CITOYENNES, CITOYENS DEPUTES PARLONS UNE FOIS VRAI,
Entre politiques rien de plus normal !
Dans la Déclaration des droits de l'Homme et du Citoyen du 26 août 1789, vos éminents collègues inscrirent sur cette déclaration l'article 6 ainsi rédigé :
" La loi est l'expression de la volonté générale. Tous les citoyens ont droit de concourir personnellement, ou par leurs représentants, à sa formation…. ".
Sommes-nous bien d'accord là – dessus ?
Si, simple question de bon sens, vous avez mission, entre autres, de légiférer il n'en demeure pas moins, qu'aucun d'entre – vous n'est né des cuisses de Jupiter et qu'en conséquence vous pouvez, hélas, vous fourvoyer dans vos propositions et dans vos votes. Ainsi la loi ne serait plus l'expression de la volonté générale.
Etes – vous toujours dans mon raisonnement ?
En conséquence, toujours le bon sens cher aux Basques, si vous faites acte d'humilité, vous direz évidemment nous pouvons faire erreur et vous ajouterez à l'unisson : << Ce citoyen a raison, mais pour mettre en pratique son raisonnement lapidaire mais raisonné et logique que faire ? >>.
C' est très simple, chers représentants du peuple, déposez tous en cœur sur le bureau de l'Assemblée une proposition de loi qui permettra au peuple d'obtenir sa souveraineté; ainsi, initier ou révoquer tout ou partie de loi malencontreuse n'assurant pas l'expression de la volonté générale. Aucun d'entre vous ne sera contre puisque tous les Partis l'ont inscrit dans leur programme.
Ainsi mettons – nous en avant le :
REFERENDUM D'INITIATIVE CITOYENNE, OUTIL, DONT VOUS AUREZ BESOIN LORSQUE VOUS REDEVIENDREZ SIMPLE CITOYEN.
Merci pour votre réponse et vos actes futurs en faveur du RIC.
Les citoyens ne l'oublieront pas !
Jacques Daudon Président des Français Progressistes.
N –B
Définition de « l’Ennemi du peuple » selon le Mouvement pour l’Initiative citoyenne :
« C’est une personne physique ou morale qui ne demande pas et qui n’agit pas, selon ses moyens, pour obtenir que - comme le Gouvernement et les Parlementaires – les citoyens aient – eux aussi – l’initiative de la LOI – en toutes matières – y compris constitutionnelle et de ratification des traités, et puissent ainsi avoir la « maîtrise de leur destin » et exercer la « souveraineté nationale » qui leur appartient, mais en théorie seulement, selon l’article 3 de notre Constitution. »