et de multiplier ainsi les maladies génétiques chez les vaccinés et leur descendance.
Risque : ne pas être reconnus par l’organisme comme des protéines étrangères et être à l’origine de maladies auto immunes.
Risques de tous les vaccins recombinés : transmission de gène susceptible d’induire chez les vaccinés et leur descendance
-une cancérisation
-une maladie auto immune
-des malformations fœtales
-des maladies génétiques
MENINGITE .
vaccin contre le méningocoque seulement.
L’inflammation des méninges (enveloppes du cerveau et de moelle épinière), se traduit par de la fièvre, des maux de tête, des troubles moteurs et nerveux dont la gravité varie avec la cause déclenchante. Plusieurs microbes et virus sont à l’origine des méningites : bacille de la tuberculose, virus des oreillons, de la rougeole... et autres causes : insolation, par exemple.
Les méningites font peur, et la presse ne se prive pas de l’utiliser, avec des informations imprécises, comme publicité pour les vaccins.
UNE LEGISLATION CONTRAIGNANTE
· La couverture vaccinale est généralement très élevée en Europe pour les vaccins de l’enfance (diphtérie, tétanos, polio, rougeole, oreillons, rubéole), sauf pour la coqueluche abandonnée dans certains pays et pour le BCG qui ne fait plus vraiment recette qu’en France. Mais la plupart de nos voisins ont peu ou pas d’obligations vaccinales, applicables à toute la population.
VACCINS OBLIGATOIRES en 11/2004
-Il n’est jamais obligatoire de se faire vacciner lors de vaccination collective ou par un service de vaccination.
-Cette opération peut être faite par le médecin de son choix.
Chez l’enfant :
-Les 3 vaccins obligatoires pour tous les jeunes enfants :
diphtérie, tétanos, et polio.
-Vaccins contre la diphtérie et le tétanos doivent être faits ensemble
¨ -Les vaccinations complètes (3 injections à 1 mois d’intervalle plus 1 rappel au bout d’un an) doivent avoir été effectuées avant l’âge de 18 mois.
¨ Pour le vaccin anti-polio oral second rappel obligatoire au bout de 5 ans
¨ Les rappels prévus à 6 ans et 11-13 ans sont seulement recommandés.
¨ Les vaccins et le rappel au bout d’un an ne peuvent plus être exigés à partir de l’âge de 10 ans révolus pour le DT, 15 ans révolus pour le vaccin anti-polio.
BCG (vaccin contre la tuberculose) n’est + exigible 07/04
Le ROR et le vaccin contre la coqueluche sont facultatifs.
Chez l’adulte
Des vaccins sont obligatoires
¨ pour les professions de santé : Article L3111-4
-établissement ou organisme public ou privé de prévention ou de soins, exerce une
activité professionnelle l'exposant à des risques de contamination
-élève ou étudiant d'un établissement préparant à l'exercice des professions médicales et
des autres professions de santé dont la liste est déterminée par arrêté du ministre chargé de la santé, qui est soumis à l'obligation d'effectuer une part de ses études dans un établissement ou organisme public ou privé de prévention ou de soins
Vaccins : hépatite B, la diphtérie, le tétanos et la poliomyélite.
-dans un laboratoire d'analyses de biologie médicale : idem + fièvre typhoïde.
Un arrêté des ministres chargés de la santé et du travail, pris après avis du Conseil supérieur d'hygiène publique de France, détermine les catégories d'établissements et organismes concernés.
-Les conditions de l'immunisation prévue au présent article sont fixées par arrêté du ministre chargé de la santé pris après avis du Conseil supérieur d'hygiène publique de France et compte tenu, en particulier, des contre-indications médicales.
¨ Vaccins obligatoires pour les voyages
-Seule la vaccination anti-amarile (contre la fièvre jaune) est obligatoire pour certains pays,
-Attention, la vaccination contre la méningite est exigée pour les pèlerins se rendant à La Mecque ;
CONCLUSION Pour une liberté vaccinale
Pour résister à la pression
-Ne pas se fier calendriers de vaccinations, mais seulement aux références légales.
-On peut recevoir par courrier de véritables mises en demeure de se faire vacciner soi ou ses enfants, sous peine de sanctions.
-Avant d’obtempérer aux courriers qui exigent telle vaccination ou rappel, il convient de ne considérer que les obligations légales, et leurs conditions d’application.
Devant les pressions,
-dialoguer pied à pied, en s’appuyant sur les textes rester toujours courtois.
-ne pas à répondre aux courriers, sauf en cas de mise en demeure provenant d’un employeur ou d’un chef d’établissement scolaire, faire alors une réponse précise en s’appuyant sur les textes légaux.
-Lorsqu’un directeur d’école, de crèche ou d’établissement sanitaire exige oralement une vaccination ou un rappel de vaccination, lui demander de préciser par écrit sa demande avec les références des textes sur lesquels il s’appuie.
-Donner une photocopie et conserver toujours l’original d’un certificat de vaccination ou de contre-indication.
-Si cela ne suffit pas à éviter les mesures non conformes à la loi, demander l’intervention écrite d’une des associations pour la liberté des vaccinations.
LES ASSOCIATIONS.
Elles sont nombreuses; Voici les principales :
1. -La Ligue nationale pour la liberté des vaccinations
LNPLV : BP 816, 74016 ANNECY Cédex / France
siège : 3 Impasse du Miracle, 74650 CHAVANOD / France
Tél : 04.50.10.12.09
2. -L’Association Liberté information santé (Alis)
Alis, 19, rue de l’Argentière, 63200 Riom. Tél. : 04 73 63 02 21
3. -L’académie pour la défense des êtres humains.
37, rue de la Pépinière 17000 La Rochelle
4. -Association Cri-Vie (Sylvie Simon et Dr Marc Vercoutere)
3bis, rue Henri Faisans. 64 000 PAU, Tél : 05 59 84 48 45
e-mail : cri-vie@wanadoo.fr
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Dernière mise à jour le : 04 mars 2006.