ALERTE HAUT-ALPINS !
CRISE: Explications, remèdes, avant Banqueroute nationale.
A la lumière de notre humanisme et d'une clarté pédagogique propres à déclencher la réflexion de nos citoyens élus. ( Essai )
Devant la montée crescendo du chômage, de la baisse du pouvoir d'achat de beaucoup, des privations multiples sur des points essentiels dont sont victimes, chômeurs, retraités et personnes indigentes, le parti des Français Progressistes patronné par de simples citoyens s'adresse aux élus du département des Hautes-Alpes.
Trouvons-nous raisonnable, normal au sein de cette économie présente, que nos montagnards ne puissent manger à leur faim cet hiver si, d'aventure, la neige ne venait au rendez-vous ? De même, trouverions normal que, supposition farfelue certes (afin de mieux comprendre) que nos coiffeuses et coiffeurs soient privés de revenus si l'Etat exigeait que la mode était aux cheveux longs et qu'il soit interdit que les cheveux soient coupés durant une année entière ?
Nous répondrions, tous en coeur, bien sûr, que nous ne trouvons pas cela normal. Faute de neige, ces gens là doivent manger à leur faim ! Or, est-ce la neige qui garnit leurs ventres ? Nenni !
C'est bien le blé, les légumes, la viande qui aident le corps à défier les rigueurs d'un hiver sec et froid. Ainsi venons-nous de mettre le doigt là où le bât blesse. Quelle est donc la cause, quelles sont les causes de ces paradoxes économiques ? Car vous ne l'oubliez pas, nos greniers, nos silos, nos caves, nos magasins regorgent de denrées et victuailles.
Par quel mystère, une partie de la population ne pourrait rassasier sa faim légitime, quand bien même leurs occupations professionnelles ne pourraient leur fournir leur gagne-pain temporairement ? Durant une année sans produits, due aux caprices du temps que mangeraient les plus fortunés ? Réponse logique : leurs billets !
La constation est d'une clarté éblouissante et profondément scandaleuse. Si autant de laissés pour compte ne parviennent pas à calmer leur faim la cause vient, principalement d'un manque de monnaie sur le circuit du commerce et dans la poche de chacun. Autrement dit, l'émission monétaire, l'argent, qui permettrait d'écouler une production généreuse, au lieu d'être également réparti et d'une façon gratuite (récompensant le travail productif, les services, attribué aux anciens pour leurs mérites passés, mères de famille comprises) ce même argent vient dans le "circuit" sous forme de prêts, souvent aux investisseurs créant des entreprises, ou renouvelant leur parc de machines, ou pour combler, momentanément des déficits dus au marasme. Il convient d'ajouter qu'aujourd'hui, malheureusement, selon les estimations de M. Allais, prix Nobel d'Economie et le professeur Stern, la masse financière constituée par les échanges quotidiens purement spéculatifs, n'engendrant aucun investissement productif est 200 fois plus importantes que la masse financière d'investissements productifs utiles ! Autrement dit les citoyens "peuvent crever " les investisseurs n'en ont cure !
Ainsi, l'argent créé par les banques (85% environ de la masse en circulation) profite par exemple à Siemens et Daimler-Benz en Allemagne grâce à leurs investissements sur le marché du capital que dans le secteur productif. La presse allemande a d'ailleurs qualifié ces entreprises de " grandes banques dotées d'un secteur productif de façade" productrices d'inflations (Source : Margrit Kennedy < Libérer l'argent de l'inflation et des taux d'intérêts >, éditions Vivez Soleil.
Le remède à cette probable banqueroute étatique, et la misère quasi généralisée est simple. Rendons à la nation son droit légitime de créer de la monnaie gratuitement au prorata de la production. Ainsi l'argent sera distribué à tous et en circulant la production ne restera ni dans les greniers, ni dans les caves, ni dans les magasins.
N-B Il est à noter que, pour éviter toute inflation, l'Etat sera tenu de tenir compte des baisses et hausses du volume de la production (valeur numéraire) et d'ajuster cette valeur globale à la monnaie émise. Retraits ou ajouts, suivant les circonstances.
Le bureau
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Dernière mise à jour le : 26 novembre 2008




Richard ARMENANTE
Auditeur et Expert IHESI / INHES (Institut National des Hautes Etudes de la Sécurité Intérieure et de l’intelligence économique, Ministère de l’Intérieur)
Ingénieur ,Ancien Adjt Au Maire de Marseille(délégué à l’économie),Dirigeant de Stés ; Mandataire de Justice Ad’hoc ,
Doyen du Conseil des Sages du Journal TOP ALERTE le journal qui dit la vérité
Fils et Petit fils de résistant décoré de la Croix de la légion d’Honneur
Adresse : 17 rue cité des platanes , 13005 Marseille
Fax : 0825 24 31 61- Portable : 06.88 73 45 04 –Tél : 0491421823– E Mail : richard.armenante@aliceadsl.fr
Résumé Affaire d’un Complot en bande Organisée : (voir BLOG : http://injustice.aliceblogs.fr )
DREYFUS + CLEARSTREAM + OUTREAU = Richard ARMENANTE ; Un dossier qualifié d’explosif par mes Avocats ! (lire les coordonnée en fin de courriel)
PS : Une démocratie sans contrôle est soumise à la médiocrité des Hommes. Ce qui ne se contrôle pas ne progresse pas.
Quel visionnaire ! ! !
Richard ARMENANTE pour votre information :
traduction sous le texte original :
Quote of the Week
'I believe that banking institutions are more dangerous to our liberties than standing armies. If the American people ever allow private banks to control the issue of their currency, first by inflation, then by deflation, the banks and corporations that will grow up around the banks will deprive the people of all property until their children wake-up homeless on the continent their fathers conquered.'
Thomas Jefferson 1802"
Je pense que les institutions bancaires sont plus dangereuses pour nos libertés que des armées entières prêtes au combat. Si le peuple américain permet un jour que des banques privées contrôlent leur monnaie, les banques et toutes les institutions qui fleuriront autour des banques priveront les gens de toute possession, d’abord par l'inflation, ensuite par la récession, jusqu'au jour où leurs enfants se réveilleront, sans maison et sans toit, sur la terre que leurs parents ont conquis"
Thomas Jefferson 1802


