AVONS - NOUS BIEN COMPRIS CEUX QUI NE CHERCHENT PAS A COMPRENDRE, MAIS BIEN A TOUJOURS PROFITER QUITTE A CE QUE MASSACRES S’ENSUIVENT!
Qu’avons-nous à proposer comme arguments péremptoires aux médecins à la foi aveugle, partisans inconditionnels de la lutte contre l’infiniment petit , liés professionnellement par des intérêts dont nous tairons pudiquement le qualificatif?
Nous soumettrons simplement à ceux-ci, les paroles prophétiques d’Alexander Fleming, le découvreur de la pénicilline: « Ceux qui abuseront de la pénicilline seront moralement responsables de la mort des patients qui succomberont aux infections dues à des germes résistants».
En multipliant les vaccinations nous augmentons le risque d’introduire des antigènes apparentés à des molécules de l’organisme, créant ainsi des maladies auto-immunes dont la fréquence ne cesse d’augmenter. Où se trouve le bénéfice de protéger les enfants contre des maladies aussi bénignes que les oreillons par exemple, s’ils doivent souffrir ensuite toute leur vie d’un diabète insulinodépendant?
Mais l’indication la plus évidente qui puisse troubler les forcenés de la seringue, est l’exemple de prophylaxie vétérinaire portant sur la fièvre aphteuse qui n’est d’ailleurs qu’une maladie de carence, due essentiellement au déséquilibre des sols par l’emploi systématique des engrais potassiques. (Dr Quiquandon «12 Balles pour un véto»).
Lors de l’épidémie de 1974 qui se déclara en Normandie et gagna la Bretagne, le carnage fut tel que tous les animaux furent abattus (animaux malades et bien portants ce qui montre à quel point les autorités sanitaires avaient confiance dans la protection vaccinale !) porcs, chevaux, moutons, chiens, chats, bref une vraie folie destructrice, au point que plusieurs agriculteurs ruinés et désespérés se suicidèrent.
Pourtant un seul département de l’Ouest échappa à l’épidémie et au massacre: le Finistère. Or ce département était le seul à ne pas être soumis à cette vaccination. Pourquoi? Parce qu’il servait de lieu de quarantaine pour les bêtes destinées à l’exportation vers des pays qui refusaient de laisser entrer sur leur territoire les bêtes vaccinées, donc porteuses du virus.
L’interdiction de vacciner contre la fièvre aphteuse qui date du 29 mars 1991, ne repose pas sur des données épidémiologiques nouvelles, mais dictée par des intérêts économiques. Cette fois, les intérêts des laboratoires cédaient devant le marché mondial de la viande!
Avez-vous médecins ordonnateurs et prescripteurs entendu reparler de ce fléau?
La résistance des agriculteurs biologistes à ces vaccinations, considérèrent que l’éradication de cette maladie reposait avant tout sur des sols et une alimentation saine, la publication faite par Ramon ( le découvreur des anatoxines) à l’Académie des sciences où il montra clairement, chiffres à l’appui que moins la vaccination était utilisée, moins il y avait de foyers de fièvre aphteuse, mirent un terme à cette folie destructrice.
Cette interdiction, suite à un rapport établi par des vétérinaires, provoqua une levée de boucliers dans les milieux vétérinaires français! L’ensemble de la profession y voyait non seulement des risques sanitaires, mais aussi l’impact économique: arrêt de la fabrication et de l’exportation du vaccin, et la disparition de 250 cabinets vétérinaires.
Cet exemple auquel s’ajoute le décret du 29 juin 1993 interdisant la vaccination contre la fièvre porcine, permettra sans doute aux professionnels de santé humaine et au public, une utile comparaison en matière de prophylaxie.
Le public conscient du problème, posera alors la question pertinente suivante: Pourquoi n’interdit-on pas les vaccinations humaines alors que l’on connaît les conséquences salvatrices de l’interdiction des vaccins sur les animaux ? Les nombreux cas de méningite observés sur plusieurs points de l’hexagone, ne viendraient-ils pas des vaccinations et de l’adjuvant, l’hydroxyde d’alumine qui «raffole» des cellules nerveuses? Les autorités médicales ne semblent pas pressées de s’investir à ce niveau, pourtant que de bénéfices à retirer de telles investigations!
Mais il n’y a pas ( heureusement ) de marché mondial de viande humaine; les laboratoires pharmaceutiques restent donc maîtres du jeu. Tant pis pour la dépréciation de cette même viande!
Pauvres gosses!
Diégo Der -